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ray winstone

  • Point Break

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    L'adrénaline offert par les sports extrêmes c'est ce qui séduisait Johnny Utah (Luke Bracey) mais sa vision des choses a changé du jour au lendemain avec la mort de son pote d'enfance Jeff (Max Thieriot). On le retrouve 7 ans plus tard alors qu'il est sur le point de rejoindre les rangs du FBI qui enquête actuellement sur des affaires de braquages atypiques. Un gang a en effet dérobé des diamants puis des liasses de billets en s'échappant par la voie des airs et tout semble indiquer qu'ils vont frapper de nouveau. Johnny a en effet découvert que leurs différents exploits correspondent aux 8 défis d'Ozaki réputés comme surhumains.

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    La vague des reboots hollywoodiens aura donc emporté Point Break et comme je ne connais pas l'original à ce jour, il n'y a pas trop d'appréhensions à découvrir cette version actualisée. L'accent est donc mis sur les sports extrêmes avec des phases de surf, des sauts en wingsuit ou encore de l'escalade et si cela n'offre pas forcément des sensations fortes il y a tout de même quelques belles images à découvrir. On ne va pas trop s'appesantir sur les personnages sans charisme et ce scénario dérisoire qui n'est qu'un prétexte pour lancer les différentes exploits. A la limite faites donc un tour sur Youtube ou Dailymotion, ça vous fera gagner du temps !

     

    Il faut le voir pour : Choisir votre voie !

  • Gunman

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    Chargé de forer des puits pour une ONG, notre pote Jim Terrier (Sean Penn) a été soudainement pris pour cible par des hommes lourdement armés. Aussitôt il quitte le pays pour rejoindre Londres convaincu que cette attaque est tout sauf le fruit du hasard et cela doit avoir un lien avec des événements passés, Il se trouve en effet qu'il y a 8 ans Jim a exécuté le ministre des Mines de la République Démocratique du Congo plongeant à l'époque le pays à feu et à sang. Pour éclaircir cette histoire, il se rend à Londres auprès de Terry Cox (Mark Rylance) avant de s'envoler pour Barcelone où il retrouvera également une vieille connaissance Felix (Javier Bardem) mais aussi et surtout Annie (Jasmine Trinca), la femme qu'il a aimé et qu'il a été obligé de quitter.

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    Il s'était bien amusé avec Liam Neeson dans Taken, le réalisateur français Pierre Morel s'est trouvé une nouvelle victime en la personne de Sean Penn. Le comédien en profite d'ailleurs pour s'offrir son premier grand rôle d'action mais on ne gardera certainement pas un extraordinaire souvenir de Gunman. On n'est pas plus emballé par le scénario basique que par des personnages secondaires qui ont du mal à trouver leur place entre un Javier Bardem bien trop lisse et un Idris Elba dont la plus grande cascade sera d'allumer son briquet. Reste alors à se contenter des quelques scènes d'action qui ne montrent pas beaucoup plus d'inspirations bref un divertissement peu enthousiasmant.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de surprendre votre femme en invitant son ex et en même temps ce sera certainement mieux pour vous !

  • Blanche-Neige et le chasseur

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    Elle n’était encore qu’une petite fille lorsque notre pote Blanche-Neige (Raffey Cassidy / Kristen Stewart) a perdu sa mère (Liberty Ross), une disparition qui plongea également son père le Roi Magnus (Noah Huntley) dans le désespoir. Il retrouvera cependant le sourire lorsqu’il va faire la rencontre de la belle Ravenna (Charlize Theron) qu’il épousera dans la foulée mais cette femme révèle rapidement ses véritables intentions. Elle assassine sans la moindre hésitation son époux et s’empare ainsi du royaume qui va se retrouver plonger dans les ténèbres, Blanche-Neige quant à elle est impuissante et se retrouve prisonnière des années durant. Lorsqu’elle parvient enfin à s’échapper, sa marâtre lance à sa poursuite un chasseur.

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    A quelques mois d’intervalle, nous avons donc eu droit à 2 adaptations live du célèbre conte de fée ; si Blanche-Neige s’affichait comme une œuvre grand public, Blanche-Neige et le chasseur visait un public plus mature enfin à peine ! On s’attendait à un film sombre et si Charlize Theron est bien là avec son personnage de reine psychotique et despotique, le reste ne fait pas illusion bien longtemps. Les nains sont réduits à des rôles de faire valoir, l’héroïne se retrouve dans un faux triangle amoureux  et se transforme en une piètre Jeanne d’Arc en raison d’une Kristen Stewart totalement amorphe. Entre les 20 premières et dernières minutes ; il y a quand même un gros vide que le réalisateur Rupert Sanders tente vainement de combler mais c’est peine perdue. Décevant.

     

    Il faut le voir pour : Vraiment arrêter de manger toutes les pommes qu’on vous offre !

  • Hugo Cabret

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    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

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    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines des effets spéciaux du cinéma.

  • La légende de Beowulf

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    En des temps légendaires, au Danemark. Le roi Hrothgar (Anthony Hopkins) festoyait gaiement avec tous ses hommes, l’hydromel coulait à flot et la nourriture ne manquait pas lorsque la catastrophe est arrivée. Le monstre nommé Grendel (Crispin Glover) a fait irruption dans cette salle perturbé par le bruit incessant et tua tous ceux qui se sont mis en travers de son chemin jusqu’à ce qu’il se retrouve devant le roi. Sans que l’on sache pourquoi, il fut épargné mais cette menace doit être neutralisée et c’est pourquoi le monarque fit appel au guerrier Beowulf (Ray Winstone) dont les exploits traversent les frontières.

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    La performance capture est un procédé d’animation qui permet de capter tous les faits et gestes, notamment les expressions du visage pour les modéliser en images numériques. Si vous avez déjà vu Le pôle express, vous savez de quoi je parle et c’est d’ailleurs le même réalisateur que l’on retrouve en la personne de Robert Zemeckis. A part cette particularité technique qui permet des plans uniques et donc des scènes d’action plus impressionnantes, La légende de Beowulf n’a pas vraiment de quoi nous laisser un grand souvenir. L’histoire puise dans la mythologie anglo-saxonne mais on s’en lasse rapidement tout comme des exploits technologiques qui ne justifient pas de payer 9 euros pour voir le film.

     

    Il faut le voir pour : Toujours se mettre à poil pour combattre les monstres.