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vinessa shaw

  • Cold in July

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    Au beau milieu de la nuit, nos potes Ann & Richard Dane (Vinessa Shaw & Michael C. Hall) sont soudainement réveillés par des bruits suspects ; quelqu’un s’est introduit dans leur maison. C’est avec une grande fébrilité que Richard se saisit d’une arme à feu et va tuer accidentellement l’intrus. Alors qu’il est encore sous le choc de ce qui vient de se passer, il apprend que l’homme qu’il a abattu s’appelait Freddy Russel. Très vite, la nouvelle de ce drame se propage et arrive jusqu’aux oreilles de Ben (Sam Shepard), un père qui promet des représailles. C’est désormais la famille Dane qui court un danger mais les choses vont se révéler plus complexes qu’il n’y parait.

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    Adaptation du roman Juillet de sang de Joe R. Lansdale, Cold in July révèle une histoire pleine de tension et qui ne manque pas de rebondissements. Cela est vrai au départ mais le hic c’est qu’à partir d’un moment, les révélations qui nous sont faites deviennent de moins en moins crédibles ce qui rend le film tout de suite moins captivant. Les fans du petit écran seront ravis de revoir Michael "Dexter" C. Hall même s’il est assez ironique de le voir incarner un homme traumatisé par cet accident mortel. Il est entouré de vétérans avec un Sam Shepard diablement efficace et un Don Johnson qui se fait surtout remarquer par sa dégaine. A découvrir pour cette atmosphère particulière.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas toujours croire la police !

  • Effets secondaires

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    Après avoir été reconnu coupable de délit d’initié, notre pote Martin Taylor (Channing Tatum) a été condamné à une peine de prison dont il s’est aujourd’hui acquitté. C’est un soulagement pour sa femme Emily (Rooney Mara) mais dans le même temps celle-ci montre quelques signes inquiétants et elle ira jusqu’à provoquer un accident qui aurait pu lui couter la vie. C’est à l’hôpital que la jeune femme va faire la connaissance du Docteur Jonathan Banks (Jude Law) et ce psychiatre va alors prendre cette nouvelle patiente sous sa responsabilité. Il va également en profiter pour tester un médicament mais ignore encore que les effets secondaires de ce produit va couter la vie à quelqu’un. 

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    Après nous avoir rendu paranoïaque avec Contagion, Steven Soderbergh persiste et signe avec ce qui devrait être son dernier film ; Effets secondaires. On le sait, il reste difficile de savoir exactement ce qu’on ingurgite surtout quand il s’agit de médication, domaine qui peut réserve de bonnes comme de mauvaises surprises. Premier symptôme positif, un casting remarquable réunissant Catherine Zeta-Jones, Jude Law, Channing Tatum et surtout l’excellente Rooney Mara vraiment impeccable dans son rôle. On est moins charmé par une intrigue qui trouve son apothéose avec un joli twist mais qui n’arrive pas malgré tout à nous emballer, il faut croire qu’on nous a refilé là un générique !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre femme quand elle prend ses médicaments !

  • Miracle en Alaska

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    1988. Journaliste local en Alaska, notre pote Adam Carlson (John Krasinski) rêve de devenir un jour un grand présentateur télévisé mais en attendant, il devra se contenter d’une série de reportages sur le quotidien de la ville de Barrow. Après s’être intéressé à la gastronomie mexicaine, il va trouver un sujet autrement plus intéressant : le sort de 2 baleines grises et de leur enfant pris dans la glace et qui semblent condamnés si personne ne leur vient en aide. Cette histoire va connaitre un rebondissement incroyable lorsque le reportage d’Adam est relayé sur une chaine nationale. Commence alors une mobilisation des amoureux des animaux à commencer par Rachel Kramer (Drew Barrymore) qui se bat depuis de nombreuses années déjà avec Greenpeace.

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    Il n’y a rien dans ce film inspiré d’une histoire vraie qui pourra réellement nous surprendre : 3 baleines pris au piège vont être secourus par la formidable mobilisation des hommes. Un scénario à la Sauvez Willy totalement convenu auquel viennent tout de même prendre part Drew Barrymore & Kristen Bell à la tête d’un riche casting. Evidemment il y a beaucoup de bons sentiments dans Miracle en Alaska, c’en est parfois même mielleux mais ce genre de film est clairement destiné aux jeunes spectateurs et à leurs parents forcés (ou non) de les accompagner. A moins de vouloir faire plaisir à vos enfants, on ne peut que difficilement se motiver pour se rendre dans les salles obscures afin de voir un tel film qui utilisent toutes les ficelles du genre.

     

    Il faut le voir pour : Avoir avec vous un carton si vous devez aller en Alaska sinon vous risquez de le payer cher !

  • Two lovers

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    Fragilisé par une rupture douloureuse, Leonard Kraditor (Joaquin Phoenix) est revenu vivre chez ses parents. Il travaille ainsi avec son père dans un pressing et c’est à l’occasion d’un diner qu’il fait la connaissance de Sandra (Vinessa Shaw). La jeune femme a complètement craqué pour Leonard qui reste plutôt insensible aux charmes de cette demoiselle. Le lendemain, il croise Michelle (Gwyneth Paltrow) une voisine de son immeuble et là c’est le coup de foudre. Il ne pensait pas pouvoir ressentir à nouveau un tel sentiment mais tout porte à croire qu’il est redevenu amoureux.

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    Entre le polar et le film romantique, il y a un sacré écart que notre pote James Gray (La nuit nous appartient) n’a pas hésité à faire et avec brio s’il vous plait ! Pour l’occasion, il retrouve le sous-estimé Joaquin Phoenix (dans son hypothétique dernier rôle) qu’il pousse dans les bras de Vinessa Shaw & Gwyneth Paltrow. Il ne faut pas prendre Two lovers pour un énième film romantique, Gray donne une autre dimension au genre sous l’impulsion d’un émouvant Joaquin Phoenix dans le rôle de cet amoureux blessé. Encore un grand film pour un réalisateur décidément hors-norme.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à danser en boite de nuit.