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willem dafoe

  • Aquaman

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    Il est né de l’union d’Atlanna (Nicole Kidman) et de Thomas Curry (Temuera Morrison) mais notre pote Arthur (Jason Momoa) aura grandi sans sa mère. Celle-ci n’est pas humaine, elle est Atlante et son peuple va venir réclamer son retour ; pour protéger l’homme qu’elle aime et son fils elle a accepté de les quitter. 33 ans plus tard, Mera (Amber Heard), Princesse de Xebel se présente devant celui que l’on surnomme désormais Aquaman, afin qu’il l’accompagne pour revendiquer le trône d’Atlantis. En effet, le royaume sous-marin est sur le point de tomber entre les mains d’Orm (Patrick Wilson) qui est aussi le demi-frère d’Arthur. Il a d’ailleurs déjà lancé une première offensive en rejetant de la mer tous les détritus abandonnés par les humains.

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    Il est sorti de l’eau pour aller prêter main forte à ses collègues de la Justice League et voilà qu’Aquaman se dévoile un peu plus dans son propre film. Muscles saillants, on retrouve notre pote Jason Momoa qui s’éclate à frapper tout ce qui bouge entre 2 bières. Même s’il permet au spectateur de voyager, le scénario n’en reste pas moins très basique ponctué ici et là de quelques notes d’humour qui tombent souvent à l’eau et donc dispensables. Mieux vaut aussi apprécier les effets spéciaux car vous allez vous y noyer jusqu’à cette bataille finale qui devient vite illisible. En dehors du passage en Sicile, cette adaptation n’a rien de vraiment mémorable et l’univers DC au cinéma n’en finit plus de décevoir

    Il faut le voir pour : Surveiller vos poissons dans l’aquarium !

  • Pasolini

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    Après son voyage à Stockholm où il est allé promouvoir son dernier livre Les cendres de Gramsci, notre pote Pier Paolo Pasolini (Willem Dafoe) est de retour à Rome. Cet homme aux multiples talents est un personnage qui fascine par son sens de la provocation et il ne compte pas s’arrêter là ! Après avoir travaillé sur son prochain livre, il a également développé le scénario d’un nouveau film qu’il souhaite tourner au plus vite. Il a d’ailleurs l’occasion de présenter le scénario à Ninetto Davoli (Riccardo Scamarcio) où l’histoire suivrait Epifanio (Ninetto Davoli) partant à la chasse d’une comète annonçant la naissance du messie et le conduisant ainsi jusqu’à une fête assez particulière.

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    Au risque de paraitre inculte (ce qui n’est pas vraiment un scoop), j’ignorais tout de Pier Paolo Pasolini jusqu’à ce film de notre pote Abel Ferrara. La question qui se pose alors est de savoir si connaitre l’œuvre cet artiste italien n’est pas déjà une condition sine qua non pour pouvoir réellement aborder ce "biopic". Il faut aussi dire que le réalisateur prend un malin plaisir pour tenter de nous déstabiliser en imbriquant des histoires dans l’histoire de Pasolini. Ceci d’autant plus qu’on ne revient que sur la dernière journée de sa vie ce qui n’est pas la meilleure façon de le découvrir. On ne sait pas réellement où le réalisateur veut nous emmener mais ce qui est sur c’est qu’il y en a plus d’un qui sera tenté d’aller voir ailleurs.

     

    Il faut le voir pour : Toujours suivre une comète, vous pourriez avoir une surprise ...

  • John Wick

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    C’est une épreuve difficile pour notre pote John Wick (Keanu Reeves) qui vient d’enterrer sa femme emportée par la maladie. Le sort semble s’acharner contre lui lorsque 3 hommes font soudainement irruption chez lui pour lui voler sa voiture et tuant au passage son chien, dernier cadeau offert par sa femme. A peine le temps de se remettre de ses blessures, John entend bien récupérer sa Ford Mustang et régler ses comptes avec ceux qui l’on lâchement attaqué. Il apprend rapidement que l’un d’eux se nomme Iosef (Alfie Allen) et qu’il n’est autre que le fils de Viggo Tarasof (Michael Nyqvist), la tête pensante d’une grande organisation criminelle de New York.

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    Si vous cherchez des noises à notre pote Keanu Reeves, vous allez vite le trouver et vous risquez de vous en mordre les doigts ! John Wick n’est pas vraiment un héros, c’est un nettoyeur repenti qui va être forcé de reprendre du service ; ça va faire mal pour ses victimes mais c’est pour notre plus grand plaisir. Pourvu d’un scénario assez classique, la première réalisation du duo de cascadeurs David Leitch & Chad Stahelski se dote en tout cas de scènes suffisamment efficaces pour que le spectateur avide d’action trouve son compte. Bien rythmé avec une bonne dose de fun, il serait dommage de s’en priver.  

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais s’en prendre à un chien !

  • Nos étoiles contraires

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    C’est dès l’âge de 13 ans que les médecins ont diagnostiqué un cancer chez notre pote Hazel Grace (Shailene Woodley). Elle a aujourd’hui 16 ans et est obligée d’avoir une assistance respiratoire pour tous ses déplacements ce qui ne l’aide pas à se faire des amis. Son temps libre, elle le passe à lire et relire le même livre : Une impériale affliction de l’écrivain Peter Van Houten (Willem Dafoe). Sa mère (Laura Dern) l’oblige alors à sortir de sa bulle et de rejoindre un groupe de soutien réunissant de jeunes cancéreux. Hazel Grace s’y rend bien malgré elle or c’est là qu’elle va rencontrer un garçon qui fera chavirer son cœur ; Augustus Waters (Ansel Elgort) qui est lui en rémission.

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    Le livre de John Green a connu un joli succès à travers le monde et cette adaptation cinématographique devrait suivre la même voie. Bien entendu, c’est une histoire dramatique qui va faire pleurer de nombreux spectateurs, on est prévenu d’avance alors il ne faudra pas oublier les mouchoirs. On tombe vite sous le charme du couple vedette composé par Shailene Woodley & Ansel Elgort, ce dernier notamment séduit par son apparence ordinaire et son naturel même si le coup avec sa cigarette parait too much. Nos étoiles contraires divisera les spectateurs ; il y a ceux qui se laisseront emporter par cette romance émouvante et les autres qui n’y verront qu’un énième drame à l’histoire beaucoup trop téléphonée.

     

    Il faut le voir pour : Chercher votre  "Ok" !

  • The Grand Budapest Hotel

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    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

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    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • Nymphomaniac Volume 2

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    Seligman (Stellan Skarsgård) en a déjà beaucoup entendu de la vie sexuelle de notre pote Joe (Charlotte Gainsbourg / Stacy Martin) mais elle est loin d’avoir terminé son récit. Après l’excitation de ses retrouvailles avec Jerôme (Shia LaBeouf), la jeune femme a en effet vécu une période difficile où elle avait perdu tout plaisir sexuel ; un vrai drame ! Un plaisir qu’elle espérait retrouver lorsqu’elle donna naissance à leur fils mais il lui faudra finalement attendre sa rencontre avec K (Jamie Bell) pour voir son vœu se réaliser. C’est en effet en sa compagnie qu’elle va découvrir le sadomasochisme mais ce bonheur retrouvé va se faire au détriment de sa famille.

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    On est tout de suite replongé dans l’histoire chaotique de Joe et avec Nymphomaniac Volume 2 et c’est maintenant au tour de Charlotte Gainsbourg de prendre la relève de Stacy Martin à l’écran. Logiquement, on reste sur le même ton avec des scènes toujours aussi sulfureuses, provocantes et on a également droit à un petit hommage à Antichrist. A la vue de cette seconde et dernière partie, il apparait évident que l’œuvre de Lars Von Trier a souffert de cette découpe brutale et qu’on doit considérer Nymphomaniac dans son intégralité. Reste tout de même que ce 2ème volet m’a paru interminable et je n’ose imaginer ce qu’aurait donné un film de plus de 4 heures avec comme sujet le sexe et ses déviances.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de piquer les cuillères au restaurant !

     

    En savoir plus sur Nymphomaniac Volume 1 ?

  • Les brasiers de la colère

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    Alors qu’il rentrait chez lui, notre pote Russel Baze (Christian Bale) a eu un terrible accident de voiture qui coutera la vie à 2 passagers dont 1 enfant. Condamné à la prison, sa vie va être bouleversée à commencer par la mort de son père et par la suite lorsqu’il retrouve la liberté, c’est le couple qu’il formait avec Lena (Zoe Saldana) qui se brise. Russel tente de retrouver une vie normale en retournant travailler à l’aciérie de Braddock mais il est préoccupé par son frère. Soldat américain qui a été plusieurs fois envoyé en Irak, Rodney (Casey Affleck) éprouve bien du mal à trouver ses repères et à force de faire n’importe quoi, il a accumulé une sacrée ardoise auprès de John Petty (Willem Dafoe). Aujourd’hui, il en est même venu à participer à des combats clandestins ce qui va le mettre sur le chemin d’un certain Harlan DeGroat (Woody Harrelson).

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    C’est le visage d’une Amérique meurtrie qui nous est présenté par le film de Scott Cooper, on est plongé en plein cœur d’une petite ville qui doit sa prospérité à une aciérie principal pourvoyeur d’emplois mais menacée par la concurrence chinoise. Il y a aussi Casey Affleck, soldat torturé depuis ses expériences traumatisantes en Irak et qui va finir par perdre pied. Dans la description des maux qui hantent Braddock, Les brasiers de la colère se révèle plutôt réussi mais c’est une intrigue qui met trop de temps à se mettre en place qui plombe un peu tout ça. Le casting est phénoménal avec toutefois un bémol sur Woody Harrelson dont le personnage frôle à certains moments la caricature et une Zoe Saldana uniquement présente pour apporter un peu de féminité.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter immédiatement les paris !

  • Nymphomaniac Volume 1

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    Alors qu’il rentrait chez lui après avoir effectué des petites courses, Seligman (Stellan Skarsgård) est tombé sur cette jeune femme évanouie dans les rues. Il comptait appeler les secours mais Joe (Charlotte Gainsbourg / Stacy Martin) l’en dissuade et il finit par l’inviter chez lui. Après une bonne tasse de thé, il tente de comprendre ce qui est arrivé et selon elle c’est quelque chose qu’elle a amplement mérité. En effet, Joe ne se considère pas comme quelqu’un de bien, elle est nymphomane et commence ainsi à lui raconter son histoire. Tout a commencé avec sa pote d’enfance B (Sophie Kennedy Clark) avec qui elle organisait de drôles de concours dans les trains !

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    Un petit message donne le ton du film ; pour profiter véritablement de l’œuvre de Lars Von Trier tel qu’il l’a voulu, il faudra attendre une éventuelle version intégrale. Pour le moment, il faudra se contenter de Nymphomaniac Volume 1 ou les chroniques sexuelles de Joe interprétée par Charlotte Gainsbourg & surtout Stacy Martin. Avec un érotisme qui flirte souvent avec la pornographie, on découvre ainsi les différentes étapes de sa vie constituées en chapitres et faisant l’objet d’analogies plutôt amusantes. S’il s’agit bien d’un portrait destiné clairement à un public averti et qui va bien au-delà de la simple provocation, difficile de considérer objectivement ce film sans sa conclusion.

     

    Il faut le voir pour : Se remettre à la pêche !

     

    En savoir plus sur Nymphomaniac Volume 2 ?

  • 4H44 Dernier jour sur Terre

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    Al Gore avait donc raison mais il est désormais trop tard pour faire machine arrière. Notre couche d’ozone s’est détériorée beaucoup plus vite qu’on ne l’aurait imaginé et la sentence est irrévocable : la fin du monde aura lieu à 4H44, heure de New York. Que l’on soit homme ou femme, noir ou blanc, riche ou pauvre ; nous sommes tous logés à la même enseigne et chacun tentera de profiter de ces dernières heures d’existence. Chez Skye & Cisco (Shanyn Leigh & Willem Dafoe), on ne s’affole pas outre-mesure ; ils observent avec un certain détachement les réactions du monde extérieur et pour cette dernière journée ils ont tout simplement décidé de la passer chez eux.

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    Timing parfait pour ce film d’Abel Ferrara qui profite des prévisions Mayas pour sortir 4H44 Dernier jour sur Terre. Pendant près d’une heure c’est un huis-clos en compagnie de Shanyn Leigh & Willem Dafoe qui profitent de leurs derniers instants pour peindre, se faire des câlins ou bien contacter leurs proches et donc rien de bien passionnant. Les seuls moments où on quitte leur appartement se fera par le prisme de la télévision ou bien par Skype autrement ça tourne vraiment en rond. On ne peut rien reprocher aux comédiens mais le scénario minimaliste fait que ça devient rapidement interminable au point de souhaiter au plus tôt la fin du monde ou du moins du film.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de vous trouver un job de livreur pour la fin du monde, ça promet de bons pourboires !

  • John Carter

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    C’est une aventure qui commence en 1868, notre pote John Carter (Taylor Kitsch) tente d’échapper à la cavalerie américaine qui souhaiterait l’enrôler de gré ou de force. Dans sa fuite et sous la menace des indiens, il trouve refuge dans une grotte où est renfermé un mystérieux signe inscrit dans la roche. Un homme vêtu de manière étrange apparait soudainement et dans la confusion, John  perd conscience. A son réveil, il est au milieu d’un désert mais le plus surprenant c’est qu’au départ il n’arrive même pas à faire un pas sans tomber. Il l’ignore encore pour le moment mais il a atterri sur une autre planète appelée Barsoom que nous humains connaissons sous le nom de Mars.

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    Né de l’imagination du romancier Edgard Rice Burroughs (connu aussi comme le papa de Tarzan), le personnage de John Carter pourrait bien devenir le héros d’une nouvelle saga cinématographique. Expédié sur la planète rouge, c’est l’occasion pour le spectateur de découvrir de drôles de créatures, des monstres gigantesques et 2-3 engins volants. Il est toujours amusant de découvrir un nouvel univers malheureusement ici on en fait rapidement le tour. Les héros n’arrivent pas non plus à nous emballer, Taylor Kitsch manque de charisme tandis que Lynn Collins essaie de faire concurrence à la Princesse Leïa dans Le retour du Jedi. Si techniquement le film a les moyens de ses ambitions, il n’offre pas du tout le spectacle divertissant qu’on était en droit d’attendre.

     

    Il faut le voir pour : Vous entrainer au saut en hauteur.