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moritz bleibtreu

  • 360

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    Après mure réflexion et convaincue qu’elle n’a d’autres alternatives, notre pote Mirka (Lucia Siposová) s’est résignée à vendre son corps avec l’espoir de rencontrer un riche client qu’elle pourra dépouiller. Son premier boulot arrive dans la foulée ; elle doit retrouver un certain Michael Daly (Jude Law) mais ce dernier s’est défilé à la dernière minute. En voyage d’affaires, ce mari & père de famille a manque dé discrétion et cela pourrait avoir d’autres conséquences. Pendant ce temps, à Londres un couple vient de se séparer ; Laura (Maria Flor) a appris que son petit-ami Rui (Juliano Cazarré) avait une liaison et c’est pourquoi elle a claqué la porte pour retourner vivre au Brésil. Au cours de ce voyage, elle va croiser Tyler (Ben Foster), délinquant sexuel tout juste libéré de prison.

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    Après les favelas brésiliens ou avoir plongé le monde dans le noir, Fernando Meirelles s’essaye maintenant au film choral en adaptant la pièce de théâtre La ronde d’Arthur Schnitzler. Ce sont donc une petite dizaine de personnages qui nous sont présenté seulement chacun ne va pas avoir droit au même traitement. Si 360 développe certaines histoires, il en délaisse aussi d’autres comme celles du couple Jude Law / Rachel Weisz ou encore l’aventure de notre cher Jamel Debbouze. Un déséquilibre plutôt étrange associé à des portraits peu captivants (le seul intéressant étant celui de Tyler) font qu’on a là un résultat décevant qui ne déchainera pas les passions dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de donner votre vrai nom quand vous souhaitez tromper votre femme avec une prostituée !

  • L’ange du mal

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    Son premier forfait fut de libérer un tigre de sa cage en compagnie de ses potes d’enfance et depuis Renato Vallanzasca ( Kim Rossi Stuart) ne s’est pas vraiment assagi. Leur adolescence, ils l’ont passé à chaparder tout ce qu’ils trouvaient et revendaient pour une bouchée de pain dans leur quartier. Plus tard, Renato est passé au niveau supérieur en organisant de gros casses mais toujours en faisant en sorte de ne pas laisser de cadavres derrière lui. Pour lui, une arme à feu doit avant tout servir à effrayer celui sur qui elle est braquée, à se faire respecter mais certainement pas à semer la mort. Tout le monde n’a pas le même sens de valeurs que lui et plusieurs de ses propres compères vont commettre l’irréparable et parmi ces victimes se trouvent un policier.

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    A la manière d’un Jacques Mesrine ou d’un Albert Spaggiari ; Renato Vallanzasca est un criminel qui a défrayé la chronique italienne des années 1970 aussi bien par ses méfaits que par l’arrogance dont il faisait preuve. C’est le réalisateur Michele Placido qui signe ce biopic, lui qui nous avait littéralement enchanté avec Romanzo Criminale et l’on retrouve aussi pour l’occasion le beau Kim Rossi Stuart. On entendra d’ailleurs certainement parler de ce dernier (qui a également fait ses premiers pas de réalisateur avec Libero) pendant quelques années car il est véritablement envoutant dans la peau de Renato Vallanzasca. Pas vraiment de surprises avec L’ange du mal qu’elles soient bonnes ou mauvaises, c’est un thriller policier mené avec grande justesse bref tout ce qu’il y a de plus efficace et des films comme ça on en redemande sans problèmes.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais sous-estimer un cafard !

  • Soul kitchen

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    Notre pote Zinos (Adam Bousdoukos) est en pleine déprime, sa petite-amie Nadine (Pheline Roggan) vient de s'envoler pour Shanghai dans le cadre de son travail et lui n'a pu se résoudre à l'accompagner. Jusqu'à présent il refusait en effet d'abandonner le Soul Kitchen, restaurant atypique installé dans un entrepôt. La cuisine y est très basique et les affaires tournent sans atteindre des chiffres faramineux. Seulement à vouloir toujours tout faire, Zinos contracte une vilaine sciatique et refuse de se faire opérer vu qu'il n'a pas de mutuelle. Il doit donc faire appel à un nouveau cuisinier qui va donner une véritable âme au Soul Kitchen et une fois le restaurant relancé, il peut enfin envisager de rejoindre Nadine.

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    Avec un titre pareil, on aurait pu croire que le film allait nous plonger dans un appétissant univers culinaire mais nos papilles ont à peine le temps d'apprécier un plat improvisé fait de poissons panés que la cuisine ferme déjà ses portes. Soul kitchen c'est plutôt la vie d'un groupe, de potes d'enfance réunis un peu par hasard dans ce restaurant et qui vont devoir se retrousser les manches pour tenter de sauver les meubles. Une bonne petite comédie qui ouvre l'appétit sans jamais réellement la satisfaire !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais b..... le Fisc !