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wes anderson

  • The Grand Budapest Hotel

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    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

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    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • Moonrise Kingdom

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    C’est la panique sur l’ile de New Penzance et notamment au Camp Ivanhoe où un scout manque à l’appel. Notre pote Sam (Jared Gilman) s’est en effet fait la belle en laissant derrière lui une lettre où il explique qu’il ne se sent pas à sa place et qu’il préfère quitter les scouts. Responsable de cette troupe, le Chef Ward (Edward Norton) prévient immédiatement les autorités et notamment le Capitaine Sharp (Bruce Willis) pour retrouver sa trace mais ce ne sera pas facile car Sam est un scout de premier ordre. D’ailleurs, on retrouve celui-ci à l’autre bout de l’ile car sa fuite était en fait un rendez-vous planifié de longue date avec Suzy (Kara Hayward).

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    Il est difficile de rester insensible face au cinéma de notre pote Wes Anderson qui nous avait déjà offert une drôle de virée A bord du Darjeeling Limited. Une fois encore, il nous embarque dans une histoire assez incroyable mettant en scène 2 adolescents marginaux et qui n’ont peur de rien ! Décalé et totalement imprévisible, Moonrise Kingdom a néanmoins toutes les chances une fois de plus de diviser le public. L’esprit du film fait un peu penser à ce que nous offre le cinéma des Frères Cohen ; des situations burlesques portées par des personnages toujours plus atypiques. Emporté dans un véritable voyage, on appréciera essentiellement la fraicheur qu’apporte le film dans le paysage cinématographique américain.

     

    Il faut le voir pour : Vous procurer un porte-voix pour communiquer en famille !