Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

helen mccrory

  • La dame en noir 2 : L’ange de la mort

    star 02.jpg

    AFF.jpg

    1941. Les bombes pleuvent sur Londres et afin de les protéger, un groupe d’enfants va être évacué par Jean Hogg & Eve Parkins (Helen McCrory & Phoebe Fox). Alors que le train s’apprête à partir, le petit Edward (Oaklee Pendergast) les rejoint. Ce garçon désormais orphelin a eu le malheur de voir sa mission bombardée et depuis ce drame il est resté muet. Ils vont ainsi rejoindre une demeure abandonnée située à Crythin Gifford mais très vite des évènements étranges se manifestent. Pour Eve c’est certain ; elle a ressenti la présence d’une autre personne dans cette maison et ses intentions sont loin d’être bienveillantes.

    01.jpg

    Déjà que le premier épisode ne m’avait pas laissé de grands souvenirs, voilà que cette suite se passe également des services de Daniel Radcliffe. La dame en noir 2 : L’ange de la mort se déroulant 40 ans après son prédécesseur, ce sont de nouveaux protagonistes qui font leur apparition. Avec une histoire qui prend racine en pleine Seconde Guerre Mondiale, on s’attendait à ce que le film tire davantage profit de cette atmosphère particulière mais ce n’est pas le cas. On préfère revenir à ce qui caractérise le Jump scare avec les banales portes grinçantes et  apparitions inopinées pour tenter de surprendre les spectateurs. A la recherche de grands frissons ? Allez voir ailleurs !

     

    Il faut le voir pour : Garder le sourire !

     

    En savoir plus sur La dame en noir ?

  • Hugo Cabret

    aff.jpg

    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

    01.jpg

    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines des effets spéciaux du cinéma.

  • Harry Potter et les reliques de la mort Partie 2

    aff.jpg

    Nos potes Harry, Hermione & Ron (Daniel Ratcliff, Emma Watson & Rupert Grind) n’ont pas le temps de pleurer la disparition de leur compagnon Dobby qu’ils doivent déjà repartir à la chasse aux Horcruxes. Ils savent que leur prochaine cible se trouve dans le coffre-fort de Bellatrix Lestrange (Helena Bonham Carter) mais pour arriver jusque là, ils vont devoir faire preuve d’ingéniosité. Par la suite, ils devront retourner à Poudlard désormais dirigé par l’inflexible Severus Rogue (Alan Rickman) où un autre Horcruxe est dissimulé mais Voldemort (Ralph Fiennes) n’a pas l’intention de les laisser agir à leur guise. Le nouveau maitre de la baguette de Sureau a conscience que son influence maléfique diminue au fur et à mesure qu’Harry détruit les Horcruxes.

    01.jpg

    La découverte de l’univers d’Harry Potter fut pour moi assez tardive et malgré des films de qualité inégale, on ne peut pas retirer à la saga le fait que l’on ait la chance de grandir en compagnie de ces personnages. C’est donc forcément un moment d’émotion que de savoir que ce dernier épisode vient conclure plus de 10 ans d’aventures mais Harry Potter et les reliques de la mort Partie 2 s’avère quelque peu décevant. Sans pouvoir faire de comparaisons avec l’œuvre littéraire, je trouve quand même que certains éléments comme la mort de Bellatrix ou le combat final entre Harry & Voldemort sont presque bâclés. Surtout, il y a une absence totale d’émotions qui rend ces adieux un peu fades ce qui pourrait nourrir quelques regrets.

     

    Il faut le voir pour : Dire au revoir à vos potes d’enfance !