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fernando meirelles

  • 360

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    Après mure réflexion et convaincue qu’elle n’a d’autres alternatives, notre pote Mirka (Lucia Siposová) s’est résignée à vendre son corps avec l’espoir de rencontrer un riche client qu’elle pourra dépouiller. Son premier boulot arrive dans la foulée ; elle doit retrouver un certain Michael Daly (Jude Law) mais ce dernier s’est défilé à la dernière minute. En voyage d’affaires, ce mari & père de famille a manque dé discrétion et cela pourrait avoir d’autres conséquences. Pendant ce temps, à Londres un couple vient de se séparer ; Laura (Maria Flor) a appris que son petit-ami Rui (Juliano Cazarré) avait une liaison et c’est pourquoi elle a claqué la porte pour retourner vivre au Brésil. Au cours de ce voyage, elle va croiser Tyler (Ben Foster), délinquant sexuel tout juste libéré de prison.

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    Après les favelas brésiliens ou avoir plongé le monde dans le noir, Fernando Meirelles s’essaye maintenant au film choral en adaptant la pièce de théâtre La ronde d’Arthur Schnitzler. Ce sont donc une petite dizaine de personnages qui nous sont présenté seulement chacun ne va pas avoir droit au même traitement. Si 360 développe certaines histoires, il en délaisse aussi d’autres comme celles du couple Jude Law / Rachel Weisz ou encore l’aventure de notre cher Jamel Debbouze. Un déséquilibre plutôt étrange associé à des portraits peu captivants (le seul intéressant étant celui de Tyler) font qu’on a là un résultat décevant qui ne déchainera pas les passions dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de donner votre vrai nom quand vous souhaitez tromper votre femme avec une prostituée !

  • The constant garderner

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    Tessa Quayle (Rachel Weisz) vient de mourir, c’est avec cette terrible nouvelle que Justin (Ralph Fiennes) va réellement découvrir la réalité qui l’entoure mais aussi comprendre dans quelles circonstances sa femme l’a quitté. Pour en savoir plus sur ce couple, il est nécessaire de revenir à quelques années en arrière. Diplomate du haut Commissariat Britannique, Justin tombe littéralement amoureux de Tessa qui s’était fait remarquée par ses prises de positions. Plus tard, ils s’installent au Kenya ; un enchantement pour la jeune femme qui s’apprête à devenir mère. Les choses se compliquent lorsqu’elle s’intéresse à un curieux médicament le Dypraxa !

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    Derrière la caméra, on retrouve un grand réalisateur en la personne de Fernando Meirelles qui nous avait gratifié du cultissime La cité de Dieu. Par une succession de flash-back et d’ellipses dans le temps, il parvient immédiatement à capter l’attention du spectateur sans jamais la relâcher. The constant gardener est l’adaptation d’un roman de John Le Carré publié en 2000 proposant un scénario d’une grande richesse nous mettant face à la situation de l’Afrique et de certaines réalités. Bref, Meirelles réussit une fois de plus à nous scotcher et voilà un film que je vous conseille de découvrir absolument !

  • La cité des hommes

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    Dans les favelas de Rio, Hibou (Jonathan Haagensen) règne en maitre. Il contrôle tous les trafics du coin et surtout possède les armes qui font qu’il est craint et respecté par tous. Acerola & Petite orange (Douglas Silva & Darlan Cunha) sont 2 potes d’enfance, 2 frères qui ont grandi sans la présence de leur père et ils essayent de se tenir à l’écart de ces histoires de gang. Il faut dire qu’à 18 ans à peine, Acerola est déjà le père d’un petit garçon et qu’il doit faire face à ses responsabilités. Pendant ce temps, Petite orange lui veut retrouver le père qu’il n’a jamais connu mais cette recherche ne sera pas facile.

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    C’est avec La Cité de Dieu que le réalisateur Fernando Meirelles s’est fait connaitre du grand public ; film choc qui décrivait le quotidien misérable d’habitants des fameuses favelas. A partir de ce succès, une série fut lancée et confiée au réalisateur Paulo Morelli que l’on retrouve ici pour cette adaptation cinématographique. Offrant à ces 2 personnages principaux un passage sur le grand écran avec La cité des hommes qui reste un film tout à fait abordable indépendamment de la série télévisée. Si l’histoire de guerre des gangs n’est pas très passionnante, on sera plus sensible au destin des 2 héros sur qui reposent l’essentiel du long métrage.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de partir de la plage sans votre enfant.