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christopher lee

  • Le hobbit : La désolation de Smaug

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    La quête continue pour Bilbon Sacquet (Martin Freeman), Thorin Ecu-de-Chêne (Richard Armitage) et leurs compagnons de route. Ils doivent se rendre à Erebor et pour cela ils vont devoir traverser la forêt noire où derrière chaque arbre se cache de terribles dangers. Pas de surprises donc à ce qu’ils soient attaqués par des araignées géantes qui veulent satisfaire leur faim et tous nos potes ne devront leur survie qu’à l’intervention des elfes menés par Legolas (Orlando Bloom). Ce n’est pas pour autant qu’ils seront considérés comme des alliés puisqu’ils se retrouvent aussitôt prisonniers et c’est là qu’entre en jeu Bilbon qui possède un précieux atout dans sa poche. Pendant ce temps, Gandalf (Ian McKellen) cherche à en savoir plus sur le fameux Nécromancien.

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    Et c’est reparti de plus belle avec ce 2nd volet des aventures de Bilbon et bien entendu, on est dans la parfaite continuité du précédent épisode. Il y a quand même un peu plus d’action avec Le hobbit : La désolation de Smaug notamment avec cette impressionnante évasion des nains de la citadelle des elfes. On peut s’attarder sur ces derniers car l’apparition d’Orlando "Legolas" Bloom et dans une moindre mesure d’Evangeline Lilly apportent un bon coup de boost à la saga. La déception du 1er épisode laisse place à du vrai plaisir avec pour conclure un beau remake de David contre Goliath à la sauce Tolkien par contre plus d’un sera frustré de devoir attendre le dernier volet pour l’apothéose.

     

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  • Frankenweenie

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    Notre pote Victor Frankenstein est un enfant assez solitaire ; la seule compagnie qu’il accepte c’est celle de son chien Sparky. Inséparables jusqu’au jour où un grand malheur frappe le jeune maitre ; son chien se lance à la poursuite d’une balle de baseball et va mourir heurté par une voiture. Pour Victor, c’est une disparition déchirante dont il a du mal à se remettre et il va alors envisager une idée insensée : le ressusciter ! New Holland est une ville où la foudre frappe en abondance et c’est en mettant en application quelques cours qu’il souhaite utiliser l’incroyable énergie déployée pour redonner vie à Sparky et le plus beau dans tout ça c’est que ça marche. Il est vivant, il est vivant !!

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    Retour à l’animation pour notre pote Tim Burton 8 ans après Les noces funèbres et il s’intéresse cette fois à la jeunesse d’un certain Victor Frankenstein. Dans l’esprit, ça rappelle un peu le récent L’étrange pouvoir de Norman sur la forme aussi puisqu’on est devant du stop-motion mais ce Frankenweenie tire davantage son inspiration des films des années 1930 d’où le choix audacieux du noir et blanc. On ne s’y trompe pas lorsqu’on voit débarquer cette belle galerie de monstres qui nous rappellent les plus grandes œuvres de l’époque. On retrouve enfin le génie du réalisateur américain qui nous embarque pour une excellente récréation et le coup de foudre n’est pas loin.

     

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  • Dark Shadows

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    1972 à Collinsport dans le Maine. Notre pote Vicky Winters (Bella Heathcote) vient tout juste d’arriver, elle a été engagée par la famille Collins afin de devenir la nouvelle préceptrice du petit David (Gulliver McGrath). Si leur demeure apparait majestueuse, il manque clairement d’entretien mais il faut dire que la famille n’a plus son prestige d’antan. En voyant cela, certains pourraient se retourner dans leur tombe et c’est notamment le cas de Barnabas Collins (Johnny Depp), un vampire qui se retrouve libéré après 196 ans de sommeil. Sa malédiction il la doit à Angelique Bouchard (Eva Green), une sorcière qui n’a pas supporté d’être rejeté par l’homme qu’elle aimait et non seulement il va devoir apprendre à notre époque mais aussi aider ses descendants à redorer leur blason.

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    Une sorcière, un vampire et même un loup-garou ; notre pote Tim Burton ne risquait pas de se sentir dépaysé en adaptant la série homonyme des années 1960. Embarqué dans cette nouvelle aventure, il compte une fois encore sur Johnny Depp grimé en suceur de sang associé à une Eva Green plus femme fatale que jamais. Un cocktail fantastique et morbide assez alléchant au départ  mais l’intrigue fait vite du sur-place et certains personnages comme Elizabeth & Carolyn apparaissent clairement sous-exploités. A défaut de réussir à nous émerveiller, Dark Shadows parvient tout simplement à nous amuser pendant 1H50 mais ne fera pas date dans la filmographie de ce réalisateur à l’imaginaire fantasmagorique.

     

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  • Hugo Cabret

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    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

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    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

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  • Cadavres à la pelle

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    Edimbourg, Ecosse en 1828. Knox & Monroe (Tom Wilkinson & Tim Curry) sont 2 médecins spécialisés dans l’anatomie humaine et qui se livrent une guerre acharnée pour récupérer des cadavres, éléments indispensables pour leurs recherches. Malheureusement, cela devient chaque jour difficile de dénicher des corps à disséquer et c’est là qu’entrent en jeu Burke & Hare (Simon Pegg & Andy Serkis) qui connaissent actuellement quelques soucis d’ordre financier. Ils décident alors de se lancer dans cette nouvelle activité qui va vite s’avérer lucrative ; fournir des cadavres au Dr. Knox quitte à aider certaines personnes à passer de vie à trépas. Evidemment, leur discrétion n’étant pas vraiment leur fort ; ils vont rapidement se faire remarquer

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    Si l’humour noir vous fait pleurer de rire alors il semble bien que ce Cadavres à la pelle vous tende les bras puisque cette comédie anglaise va vous plonger dans une histoire drôlement macabre et inspirée d’un véritable fait-divers. Pour gagner leur vie, notre duo de potes d’enfance décident ainsi de devenir d’apprentis meurtriers ce qui réserve quelques bons moments saupoudrés de quelques piques adressés à nous français qu’on saura apprécier à leur juste valeur. Une comédie pas désagréable une fois qu’on est devant mais qui n’offre hélas rien de vraiment désopilant, on aurait pu s’attendre à plus d’irrévérence et donc ce n’est pas avec ça qu’on se retrouvera mort … de rire !

     

    Il faut le voir pour : Opter pour l’incinération pour vous éviter des problèmes.

  • La locataire

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    Notre pote Juliet (Hilary Swank) traverse actuellement une période difficile ; elle a surpris son petit-ami Jack (Lee Pace) au lit avec une autre femme. Ce fut un vrai coup de massue elle qui avait abandonné tous ses rêves pour s’installer avec lui. Désormais célibataire, elle doit trouver un logement mais les bonnes occasions ne courent pas les rues jusqu’au jour où elle tombe sur un superbe appartement à Brooklyn. Bien que situé à proximité d’une ligne de métro et très exposé au bruit, le faible loyer apparait comme une aubaine et ce qui n’est pas pour la déplaire, le propriétaire de l’immeuble Max (Jeffrey Dean Morgan) est plutôt séduisant. Juliet saute donc sur cette occasion en or mais après quelques jours elle ressent quelque chose d’étrange qui émane de son appartement.

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    Quand la crise immobilière s’associe au manque d’imagination des studios d’Hollywood ça donne un résultat comme La locataire. On est pourtant servi par un casting assez prestigieux entre la double oscarisée Hilary Swank, le beau gosse Jeffrey Dean Morgan & le respecté Christopher Lee malheureusement tous 3 se noient dans un scénario trop convenu. Pire, le personnage d’August incarné par Lee n’existe quasiment pas, il n’est là que pour faire valoir la personnalité trouble de Max. Dès lors que l’on assiste au flashback opéré par le film, on comprend immédiatement de quoi sera faite la suite des évènements et il y a de la déception à ne pas avoir plus de surprises. A moins de vouloir absolument vous échapper de votre foyer, ce n’est pas un film qui s’impose.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier qu’il n’y a rien derrière vos murs !

  • Le dernier des Templiers

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    Pendant des années Behmen (Nicolas Cage) et son pote d’enfance Felson (Ron Perlman) se sont battus au nom de Dieu ; beaucoup de sang a coulé sous la lame de leurs épées de templiers. Seulement, la mort d’innocents leur a ouvert les yeux et ils se sont alors enfuis passant pour des déserteurs. Quelques temps après, ils sont arrêtés mais le Cardinal d’Ambroise (Christopher Lee) leur laisse le choix : être emprisonnés ou servir l’Eglise en accompagnant une fille (Claire Foy) qu’on accuse de sorcellerie. En effet, l’arrivée de celle-ci dans le village coïncide avec une vague de peste qui a touché de nombreuses victimes.

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    La première grande scène de baston nous laisse espérer qu’on va avoir droit à des combats épiques, que Le dernier des Templiers saura nous en mettre plein la vue mais c’est un beau mirage ! Après cette ouverture vite torchée qui a du engloutir une partie du budget, le film de Dominique Sena nous embarque pour un voyage jusqu’au bout de l’ennui. On se réveille légèrement lorsqu’ils doivent traverser un pont en piteux état ou quand des loups super énervés viennent les mordiller à part ça rien à signaler. Le genre de film pour lequel vous devriez être payé pour aller le voir plutôt que l’inverse !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire n’importe quoi au nom de Dieu !

  • Eyes of war

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    Nous sommes en 1988, Mark & David (Colin Farrell &Jamie Sives) sont deux potes d’enfance qui travaillent ensemble en tant que photographes de guerre. Cela fait déjà un mois qu’ils couvrent le conflit entre le Kurdistan et l’Irak et pour David, l’heure du retour à la maison a sonné. En effet, il n’en peut plus de rester éloigné de sa femme Diane (Kelly Reilly) d’autant plus que celle-ci est enceinte et devrait très bientôt accoucher. Les évènements font que les deux photographes se retrouvent séparés et après avoir échappé de peu à la mort, Mark retourne lui aussi en Angleterre. A son retour il est étonné de ne pas voir David et commence à se poser des questions.

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    Beaucoup de films ont souligné l’impact psychologique que pouvait revêtir une guerre sur les soldats mais on se rend moins compte des dommages collatéraux que cela peut provoquer sur des acteurs plus secondaires. Eyes of war s’intéresse ainsi aux reporters de guerre, spectateurs privilégiés mais néanmoins témoins directs des atrocités qui définissent ces conflits. Thème intéressant mais l’intrigue du film ne tient pas très longtemps, on devine rapidement de quoi sera fait le film et ce qui hante le personnage de Mark. Reconnaissons tout de même au film le mérite de nous faire découvrir le point de vue de ces photographes de l’extrême.

     

    Il faut le voir pour : Se contenter de prendre des photos de la nature.