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f. murray abraham

  • The Grand Budapest Hotel

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    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

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    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • Inside Llewyn Davis

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    New York 1971. Llewyn Davis (Oscar Isaac) traverse une période difficile du point de vue financier et pour le moment il s’en sort en squattant les canapés de ses potes d’enfance. C’est encore le cas chez Jim & Jean (Justin Timberlake & Carey Mulligan) mais il va avoir une sacrée surprise en apprenant que cette dernière est enceinte. La mauvaise nouvelle c’est qu’il pourrait être le père et il n’avait vraiment pas besoin de ça actuellement. Son premier disque enregistré ne se vend pas du tout et avec un agent comme Mel (Jerry Grayson), il se demande s’il est vraiment entre de bonnes mains. Difficile pour lui de percer en solo surtout quand tout son entourage ne fait que lui rappeler son ancien partenaire Mike.

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    Pas toujours amateur du cinéma d’Ethan & Joel Cohen, je dois tout de même reconnaitre que cette fois le charme a agi. Avec Inside Llewyn Davis il est d’abord question de musique et nos oreilles sont là pour témoigner ; la bande originale est excellente et contribue au plaisir qu’on prend devant ce film. A travers ce portrait, on ne peut pas pousser non plus à coté de la performance d’Oscar Isaac (pour son premier grand rôle) à la fois égoïste et émouvant qui réussit à emporter le spectateur dans sa quête existentielle. En plus de ça, il est extrêmement bien accompagné avec Carey Mulligan, Justin Timberlake et le ténébreux Garrett Hedlund.

     

    Il faut le voir pour : Amener votre chat avec vous pour vos prochains voyages !

  • Dead man down

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    Animé par la vengeance, notre pote Victor (Colin Farrell) est déterminé à tuer Alphonse Hoyt (Terrence Howard). Cela fait des mois qu’il s’est infiltré dans le gang de ce dernier gagnant peu à peu sa confiance et bientôt il pourra passer à l’acte pour rendre sa justice et honorer ainsi la mémoire d’une femme et d’une fille disparues. Il n’avait par contre pas imaginé qu’une de ses voisines le surprendrait alors qu’il se débarrassait d’un élément gênant. A sa grande surprise, Béatrice (Noomi Rapace) n’a pas l’intention de le dénoncer mais veut faire appel à ses services pour éliminer un homme ; celui qui a provoqué un accident de la route et qui l’a défiguré.

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    Avant même que le film démarre, s’immisce un terrible doute avec Dead man down. C’est en effet en apercevant le célèbre logo des studios WWE (pour l’anecdote, on aperçoit le british Wade Barrett) que j’ai vite réalisé que ce film ne risquait pas de voler bien haut et ba vous savez quoi, les premières impressions sont toujours les bonnes ! L’espoir résidait toutefois dans le générique puisque Niels Arden Oplev, réalisateur du Millénium suédois retrouve Noomi Rapace accompagnée de Colin Farrell mais aussi notre Isabelle Huppert nationale. La déception reprend vite le dessus à cause de son scénario peu palpitant et ce ne sont pas les scènes d’action sans panache qui vont nous consoler, on va vite l’oublier !

     

    Il faut le voir pour : Penser à rendre les Tupperwares, ce n’est pas un cadeau qu’on vous fait !