Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gary oldman

  • Enfant 44

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    1953 à Moscou. Officier du MGB, notre pote Léo (Tom Hardy) mène une carrière exemplaire jusqu’au jour où il arrête Anatoly Brodsky (Jason Clarke). Ce dernier finit par livrer sous la torture une liste de noms, des espions et donc des traitres envers la nation et sur celle-ci se trouve celui de Raïssa (Noomi Rapace), la femme de Léo. Au même moment, son collègue et pote d’enfance Alexeï (Fares Fares) a le malheur de perdre son fils victime, selon la version officielle, d’un accident de train. En vérité, le garçon a été assassiné et atrocement mutilé ; son tueur est encore en liberté et va frapper de nouveau.

    01.jpg

    Adaptation du livre de Tom Rob Smith, on peut trouver en fait dans Enfant 44 deux films en un. Dans un premier temps, le réalisateur Daniel Espinosa s’attache principalement à nous décrire un système Stalinien particulièrement répressif, un "paradis" qui ne manquera d’ailleurs pas de provoquer des réactions officielles à la sortie en salles. Il y a par la suite une seconde partie où débute réellement le thriller; où un simple fait-divers se mue en une série de meurtres sordides. Avec un casting étoffé mené par le duo Noomi Rapace / Tom Hardy, on a un film qui tient la route et on aurait apprécié que l'intrigue principale soit amorcée un peu plus tôt bien qu'on ne voit pas le temps passer.

     

    Il faut le voir pour : Rappeler à vos enfants de ne pas parler aux inconnus !

  • La planète des singes : L’affrontement

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    10 ans se sont écoulés depuis que César (Andy Serkis) et les autres singes ont gagné leur liberté. Durant ce temps, un virus s’est propagé à une vitesse telle qu’aujourd’hui l’humanité est menacée d’extinction. A San Francisco, ceux qui ont réussi à survivre se sont rassemblés et cherchent à contacter d’autres personnes qui seraient dans le même cas. C’est au cours de leurs recherches qu’un groupe mené par Malcolm (Jason Clarke) va croiser des singes et dans la panique un coup de feu est tiré. Immédiatement les singes accourent sur les lieux, leur leader César calme tout de suite les siens en laissant repartir les humains mais ils seront amenés à se revoir prochainement !

    01.jpg

    Après un premier épisode plutôt réussi, les singes savants sont de retour avec toujours à leur tête l’impérial César. Face à lui par contre il y a des changements puisque Jason Clarke, Gary Oldman & Keri Russell tenteront de nous faire oublier l’absence de James Franco. A ce sujet, c’est loin d’être réussi puisque leurs personnages manquent clairement d’intérêt tout comme ce scénario très convenu et forcément tout ça amène une certaine déception. Pour le reste, La planète des singes : L’affrontement est digne de son statut de blockbuster avec des effets spéciaux toujours aussi impressionnants mais le réalisateur Matt Reeves (Cloverfield, Laisse-moi entrer) ne réussira pas à marquer la saga de son empreinte.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous laisser amadouer par les singes qui se font passer pour des singes !

     

    En savoir plus sur La planète des singes - Les origines ?

  • RoboCop

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des machines afin d’assister l’armée américaine dans ses interventions à travers le monde. Cependant, pour la société Omnicorp il y a un gros marché qui lui échappe encore ; celui des Etats-Unis où l’opinion public reste hostile face à ces machines. Les choses pourraient bien changer puisque Detroit va assister à la naissance d’un nouvel héros. L’officier de police Alex Murphy (Joel Kinnaman) a été victime d’une terrible explosion qui l’a lourdement handicapé devenant ainsi un sujet d’expérimentation pour Omnicorp. Sous la tutelle du Dr Norton (Gary Oldman), Alex est totalement transformé pour devenir celui que l’on appellera désormais RoboCop.

    01.jpg

    27 ans après la première adaptation dirigée par Paul Verhoeven, le héros a droit à un petit reboot marquant peut-être le début d’une nouvelle saga au cinéma. La bonne idée vient du fait de confier la réalisation à José Padilha qui nous avait séduit avec son Tropa de Elite, une promesse qui ne sera qu’illusoire. Si on ne s’attendait pas forcément à une grande claque, on espérait quand même avoir droit à un petit pop-corn movie histoire de se vider la tête mais ce n’est pas vraiment le cas. La faute avant tout à de bonnes scènes d’action assez rares puisqu’il faut juste se contenter d’un RoboCop tirer dans tous les sens et parfois même en conduisant sa superbe moto. Tout ça manque donc de panache pour séduire.

     

    Il faut le voir pour : (Re)-Découvrir le cousin des Daft Punk !

  • Des hommes sans loi

    star 04.jpg

    aff.jpg

    En 1919 est instaurée la prohibition aux Etats-Unis, l’alcool va alors faire l’objet de nombreux trafics. 1931, Franklin en Virginie. Pour trouver de l’alcool, rien de plus simple ; il vous suffit de passer par les Bondurant. Ces 3 frères fabriquent et distribuent leur whisky, une affaire lucrative qui pourrait bien être menacée par l’arrivée du nouveau procureur et surtout de son bras droit l’agent spécial Charlie Rakes (Guy Pearce). Prêt à tout pour faire respecter la loi, c’est une longue bataille qui commence où personne ne sera épargné. Il en faudra plus pour faire plier Forrest, Howard & Jack (Tom Hardy, Jason Clarke & Shia LaBeouf) ; les Bondurant sont au dessus des lois et ils comptent bien le rester !

    01.jpg

    Ça s’annonçait plutôt bien ; retour à l’époque de la prohibition autrement dit l’âge d’or du gangstérisme américain et puis quel casting ! Tom Hardy, Jessica Chastain, Shia LaBeouf, Mia Wasikowska mais surtout un formidable Guy Pearce ; cela faisait longtemps qu’on n’avait pas vu un tel salopard (et élégant avec ça) au cinéma. Inspiré de la véritable histoire des invincibles frères Bondurant, il est assuré que Des hommes sans loi va devenir un futur classique du genre. Le seul bémol à signaler concernerait certains personnages comme un Howard trop lisse ou un Jack pas très malin. On en ressort totalement enivré et c’est bien entendu un beau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que même avec la gorge tranchée vous pouvez faire 30 kilomètres à pied … ou presque !

  • The Dark Knight Rises

    star 03.5.jpg

    2167860595.61.jpg

    Les années passent mais personne à Gotham City n’a oublié l’héroïsme du procureur Harvey Dent disparu il y a 8 ans maintenant. La criminalité dans la ville n’est désormais plus qu’un vague souvenir et Batman semble s’être retiré tout comme son alter-ego Bruce Wayne (Christian Bale) devenu un vrai fantôme. Le justicier devra pourtant reprendre du service car Gotham est en proie aux actions d’un dangereux terroriste appelé Bane (Tom Hardy) mais est-il encore capable de protéger sa ville ? Pendant ce temps, une certaine Selina Kyle (Anne Hathaway) s’est introduite dans son manoir afin de dérober un objet précieux ; le commanditaire de ce vol a en effet pour objectif d’anéantir l’empire de Wayne.

    01.jpg

    Après un 2nd épisode aussi immense, le défi était de taille pour Christopher Nolan de conclure comme il se doit sa trilogie hélas nos attentes ont peut-être été trop grandes. Attention, s’il s’agit d’un bon Batman, le film n’arrive pas à s’élever outre mesure du fait d’un scénario assez basique. La révolution menée par Bane est un pétard mouillé et même si le colosse est impressionnant, il n’a pas l’envergure nécessaire pour marquer nos esprits comme l’avait fait le Joker. Il y avait des doutes également sur Catwoman et s’il n’y a pas grand-chose à dire sur son interprète, sa présence dans The Dark Knight Rises n’apporte strictement rien. Un final qui s’achève en demi-teinte mais il aura réussi au moins à réhabiliter le héros et offert aux adaptations de comics une autre dimension auprès des spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu'aucun coffre n'est inviolable !



    En savoir plus sur Batman ?

    En savoir plus sur Batman, le défi ?
     
    En savoir plus sur Batman Forever
     
    En savoir plus sur Batman & Robin ?


    En savoir plus sur Batman Begins ?

    En savoir plus sur The dark knight-Le chevalier noir ?



    En savoir plus sur Batman Year One ?

    En savoir plus sur Superman Batman/Public Enemies ?


  • La taupe

    star 04.jpg

    aff.jpg

    Le Circus. Siège des services de renseignements britanniques dirigés par Control (John Hurt). Une information capitale est parvenue à ses oreilles, il existerait une taupe parmi eux et il confie à Jim Prideaux (Mark Strong) le soin de se rendre à Budapest pour obtenir ce précieux renseignement. L’opération tourne au fiasco et l’agent Prideaux est froidement abattu. Un an plus tard, le gouvernement britannique reçoit un coup de fil d’un certain Ricky Tarr (Tom Hardy) qui relance la rumeur de la taupe. On fait alors appel à George Smiley (Gary Oldman), ancien membre du Circus et proche de Control afin de tirer toute cette histoire au clair et découvrir l’identité du traitre qui sommeille dans leurs rangs.

    01.jpg

    C’est l’un des rares films que j’ai été amené à revoir dans la foulée ! Non pas que j’ai été emballé mais tout simplement parce que j’avais été totalement largué lors de la première séance au point d’être incapable de vous résumer l’histoire. Il est ainsi impératif au spectateur de rester très attentif devant La taupe pour ne serait-ce que comprendre la trame scénaristique car un simple mot ou un nom évoqué suffit pour vous entrainer en un autre lieu ou  à une autre époque. La mise en scène de Tomas Alfredson, le papa de Morse, semble au premier abord amorphe mais j’avoue que ce n’est qu’à la seconde vision que j’ai pu entrevoir toutes les subtilités de la réalisation et apprécier comme il se doit les prestations d’un casting impressionnant. Une 3ème séance ne serait peut-être pas inutile !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il n’est pas si facile de déterrer une taupe !

  • Kung Fu panda 2

    aff.jpg

    C’est une chose à peine croyable, Maitre Rhino, grand expert en arts-martiaux a été vaincu par le vil Shen grâce à une arme dévastatrice. Si personne ne se dresse contre lui, c’est à coup sur la mort du Kung-fu qui se profile à l’horizon ! Pas de panique, Po, le désormais légendaire Guerrier dragon est là accompagné de ses potes les 5 cyclones ; ils vont ramener la justice. Cependant, avant de partir en direction de la ville de Gongmen, Po fut déconcerté par une vision qu’il a eu en plein milieu d’un combat : des souvenirs de sa mère sont remontés à la surface. A sa grande surprise, son père l’oie lui apprend qu’il a été adopté !!

    01.jpg

    Le premier épisode avait su trouver son public et il n’y a aucune raison que cette suite ne suive pas le même chemin vers le succès ! Po, le panda nous revient plus bastonneur mais surtout plus affamé que jamais. Les scènes d’action sont vraiment époustouflantes et on peut sans aucun doute affirmer qu’on a devant nos yeux les plus belles séquences en la matière dans le domaine du film d’animation. Reste ensuite une histoire qu’on aurait appréciée plus étoffé notamment en ce qui concerne les origines de Po mais la séquence finale annonce d’ores et déjà un troisième épisode ! Trop fort ce Kung Fu panda 2, Coup de cœur Ciné2909 et un seul mot : Skadoosh !!

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de mettre des radis dans vos soupes !

     

    En savoir plus sur Kung-fu Panda ?

  • Le chaperon rouge

    aff.jpg

    Le village de Daggorhorn est situé à l’orée d’une grande foret et c’est là que vit Valérie (Amanda Seyfried) et sa famille. C’est un jour dramatique pour elle car sa sœur ainée Lucie (Alexandria Maillot) a été tuée par le loup-garou qui terrorise la région. Pour le chasser, on a fait appel au Père Solomon (Gary Oldman) qui a déjà eu affaire à ce genre de créature responsable de la disparition de sa famille. Pendant ce temps, Valérie apprend que son mariage a été arrangé avec Henry (Max Irons) ; une décision qu’elle ne peut accepter. La seule personne à qui elle pourra offrir son amour est son pote d’enfance Peter (Shiloh Fernandez) mais est-il vraiment digne de confiance ?

    01.jpg

    Faire un film sur le conte de Perrault, Le chaperon rouge avait de quoi éveiller notre curiosité mais quand on apprend que la réalisation a été confiée à Catherine Hardwicke (Twilight) ; ça s’est rapidement transformé en grande perplexité. A quelques détails près, on retrouve les mêmes éléments que la saga de Stephenie Meyer à savoir une jeune demoiselle en détresse qui doit faire un choix crucial entre 2 beaux mecs et j’entends déjà des spectateurs s’enfuir ! Il n’y a donc rien à retenir de ce soi-disant film et la déception est grande, le projet intéressant s’est donc transformé en un résultat aberrant.

     

    Il faut le voir pour : Rendre visite à votre grand-mère.

  • Le livre d'Eli

    aff.jpg

    Depuis la Grande guerre, la Terre n'est plus qu'un amas de poussière où seule une poignée d'hommes ont eu la chance de survivre. Eli (Denzel Washington) est un solitaire qui fait route vers l'Ouest et évidemment sur son chemin, il lui arrive de croiser des vermines qui ne vivent que de vols et de meurtres. Il arrive alors dans un village placé sous le joug d'un certain Carnegie (Gary Oldman) qui, impressionné par ses talents de combattant, voudrait bien en faire son homme de main. Ce que Carnegie ignore pour l'instant c'est que son nouvel hôte possède le livre qu'il cherche depuis des lustres.

    01.jpg

    Un monde apocalyptique où l'homme est poussé dans ses derniers retranchements pour survivre ; un paysage qu'on commence à avoir l'habitude de voir au cinéma. Alors bien sur, s'il n'y avait pas eu déjà toute cette flopée de films post-apocalyptique, on serait ravi de découvrir Le livre d'Eli et surtout on ne serait pas particulièrement frappé par un scénario à la gloire de la Bible. Coté action, ce n'est pas le grand panard et je vous épargne une dernière scène ridicule où Mila Kunis se transforme en justicière après avoir joué les victimes pendant toute la durée du film.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus rien jeter, vous pourrez peut-être le marchander dans un futur plus ou moins proche.

     

  • Harry Potter et le prince de sang mêlé

    aff.jpg

    C’est désormais officiel pour le monde entier, Voldemort est bel et bien ressuscité. A l’aube d’une nouvelle année à Poudlard, l’inquiétude va grandissant car l’école est une cible toute désignée pour les mangemorts. Harry Potter (Daniel Radcliffe) et ses potes d’enfance accueillent un nouveau professeur Horace Slughorn (Jim Broadbent) dont le retour n’est pas anodin. C’est Dumbledore (Michael Gambon) lui-même qui a orchestré ce retour car dans le passé, Slughorn a eu à faire à un certain Tom Jedusor (Hero Fiennes Tiffin/Frank Dillane) et leur rencontre fut déterminante pour le destin d’Harry.

    19129762.jpg

    Le dénouement approche à grands pas et le suspense est à son comble mais Harry Potter et le prince de sang mêlé est assez décevant. Le film tient plus de la comédie romantique avec les histoires entre Ron/Hermione/Lavande & Harry/Ginny. Par ci par là se glissent quelques souvenirs concernant le passé de Tom Jedusor a.k.a. Voldemort et enfin le personnage de Drago sert à autre chose que le bouffon de service. L’intrigue est donc bien mince et les rares scènes d’action ne peuvent satisfaire pleinement notre appétit. Espérons que le dernier roman adapté en un dyptique permettra à David Yates de se lâcher un peu plus car on attend tous une conclusion monumentale !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à transplaner, ça pourrait être utile en temps de grève.

     

    En savoir plus sur Harry Potter à l'école des sorciers ?

    En savoir plus sur Harry Potter et la chambre des secrets ?

    En savoir plus sur Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban ?

    En savoir plus sur Harry Potter et la coupe de feu ?

    En savoir plus sur Harry Potter et l'ordre du phénix ?

    En savoir plus sur Harry Potter et les reliques de la mort Partie 1 ?