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  • Hitman : Agent 47

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    A la fin des années 1960, le professeur Litvenko (Ciarán Hinds) a lancé avec succès le programme Agents créant de véritables machines à tuer. Il a rapidement pris conscience de son erreur et a mis fin à cela avant de prendre la fuite. D’autres expériences similaires ont été lancés mais les résultats escomptés n’étaient pas au rendez-vous aussi cherche-t-on maintenant à remettre la main sur Litvenko afin qu’il livre ses secrets. La seule personne qui pourrait retrouver sa trace est Katia Van Dees (Hannah Ware) qui semble posséder certains dons et c’est en Allemagne qu’on retrouve la jeune femme. Un certain John Smith (Zachary Quinto) l’aborde avant qu’ils soient tous deux poursuivis par l’Agent 47 (Rupert Friend).

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    Le jeu vidéo avait déjà connu une première adaptation en 2007 qui n'avait pas soulevé les foules et débarque donc 8 ans plus tard ce reboot qui ne devrait pas faire mieux ! On dit adieu à Timothy Olyphant pour accueillir Rupert Friend tandis que pour la réalisation Xavier Gens laisse la chaise à Aleksander Bach pour son premier long-métrage . Il n'y a pas beaucoup d’âme dans ce Hitman : Agent 47 ; il faudra se contenter de quelques scènes d'action misant sur le spectaculaire car pour le reste c'est sans intérêt. On ne sait pas de quoi sera fait l'avenir cinématographique de ce personnage mais je pense que beaucoup préféreront le retrouver sur consoles plutôt que dans un film !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier qu'il n'y a pas un double sens à votre nom !

     

    En savoir plus sur Hitman ?

  • La dame en noir

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    La naissance de son fils Joseph (Misha Handley) fut à la fois un bonheur et un malheur car son épouse Stella (Sophie Stickey) perdit dans le même temps la vie plongeant notre pote Arthur Kipps (Daniel Radcliffe) dans une profonde détresse. Ce notaire n’est pas au bout de ses peines car le cabinet dans lequel il travaille est prêt à se passer de ses services, sa dernière chance repose sur un dossier à régler à Crythin Gifford. Arthur doit donc s’absenter pour quelques jours et lorsqu’il arrive au village, l’accueil est plutôt froid pour ne pas dire déplaisant. La maison dans le marais dont il doit s’occuper alimente de nombreuses histoires morbides et il va se rendre compte qu’il s’y passe effectivement de drôles de phénomènes.

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    Si La dame en noir ne comptait pas dans sa distribution le désormais célèbre Daniel Radcliffe pour son premier grand rôle au cinéma après la longue saga Harry Potter, ce film passerait bien inaperçu. D’ailleurs même avec sa présence, on est loin d’être convaincu par ce film d’horreur qui vous réserve tout juste quelques sursauts si vous avez eu la chance de garder les yeux ouverts. Bardé d’un scénario sans éclat et d’une réalisation qui confine à un ennui aussi profond qu’interminable, Radcliffe fait son maximum pour nous ensorceler sans succès. Ça ne fera ni le bonheur du spectateur ni une belle référence pour l’acteur qu’on attendra désormais à chaque fois au tournant !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’offrir des vêtements noirs à votre femme !

     

    En savoir plus sur La dame en noir 2 : L'ange de la mort ?

  • John Carter

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    C’est une aventure qui commence en 1868, notre pote John Carter (Taylor Kitsch) tente d’échapper à la cavalerie américaine qui souhaiterait l’enrôler de gré ou de force. Dans sa fuite et sous la menace des indiens, il trouve refuge dans une grotte où est renfermé un mystérieux signe inscrit dans la roche. Un homme vêtu de manière étrange apparait soudainement et dans la confusion, John  perd conscience. A son réveil, il est au milieu d’un désert mais le plus surprenant c’est qu’au départ il n’arrive même pas à faire un pas sans tomber. Il l’ignore encore pour le moment mais il a atterri sur une autre planète appelée Barsoom que nous humains connaissons sous le nom de Mars.

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    Né de l’imagination du romancier Edgard Rice Burroughs (connu aussi comme le papa de Tarzan), le personnage de John Carter pourrait bien devenir le héros d’une nouvelle saga cinématographique. Expédié sur la planète rouge, c’est l’occasion pour le spectateur de découvrir de drôles de créatures, des monstres gigantesques et 2-3 engins volants. Il est toujours amusant de découvrir un nouvel univers malheureusement ici on en fait rapidement le tour. Les héros n’arrivent pas non plus à nous emballer, Taylor Kitsch manque de charisme tandis que Lynn Collins essaie de faire concurrence à la Princesse Leïa dans Le retour du Jedi. Si techniquement le film a les moyens de ses ambitions, il n’offre pas du tout le spectacle divertissant qu’on était en droit d’attendre.

     

    Il faut le voir pour : Vous entrainer au saut en hauteur.

  • Ghost Rider : L'esprit de vengeance

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    Depuis qu’il a signé un pacte avec le diable, la vie de notre pote Johnny Blaze (Nicolas Cage) est devenu un véritable … enfer ! Pour tenter de se protéger de cela, il a décidé de s’exiler en Europe de l’Est mais un certain Moreau (Idris Elba) est parvenu à retrouver sa trace. Cela ne semble pas relever du hasard mais plutôt du destin puisqu’il va lui demander de venir en aide à un jeune garçon du nom de Danny (Fergus Riordan). Enfin ce n’est pas vraiment Johnny dont il est venu demander l’aide mais plutôt celle de son hôte maléfique, le terrible Ghost Rider ! En échange de ce service, Moreau promet à l’ancien cascadeur de le débarrasser à jamais de sa malédiction mais la mission ne s’annonce pas aussi facile qu’il ne le pensait.

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    De toutes les adaptations des comics Marvel, Ghost Rider est loin de figurer parmi les grands succès ; on le rangerait plutôt du coté des Quatres Fantastiques ou Daredevil. Certains pensaient qu’on pouvait difficilement faire pire que le premier volet et ils ont quand même réussi à le faire ! La seule scène un tant soit peu valable reste une impressionnante baston où le Rider dévaste tout un chantier mais en dehors de ça, c’est le néant. Déjà que Cage ne fait pas l’unanimité auprès des lecteurs de Marvel, il risque de les énerver encore plus puisqu’il surjoue à fond les manettes pour tenter de donner à son personnage un coté torturé mais parvient juste à déclencher les rires. Ghost Rider : L'esprit de vengeance est un échec total qui risque d’enterrer le personnage à moins de faire un reboot complet.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment le Ghost Rider fait pipi.


    En savoir plus sur Ghost Rider ?

  • La taupe

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    Le Circus. Siège des services de renseignements britanniques dirigés par Control (John Hurt). Une information capitale est parvenue à ses oreilles, il existerait une taupe parmi eux et il confie à Jim Prideaux (Mark Strong) le soin de se rendre à Budapest pour obtenir ce précieux renseignement. L’opération tourne au fiasco et l’agent Prideaux est froidement abattu. Un an plus tard, le gouvernement britannique reçoit un coup de fil d’un certain Ricky Tarr (Tom Hardy) qui relance la rumeur de la taupe. On fait alors appel à George Smiley (Gary Oldman), ancien membre du Circus et proche de Control afin de tirer toute cette histoire au clair et découvrir l’identité du traitre qui sommeille dans leurs rangs.

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    C’est l’un des rares films que j’ai été amené à revoir dans la foulée ! Non pas que j’ai été emballé mais tout simplement parce que j’avais été totalement largué lors de la première séance au point d’être incapable de vous résumer l’histoire. Il est ainsi impératif au spectateur de rester très attentif devant La taupe pour ne serait-ce que comprendre la trame scénaristique car un simple mot ou un nom évoqué suffit pour vous entrainer en un autre lieu ou  à une autre époque. La mise en scène de Tomas Alfredson, le papa de Morse, semble au premier abord amorphe mais j’avoue que ce n’est qu’à la seconde vision que j’ai pu entrevoir toutes les subtilités de la réalisation et apprécier comme il se doit les prestations d’un casting impressionnant. Une 3ème séance ne serait peut-être pas inutile !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il n’est pas si facile de déterrer une taupe !

  • L’affaire Rachel Singer

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    1997 à Tel-Aviv en Israël. Sarah Singer (Romi Aboulafia) est journaliste et célèbre la sortie de son livre consacré à la capture d’un criminel de guerre ; Vogel (Jesper Christensen) connu sous le surnom du Chirurgien de Birkenau. Cette histoire elle la connait sur le bout des doigts puisque ce sont ses parents Rachel & Stephan (Helen Mirren / Jessica Chastain & Tom Wilkinson / Marton Csokas) ex-agents du Mossad qui avaient pour mission de le capturer. C’était il y a 30 ans, ils étaient en Allemagne en compagnie de David (Sam Worthington / Ciarán Hinds) mais au moment où il a fallu évacuer ce prisonnier, ils ont du faire face à un imprévu. L’histoire officielle raconte que c’est en tentant de s’échapper que Vogel a été abattu mais la vérité est tout autre et est sur le point d’éclater.

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    Remake du film israélien La dette, L’affaire Rachel Singer sait tenir le spectateur en haleine tant par son histoire que par son double trio de comédiens. Le casting est irréprochable avec une mention particulière pour Helen Mirren, Jessica Chastain (la découverte de The tree of life) & Marton Csokas. Habilement construit, le film part du dénouement d’une opération secrète pour revenir sur son déroulement afin de contredire la version officielle. S’il faut faire des reproches, on soulignera juste l’absence de réelle surprise sinon tout est donc réuni pour faire plaisir à de nombreux spectateurs et passer un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Se rappeler que la vérité ne vieillit jamais !

  • Le rite

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    La tradition familiale veut que l’on devienne soit croque-mort soit prêtre et notre pote Michael Novak (Colin O'Donoghue) a fait son choix ! Il a vu assez de cadavres dans sa vie et s’oriente donc vers l’Eglise mais à l’aube d’être nommé prêtre, il décide de se retirer prétextant un manque de conviction en sa foi. Le Père Matthew (Toby Jones) l’envoie alors à Rome en Italie afin qu’il se penche plus particulièrement aux enseignements du Vatican sur l’exorcisme. Loin d’être convaincu, il va alors trouver le Père Lucas Trevant (Anthony Hopkins) connu pour les nombreuses séances d’exorcisme qu’il a pratiqué.

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    Depuis le désormais classique L’exorciste de William Friedkin, beaucoup d’autres réalisateurs se sont essayés sur le sujet avec des résultats de diverses fortunes. Le rite s’appuie sur un livre et surtout des faits réels et s’apparente même à un biopic du prêtre Gary Thomas (inspirant le personnage de Michael) qui exerce actuellement aux États-Unis. Voilà la seule chose intéressante puisqu’en ce qui concerne ce film, car on reste clairement sur notre faim. Si la présence d’Anthony Hopkins aurait pu être un atout, en face de lui le débutant Colin O'Donoghue est totalement transparent. Avec son scénario qui sent le réchauffé, on finit donc par rapidement se lasser et on espère qu’Hollywood se fera bientôt exorcisé pour arrêter de nous proposer de tels films.

     

    Il faut le voir pour : Penser à couper votre portable pendant les séances d’exorcisme !

  • Life during wartime

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    Il faut bien que notre pote Joy (Shirley Henderson) se fasse une raison, son mari Allen (Michael Kenneth Williams) est un pervers, une maladie avec laquelle elle va devoir vivre. Pour l'instant, elle a décidé de faire un break en Californie où vivent sa mère et sa sœur Trish (Allison Janney) dont le fils Timmy (Dylan Riley Snider) va prochainement célébrer sa bar-mitsva. Ce dernier est par ailleurs très troublé puisqu'il vient d'apprendre une terrible nouvelle, son père qu'il croyait mort est en fait emprisonné après avoir été condamné pour pédophilie.

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    Pour les connaisseurs, Life during wartime est en quelque sorte une suite au film Happiness de Todd Solondz sorti en 1998. Le réalisateur reprend les mêmes personnages pour les plonger dans le monde actuel avec un humour corrosif et parfois très osé. Cependant, le film est vite rattrapé par des portraits souvent ennuyeux malgré quelques scènes surréalistes comme cette conversation entre mère et fils sur l'orgasme qu'elle a eu. Une pertinence qu'on aurait bien apprécié de retrouver tout au long du film hélas c'est une certaine monotonie pour ne pas dire de l'ennui qui reprend vite le dessus.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d'assassiner les bébés carottes !