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futur

  • Le livre d'Eli

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    Depuis la Grande guerre, la Terre n'est plus qu'un amas de poussière où seule une poignée d'hommes ont eu la chance de survivre. Eli (Denzel Washington) est un solitaire qui fait route vers l'Ouest et évidemment sur son chemin, il lui arrive de croiser des vermines qui ne vivent que de vols et de meurtres. Il arrive alors dans un village placé sous le joug d'un certain Carnegie (Gary Oldman) qui, impressionné par ses talents de combattant, voudrait bien en faire son homme de main. Ce que Carnegie ignore pour l'instant c'est que son nouvel hôte possède le livre qu'il cherche depuis des lustres.

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    Un monde apocalyptique où l'homme est poussé dans ses derniers retranchements pour survivre ; un paysage qu'on commence à avoir l'habitude de voir au cinéma. Alors bien sur, s'il n'y avait pas eu déjà toute cette flopée de films post-apocalyptique, on serait ravi de découvrir Le livre d'Eli et surtout on ne serait pas particulièrement frappé par un scénario à la gloire de la Bible. Coté action, ce n'est pas le grand panard et je vous épargne une dernière scène ridicule où Mila Kunis se transforme en justicière après avoir joué les victimes pendant toute la durée du film.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus rien jeter, vous pourrez peut-être le marchander dans un futur plus ou moins proche.

     

  • Doomsday

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    Imprévisible et dévastateur, le virus du faucheur a frappé de plein fouet et le nombre de victimes ne cessait d’augmenter. La catastrophe prit une telle ampleur que l’Angleterre, terre d’asile des rescapés, a du construire un mur laissant l’Ecosse à son propre destin. Malgré toutes les précautions, le virus continue sa propagation et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne ravage le cœur de l’Angleterre. Un infime espoir existe ; de l’autre coté du mur des images montrent qu’il existerait un remède et pour en avoir le cœur net, une opération spéciale est mise en place avec à sa tête Eden Sinclair (Rhona Mitra).

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    Un virus qui transforme et décime la population ; à première vue on se dit que Doomsday promet d’être un énième film de zombies. Pourtant, très vite on se rend compte que c’est encore pire que ça puisque le réalisateur Neil Marshall (The descent) a voulu jouer sur tous les tableaux. Jeux de guerre entre militaires suréquipés et punks cannibales, combat à mort à la sauce médiévale et enfin une course poursuite façon Mad Max. Le mélange est vraiment étrange sans compter une extrême violence (même les lapins ne sont pas épargnés) et vous voilà devant un beau navet. A ne voir que si le monde est effectivement sur le point d’être anéanti

  • Idiocracy

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    Joe Bowers (Luke Wilson) travaille dans l’armée mais sa seule fonction est de rester le cul assis sur une chaise à regarder la télévision. A 8 ans de la retraite, sa vie va basculer car il a les aptitudes nécessaires pour la nouvelle opération Top secrète de l’armée : la cryogénisation. De tous les candidats potentiels, on l’a retenu car il est l’archétype même de l’homme moyen et surtout il n’a pas de famille qui s’inquiètera de son absence. Joe accepte donc de servir de cobaye avec Rita (Maya Rudolph), une prostituée qu’il pense être une grande artiste pour cette expérience d’une année et qui accidentellement va durer…500 ans ! Quand ils se réveillent, l’humanité a décliné ; les hommes sont devenus idiots à tel point que Joe est devenu l’homme le plus intelligent du monde.

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    Ce film fait peur car derrière cette comédie se cache un fonds de vérité ; l’homme s’abrutit chaque jour ! Il n’y a qu’à voir la qualité de certaines émissions de télévision pour s’en convaincre mais pour en revenir sur Idiocracy, ce n’est surement pas avec ce genre de films qu’on va ressortir plus intelligent. Si cette déferlante de bêtise était marrante, on aurait pu apprécier le film mais malheureusement on est plus proche du navet qu’autre chose. Les bonnes idées se font trop rares (Les cafés Starbucks et l’entrée du président des Etats-Unis) et Luke Wilson a bien du mal à nous faire rire à moins d’apprécier des blagues aussi évoluées que l’homme de Neandertal.

  • Demolition man

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    1996. Simon Phoenix (Wesley Snipes) est un dangereux criminel que rien n’arrête. Il laisse derrière lui nombre de victimes et l’agent John Spartan (Sylvester Stallone) va tout faire pour mettre fin à sa folie meurtrière. Une prise d’otages se termine de façon désastreuse, une explosion fait plusieurs morts ; Phoenix prétend que Spartan les a laissé mourir pour qu’il puisse le mettre sous les verrous. Le jugement est sans appel, les deux individus sont condamnés à la cryogénisation. 36 années plus tard, les progrès permettent de les ramener à la vie dans un monde qui a bien changé. Malgré le traitement qu’il a subi, Phoenix reste toujours aussi imprévisible et pour le stopper il faut ressusciter notre pote John Spartan !

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    Un des derniers grands films d’action musclée pour Sylvester Stallone qui pour l’occasion joue au gendarme et au voleur avec son pote Wesley Snipes. Bourrin par excellence, Demolition man est assez amusant de par le fait que l’action se situe dans un monde futuriste donnant lieu à quelques situations incongrues (Schwarzie en homme politique, ça faisait rire à l’époque mais plus aujourd’hui !). Cela reste avant tout un film pour les mecs que l’on revoit toujours avec plaisir d’autant plus que c’est l’occasion de voir une très belle scène d’amour entre Sly & Sandra Bullock dans un de ses premiers grands rôles.