Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jason clarke

  • Everest

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Depuis que des hommes comme Tensing Norgay ou Edmund Hillary ont escaladé jusqu’au sommet de l’Everest dans les années 1950, cela a fait de nombreux émules par la suite. Nous sommes en 1996 et de nombreuses sociétés ont vu le jour afin de proposer cette incroyable expédition à toute personne se sentant l’âme d’un aventurier. Pour conquérir l’Everest, il faut cependant une condition physique optimale car dans cet environnement hostile vous pouvez y laisser votre vie ! A la tête d’Adventure consultants, notre pote Rob Hall (Jason Clarke) prépare sa prochaine ascension et sa priorité est et restera toujours de tout faire pour ramener ses clients en vie.

    01.jpg

    Qui n’aurait pas envie de fait un tour sur le toit du monde ? Atteindre le sommet de l’Everest n’est pas à la portée du premier venu mais surtout cette ascension est bordée de dangers comme en témoigne cette histoire rendant hommage à Rob Hall et ses compagnons. Avec des paysages enneigés à perte de vue, quelques plans qui vous donneraient presque le vertige ; on est happé dans leur incroyable aventure et vous n'échapperez pas à quelques frissons. On regrette juste que le réalisateur Baltasar Kormákur parasite son film avec ces quelques scènes ne cherchant qu'à tirer quelques larmes aux spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous plaindre quand vous devez monter des escaliers !

  • Terminator Genisys

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    En 1997, Skynet a changé la face du monde. A partir de cette date, les machines ont pris progressivement le pouvoir réduisant l’humanité à l’esclavage. Nous sommes en 2029, une résistance s’est organisée sous l’impulsion de John Connor (Jason Clarke) et c’est d’ailleurs grâce à lui que notre pote Kyle Reese (Jai Courtney) est encore vivant aujourd’hui. Leur combat contre Skynet est proche du dénouement mais ils découvrent à ce moment-là qu’une machine a été envoyée dans le passé. Le but est d’empêcher la naissance de John Connor et pour cela ils vont s’en prendre à sa mère Sarah (Emilia Clarke). Kyle va à son tour voyager dans le temps et revenir en 1984 mais au moment où il part John est soudainement attaqué.

    01.jpg

    Il nous l’avait dit et donc He’s back !! Après une petite parenthèse plutôt réussie en compagnie de Christian Bale et de Sam Worthington, voilà donc que notre pote Arnold Schwarzenegger repointe le bout de son nez de T-800 pour la suite ou plutôt de la saga. Si on retrouve des noms que l’on connaît par cœur, les visages ont changé place donc à Emilia Clarke, Jason Clarke & Jai Courtney pour tenter de relancer la machine. Si l’action est au rendez-vous, ce Terminator Genisys ne se montre pas non plus véritablement éblouissant (ça aurait été sympa de voir un peu plus Byung-Hun Lee !) et ne comble pas les attentes qu'il a suscité. D'autres aventures sont à prévoir mais on espère quand même qu'elles se montreront plus convaincantes au risque de détruire un mythe !

     

    Il faut le voir pour : Essayer de ne pas vous forcer à sourire parce que ça se remarque quand même …

     

    En savoir plus sur Terminator Renaissance ?

  • Enfant 44

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    1953 à Moscou. Officier du MGB, notre pote Léo (Tom Hardy) mène une carrière exemplaire jusqu’au jour où il arrête Anatoly Brodsky (Jason Clarke). Ce dernier finit par livrer sous la torture une liste de noms, des espions et donc des traitres envers la nation et sur celle-ci se trouve celui de Raïssa (Noomi Rapace), la femme de Léo. Au même moment, son collègue et pote d’enfance Alexeï (Fares Fares) a le malheur de perdre son fils victime, selon la version officielle, d’un accident de train. En vérité, le garçon a été assassiné et atrocement mutilé ; son tueur est encore en liberté et va frapper de nouveau.

    01.jpg

    Adaptation du livre de Tom Rob Smith, on peut trouver en fait dans Enfant 44 deux films en un. Dans un premier temps, le réalisateur Daniel Espinosa s’attache principalement à nous décrire un système Stalinien particulièrement répressif, un "paradis" qui ne manquera d’ailleurs pas de provoquer des réactions officielles à la sortie en salles. Il y a par la suite une seconde partie où débute réellement le thriller; où un simple fait-divers se mue en une série de meurtres sordides. Avec un casting étoffé mené par le duo Noomi Rapace / Tom Hardy, on a un film qui tient la route et on aurait apprécié que l'intrigue principale soit amorcée un peu plus tôt bien qu'on ne voit pas le temps passer.

     

    Il faut le voir pour : Rappeler à vos enfants de ne pas parler aux inconnus !

  • La planète des singes : L’affrontement

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    10 ans se sont écoulés depuis que César (Andy Serkis) et les autres singes ont gagné leur liberté. Durant ce temps, un virus s’est propagé à une vitesse telle qu’aujourd’hui l’humanité est menacée d’extinction. A San Francisco, ceux qui ont réussi à survivre se sont rassemblés et cherchent à contacter d’autres personnes qui seraient dans le même cas. C’est au cours de leurs recherches qu’un groupe mené par Malcolm (Jason Clarke) va croiser des singes et dans la panique un coup de feu est tiré. Immédiatement les singes accourent sur les lieux, leur leader César calme tout de suite les siens en laissant repartir les humains mais ils seront amenés à se revoir prochainement !

    01.jpg

    Après un premier épisode plutôt réussi, les singes savants sont de retour avec toujours à leur tête l’impérial César. Face à lui par contre il y a des changements puisque Jason Clarke, Gary Oldman & Keri Russell tenteront de nous faire oublier l’absence de James Franco. A ce sujet, c’est loin d’être réussi puisque leurs personnages manquent clairement d’intérêt tout comme ce scénario très convenu et forcément tout ça amène une certaine déception. Pour le reste, La planète des singes : L’affrontement est digne de son statut de blockbuster avec des effets spéciaux toujours aussi impressionnants mais le réalisateur Matt Reeves (Cloverfield, Laisse-moi entrer) ne réussira pas à marquer la saga de son empreinte.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous laisser amadouer par les singes qui se font passer pour des singes !

     

    En savoir plus sur La planète des singes - Les origines ?

  • White house down

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Bien décidé à regagner l’amour de sa fille Emily (Joey King), notre pote John Cale (Channing Tatum) lui a fait une belle surprise avec cette visite à la Maison Blanche. La cerise sur le gâteau ce serait que cet ancien soldat intègre les services de protection du Président des Etats-Unis James Sawyer (Jamie Foxx) mais son entretien se passe mal. Il n’aura pas le temps de tergiverser sur cet échec car une bombe vient d’exploser dans le Capitole et l’état d’alerte maximale est déclenchée : la Maison Blanche est attaquée ! Séparée de sa fille, John va prendre tous les risques pour la retrouver et ce faisant il va également venir en aide au Président. Le sort des Etats-Unis est désormais entre ses mains.

    01.jpg

    Roland Emmerich aime détruire la Maison Blanche ; après Le jour d’après, 2012 & Independence Day (qui fait d’ailleurs l’objet d’un petit clin d’œil), c’est donc avec John McClane … ah non pardon John Cale autrement dit Channing Tatum qu’il va lancer un joli feu d’artifices. Pas de surprises, White house down s’accompagne de bonnes scènes d’actions rythmées par des fusillades, explosions et crashs d’hélicoptères sans oublier l’élan patriotique de rigueur pour ce genre de films. Un divertissement assumé mais on reste un peu sur notre faim, La chute de la Maison Blanche m’avait lui laissé un meilleur souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Avoir la confirmation qu’il y avait bien des tunnels secrets pour faire entrer Marylin !

  • Gatsby le magnifique

    star 04.jpg

    aff.jpg

    Sa rencontre avec Jay Gatsby (Leonardo DiCaprio) a changé la vie de Nick Carraway (Tobey Maguire). Beaucoup de rumeurs circulent à propos de ce Gatsby ; on dit qu’il est issu d’une grande famille, qu’il a fait la guerre où il s’est illustré par sa bravoure et ses exploits. La vérité, Nick l’apprendra bien assez tôt puisque tous deux vont devenir plus que des potes d’enfance ; ce sont désormais de vieux frères ! Il y a autre chose qui lie ces deux hommes ou plus précisément quelqu’un puisque Gatsby aimerait revoir Daisy Buchanan (Carey Mulligan), la cousine de Nick. Leur histoire remonte à 5 ans et ils n’ont jamais eu l’occasion de se revoir jusqu’à maintenant.

    01.jpg

    Roman de Francis Scott Fitzgerald, Gatsby le magnifique aime le grand écran puisqu’il s’agit déjà de sa 4ème adaptation cinématographique confiée à Baz Lurhman. Bon vu que je ne connais des versions précédentes, le jeu des comparaisons est vite réglé. Pour en revenir à celle qui nous intéresse, le réalisateur de Moulin rouge connait la recette pour assurer le spectacle et il nous le prouve une fois encore en mettant en scène ces fêtes pharaoniques éblouissantes. On en prend donc plein les yeux, le film est servi par une belle brochette d’acteur, l’opulence se décline sous toutes ses formes et ne reste plus qu’à prendre du plaisir !

     

    Il faut le voir pour : Reconnaitre que, quand même, femme au volant …

  • Des hommes sans loi

    star 04.jpg

    aff.jpg

    En 1919 est instaurée la prohibition aux Etats-Unis, l’alcool va alors faire l’objet de nombreux trafics. 1931, Franklin en Virginie. Pour trouver de l’alcool, rien de plus simple ; il vous suffit de passer par les Bondurant. Ces 3 frères fabriquent et distribuent leur whisky, une affaire lucrative qui pourrait bien être menacée par l’arrivée du nouveau procureur et surtout de son bras droit l’agent spécial Charlie Rakes (Guy Pearce). Prêt à tout pour faire respecter la loi, c’est une longue bataille qui commence où personne ne sera épargné. Il en faudra plus pour faire plier Forrest, Howard & Jack (Tom Hardy, Jason Clarke & Shia LaBeouf) ; les Bondurant sont au dessus des lois et ils comptent bien le rester !

    01.jpg

    Ça s’annonçait plutôt bien ; retour à l’époque de la prohibition autrement dit l’âge d’or du gangstérisme américain et puis quel casting ! Tom Hardy, Jessica Chastain, Shia LaBeouf, Mia Wasikowska mais surtout un formidable Guy Pearce ; cela faisait longtemps qu’on n’avait pas vu un tel salopard (et élégant avec ça) au cinéma. Inspiré de la véritable histoire des invincibles frères Bondurant, il est assuré que Des hommes sans loi va devenir un futur classique du genre. Le seul bémol à signaler concernerait certains personnages comme un Howard trop lisse ou un Jack pas très malin. On en ressort totalement enivré et c’est bien entendu un beau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que même avec la gorge tranchée vous pouvez faire 30 kilomètres à pied … ou presque !

  • Trust

    star 03.jpg

    aff.jpg

    A 14 ans, Annie (Liana Liberato) comme beaucoup de ses potes d’enfance passe énormément de temps sur son téléphone portable et les chats sur Internet ; c’est là qu’elle a fait la connaissance de Charlie (Tristan Peach). Ce dernier s’est présenté comme un garçon de 16 ans et durant 2 mois, ils n’ont cessé de discuter et parfois même de vive voix. Pour l’adolescente, c’est un vrai coup de cœur et le seul hic c’est qu’il ne vit pas à coté mais elle est loin de s’imaginer que cet homme a en réalité plus de 30 ans ! Elle ne le découvrira qu’au moment de leur rencontre ; désagréablement surprise, elle va finir par se laisser de nouveau séduire par le discours de Charlie jusqu’au point de le suivre à l’hôtel.

    01.jpg
    Si les progrès des technologies de la communication ont été une révolution pour beaucoup cela s’est aussi accompagnée de son lot de désagréments. Après la comédie avec Cours toujours Dennis, David Schwimmer (oui, le Ross de Friends !) change totalement de registre et s’empare de faits divers qui ont malheureusement fait l’actualité. Si dans un premier temps le déroulement de Trust apparaît plutôt classique, le développement de l’histoire prend une tournure intéressante avec les répercussions d’un tel traumatisme au cœur d’une famille guidée par Clive Owen. On appréciera notamment la prestation de Liana Liberato parfaite dans le rôle de victime en plein déni ; un film dans l'ensemble plutôt réussi.



    Il faut le voir pour : Confisquer le portable de votre fille, surveillez ses accès internet et se renseigner sur les couvents les plus proches de chez vous !