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abbie cornish

  • Prémonitions

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    Trois meurtres avec un mode opératoire identique et aucuns indices en dehors de messages évasifs ; c’est ce qui va pousser Joe Merriwether (Jeffrey Dean Morgan) à demander de l’aide. Il va essayer de convaincre son pote John Clancy (Anthony Hopkins) qui s’est isolé du monde depuis 2 ans à la suite de la mort de sa fille. Il possède des dons exceptionnels ; ses visions prémonitoires pourraient indéniablement faire avancer leur enquête. Réticent au départ, il finit par accepter de rejoindre Joe mais aussi sa coéquipière Katherine Cowles (Abbie Cornish). Ils commencent par tenter de trouver le lien qui unit les meurtres jusqu’à ce qu’une 4ème victime émerge.

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    Sans vouloir me la jouer, j’avais prédis que toi là devant ton écran tu lirais cet avis ! Prémonitions c’est donc un thriller où notre pote Anthony Hopkins va devoir tenter de résoudre une enquête un peu particulière et ça tombe bien vu qu’il possède des donc extraordinaires. Le réalisateur Afonso Poyart étoffe son second long-métrage de quelques effets artificiels histoire de dynamiser un peu l’ensemble mais cela reste assez superflu. On est bien loin du suspense haletant néanmoins et surtout les personnages se montrent finalement pas très intéressants ; à voir seulement si vous n'avez rien prévu à faire!

     

    Il faut le voir pour : Faire attention quand vous touchez les gens, vous pourriez voir de drôles de choses !

  • RoboCop

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    Dans un futur proche, les progrès technologiques ont permis de créer des machines afin d’assister l’armée américaine dans ses interventions à travers le monde. Cependant, pour la société Omnicorp il y a un gros marché qui lui échappe encore ; celui des Etats-Unis où l’opinion public reste hostile face à ces machines. Les choses pourraient bien changer puisque Detroit va assister à la naissance d’un nouvel héros. L’officier de police Alex Murphy (Joel Kinnaman) a été victime d’une terrible explosion qui l’a lourdement handicapé devenant ainsi un sujet d’expérimentation pour Omnicorp. Sous la tutelle du Dr Norton (Gary Oldman), Alex est totalement transformé pour devenir celui que l’on appellera désormais RoboCop.

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    27 ans après la première adaptation dirigée par Paul Verhoeven, le héros a droit à un petit reboot marquant peut-être le début d’une nouvelle saga au cinéma. La bonne idée vient du fait de confier la réalisation à José Padilha qui nous avait séduit avec son Tropa de Elite, une promesse qui ne sera qu’illusoire. Si on ne s’attendait pas forcément à une grande claque, on espérait quand même avoir droit à un petit pop-corn movie histoire de se vider la tête mais ce n’est pas vraiment le cas. La faute avant tout à de bonnes scènes d’action assez rares puisqu’il faut juste se contenter d’un RoboCop tirer dans tous les sens et parfois même en conduisant sa superbe moto. Tout ça manque donc de panache pour séduire.

     

    Il faut le voir pour : (Re)-Découvrir le cousin des Daft Punk !

  • 7 psychopathes

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    Scénariste, notre pote Marty (Colin Farrell) travaille actuellement sur un projet au titre prometteur : 7 psychopathes. Le film mettrait donc en scène 7 psychopathes et pour le moment ça s’arrête là, il doit encore définir ses héros hésitant notamment entre un bouddhiste et un amish. Très vite, la réalité va dépasser la fiction puisque Billy (Sam Rockwell) va l’embarquer dans une sacrée galère. Ce dernier s’amuse en effet à kidnapper des chiens et avec la complicité d’Hans (Christopher Walken), ils les rendent à leurs maitres pour empocher la récompense. Seulement, ils n’auraient jamais du toucher à Bonny le Shih Tzu de Charlie (Woody Harrelson), un gangster prêt à tout pour récupérer son pote d’enfance.

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    C’est vrai que le titre a de la gueule surtout avec un casting rassemblant Colin Farrell, Sam Rockwell, Woody Harrelson & Christopher Walken et surtout 7 psychopathes est un petit délire comme on les aime. Au fur et à mesure que Marty pose ses idées sur le papier, des pastilles s’insèrent entre les scènes pour donner vie à des histoires toutes plus insensées les unes que les autres. Autant les Bons baisers de Bruges m’avaient laissé indifférent, autant ces retrouvailles entre McDonagh & Farrell se révèlent bien fun avec au programme gangsters, kidnapping de chiens et autres psychopathes accompagnés de lapin blanc.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire chier les vietnamiens !

  • W.E.

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    Son prénom, elle le doit à Wallis Simpson (Andrea Riseborough), une américaine du début du XXème siècle qui bouleversa la royauté anglaise par la relation qu’elle entretenait avec Edouard (James d'Arcy), Prince de Galles et futur roi d’Angleterre. La vie de Wally Winthrop (Abbie Cornish), à son grand regret, est loin d’être un conte de fée ; elle vit avec William (Richard Coyle), un médecin prestigieux mais qui se montre rarement disponible difficile alors pour le couple d’envisager de fonder une famille. Tout comme sa mère et sa grand-mère avant elle, Wally est obnubilée par la vie qu’a mené le duc et la duchesse de Windsor et lorsque Sotheby’s organise une vente aux enchères des objets ayant appartenu au couple royal, elle passe ses journées à l’exposition précédant l’évènement laissant parfois son esprit vagabonder.

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    Ce n’est pas 1 mais 2 histoires que nous dévoile W.E., la dernière réalisation de Madonna. Nous découvrons ainsi les vies parallèles de 2 femmes de différentes époques impliquant un perpétuel va-et-vient temporel assez troublant au départ. Le problème est que si la vie de Wallis Simpson, future Duchesse de Windsor reste assez passionnante à suivre, ce n’est pas le cas avec l’histoire de la pauvre Wally malgré tout le talent d’Abbie Cornish. Les points de vue alimenteront les discussions mais à mes yeux, ce film n’est ni plus ni moins qu’un biopic sur Simpson que la reine de la pop a voulu naïvement embellir. A voir juste pour compléter votre connaissance de la famille royale anglaise d’autant plus si vous avez apprécié Le discours d’un roi.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre femme participer à une vente aux enchères, ça pourrait vous couter cher !

  • Limitless

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    Notre pote Eddie Morra (Bradley Cooper) est une vraie épave, cet écrivain en manque d’inspiration vient de se faire plaquer par Lindy (Abbie Cornish). Un nouvel échec sentimental après un 1er mariage raté. C’est donc un homme au fond du trou que croise Vernon (Johnny Whitworth), son ex beau-frère mais il a peut-être une solution pour lui ! Eddie reçoit une pilule révolutionnaire capable de libérer le cerveau de ses pleines capacités. Sceptique au départ, il se rend très vite compte des facultés de cette nouvelle drogue et va chercher en s’en procurer davantage sans se soucier des éventuels effets secondaires qui pourraient se manifester.

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    Ah si cette pilule était réelle, elle ferait à coup sur un tabac surtout pour certains réalisateurs ! Après son deuxième Very bad trip, Bradley Cooper continue de consommer des substances illicites à la différence qu’ici ça le rend totalement irrésistible, on ne peut pas en dire autant de Limitless. Les 45 premières minutes sont bonnes, même très bonnes avec une réalisation très décalée de Neil Burger mais c’est par la suite que l’histoire prend une tournure malhabile. Plutôt que de continuer sur le même état d’esprit, il transforme son film en un thriller mièvre où De Niro vient jouer le figurant de luxe.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre médecin de vous prescrire quelques pilules.

  • Sucker Punch

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    A la mort de sa mère, notre pote Babydoll (Emily Browning) savait que sa vie ne serait plus jamais la même. Abusée par un beau-père sans scrupules, elle voulait défendre sa petite sœur mais l’a accidentellement tué, un évènement qui va la conduire jusqu’aux portes de Lennox House, un asile psychiatrique. Pour échapper à cette geôle, Babydoll se met à s’imaginer dans une autre réalité où des robots géants, des soldats mécaniques ou de gigantesques dragons se dressent face à son objectif : la liberté ! Avant de pouvoir toucher du doigt ce rêve ; elle devra réunir 5 objets en compagnie de ses potes d’enfance Sweet Pea, Rocket, Blondie & Amber (Abbie Cornish, Jena Malone, Vanessa Hudgens & Jamie Chung).

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    Ce sont les mâles qui vont être ravis avec Sucker Punch puisque ce ne sont pas moins de 5 charmantes demoiselles qui vont vous accompagner pendant 1H50. Après le décevant Le royaume de Ga’Hoole - La légende des gardiens, on retrouve la folie qui caractérise Zack Snyder qui livre ici un long-métrage dédié aux geeks du monde entier. Méchas, robots samouraïs, femmes fatales ; tout est réuni pour exciter la testostérone des spectateurs, c’est un véritable émerveillement pour les yeux et on en veut encore. Il y a un certain relâchement sur la dernière demi-heure, on aurait apprécié un final plus explosif mais ça reste tout de même un beau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Ouvrir votre esprit !

  • Bright Star

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    Fanny Brawne (Abbie Cornish) ne s'est jamais vraiment intéressée à la poésie, elle était plutôt plongée dans la couture créant des robes uniques en leur genre. Tout ceci était vrai jusqu'à ce qu'elle rencontre John Keats (Ben Wishaw), poète peu épargné par la critique et qui doit faire face à de graves problèmes familiaux. En effet, son jeune frère est gravement malade et John se sent impuissant ne pouvant que le réconforter lors de ses crises. C'est ainsi que Fanny a commencé à côtoyer John puis au fil du temps c'est la passion de l'amour qui les a réuni. Toutefois leur relation ne peut être officialisé car le poète est criblé de dettes et n'a pas du tout les moyens d'épouser celle qu'il aime.

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    De la poésie et de l'amour, n'est ce pas là un programme qui vous fait rêver ? Pendant 2h00 on voit donc Fanny Brawne & John Keats roucouler, se tenir la main, s'échanger des rimes et surtout souffrir d'amuuur car la vie à 2 est impossible. Pour apprécier comme il se doit Bright Star, il faut avoir une certaine sensibilité, celle d'apprécier le lyrisme d'une poésie et si cela n'est pas votre cas, vous risquez de vous ennuyer. Outre ce coté fleur bleue qui touchera essentiellement un public féminin, on appréciera tout de même la révélation du film qu'est Abbie Cornish et le très beau couple qu'elle forme avec Ben Wishaw.

     

    Il faut le voir pour : Mettre des papillons dans votre chambre.