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toby kebbell

  • Les 4 fantastiques (2015)

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    Ses camarades de classe ont beau se moquer de lui, Reed Richards (Owen Judge / Miles Teller) sait qu'un jour on sera capable de téléporter l'homme. D'ailleurs, bien qu'il ne soit encore qu'un enfant, il travaille sur cette invention qui sera à coup sur révolutionnaire et c'est cela qui va lui permettre de se faire un pote d'enfance du nom de Ben Grimm (Evan Hannemann / Jamie Bell). C'était il y a 7 ans maintenant et aujourd'hui le génie créatif de Reed a encore du mal à être reconnu sauf peut-être par le Dr Franklin Storm (Reg E. Cathey). Ce dernier va en effet lui offrir les moyens de ses ambitions et c'est ainsi qu'une machine va parvenir à ouvrir la voie vers une nouvelle dimension qui réserve de fantastiques découvertes pour nos scientifiques !

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    Après une version un peu trop élémentaire proposée par le réalisateur Tim Story, Les 4 fantastiques reviennent sur le grand écran avec ce reboot confié à Josh Trank qui s'était révélé avec Chronicle. Pari osé d'autant plus que le casting s'est lui aussi beaucoup rajeuni au point qu'on a plus l'impression d'avoir une adaptation de l'univers Ultimate du comics que de la version classique. Des choix audacieux qui malheureusement s'évanouissent vite dans ce qu'on qualifiera comme un ratage. Nos personnages ont tous chopés le pouvoir de Sue et sont devenus invisibles rendant ainsi le film fantastiquement ennuyeux et il faut se montrer patient pour avoir un peu d'action. La famille de héros la plus célèbre semble être frappée d'une drôle de malédiction à notre grand regret !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller ce que votre fils fabrique dans la cave !

     

    En savoir plus sur Les 4 Fantastiques (2005) ?

    En savoir plus sur Les 4 Fantastiques et le Surfeur d'argent ?

  • La planète des singes : L’affrontement

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    10 ans se sont écoulés depuis que César (Andy Serkis) et les autres singes ont gagné leur liberté. Durant ce temps, un virus s’est propagé à une vitesse telle qu’aujourd’hui l’humanité est menacée d’extinction. A San Francisco, ceux qui ont réussi à survivre se sont rassemblés et cherchent à contacter d’autres personnes qui seraient dans le même cas. C’est au cours de leurs recherches qu’un groupe mené par Malcolm (Jason Clarke) va croiser des singes et dans la panique un coup de feu est tiré. Immédiatement les singes accourent sur les lieux, leur leader César calme tout de suite les siens en laissant repartir les humains mais ils seront amenés à se revoir prochainement !

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    Après un premier épisode plutôt réussi, les singes savants sont de retour avec toujours à leur tête l’impérial César. Face à lui par contre il y a des changements puisque Jason Clarke, Gary Oldman & Keri Russell tenteront de nous faire oublier l’absence de James Franco. A ce sujet, c’est loin d’être réussi puisque leurs personnages manquent clairement d’intérêt tout comme ce scénario très convenu et forcément tout ça amène une certaine déception. Pour le reste, La planète des singes : L’affrontement est digne de son statut de blockbuster avec des effets spéciaux toujours aussi impressionnants mais le réalisateur Matt Reeves (Cloverfield, Laisse-moi entrer) ne réussira pas à marquer la saga de son empreinte.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous laisser amadouer par les singes qui se font passer pour des singes !

     

    En savoir plus sur La planète des singes - Les origines ?

  • Cartel

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    Tout semble aller pour le mieux pour cet Avocat (Michael Fassbender) qui mène la belle vie aux cotés de Laura (Penélope Cruz) qui deviendra bientôt sa femme. A première vue, il s’agit donc d’un homme honnête mais il est toutefois sur le point de prendre une décision qui sera lourde de conséquences en s’associant à Reiner (Javier Bardem), un dealer assez extravagant pour une affaire de trafic de drogues se chiffrant à 20 millions de dollars. Appâté par cette fortune, il ne s’est pas posé beaucoup plus de questions seulement à trop vouloir jouer avec le feu, on finit par se bruler et notre pote va en faire l’amère expérience.

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    Qu’il est difficile de résister à ce casting 5 étoiles rassemblant quand même Michael Fassbender, Brad Pitt, Javier Bardem, Cameron Diaz & Penélope Cruz. Par contre, Ridley Scott risque d’en déboussoler plus d’un avec la construction très particulière de son Cartel. Le film est en effet une succession de face à face ponctué par les dialogues biscornus de Cormac McCarthy et ce thriller se dote ainsi d’un rythme très particulier reléguant au second plan les phases d’action à notre grand regret. Reste alors plus qu’à se contenter des échanges peu enthousiastes et prétentieux entre les différents personnages qui tentent de faire exister ce qui ne sera qu’un gigantesque néant.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre femme seule avec la voiture !

  • The East

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    Notre pote Sarah Moss (Brit Marling) travaille chez Hiller Brood, une agence spécialisée à laquelle font appel de grandes sociétés pour neutraliser certaines menaces. Il y a longtemps qu’elle attendait cela ; elle va enfin participer à sa première mission qui est d’infiltrer un groupe éco-terroriste appelé The East. Leur but est simple ; ils font tout pour dévoiler aux yeux du monde ceux qu’ils considèrent comme responsables en appliquant la loi du talion à travers des actions chocs. Bien entendu, il est difficile de les approcher et encore plus d’intégrer ce groupe qui prend toutes les précautions nécessaires mais Sarah va finalement réussi à se faire sa place même si pour cela elle a du participer à leurs interventions.

     

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    Si pour certains l’écologie pourrait être assimilé au mieux à un devoir civique ou encore à un hobby pour d’autres c’est un engagement fort. Si l’on connait surtout Greenpeace pour leurs différentes actions plus ou moins médiatisées, les activistes ne manquent pas et avec The east on infiltre l’une de ses organisations qui fait trembler les industriels. De ce combat noble nait un scénario pour lequel on se passionne bien que plus il se rapproche du dénouement plus il se révèle terriblement prévisible. En plus de ça, leurs soi-disant actions chocs manquent d’éclat puisqu’à part préparer un cocktail et faire prendre un bain à un mec il n’y a pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. Ce n’est pas le film qui fera éveiller les consciences mais il tient la route !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jeter autant de nourriture à la poubelle.

  • La colère des Titans

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    Après sa bataille épique contre le Kraken, notre pote Persée (Sam Worthington) et son fils Hélios (John Bell) se sont retirés sur une ile où le héros est devenu un simple pêcheur. Zeus (Liam Neeson) vient pourtant solliciter son aide ; les hommes ne prient plus les Dieux dont les pouvoirs ne cessent de s’amenuiser et cela pourrait permettre aux Titans de se libérer du Tartare. Persée ne souhaite plus être mêlé à ses histoires mais bien malgré lui il va devoir prendre part à cette bataille titanesque. Arès (Edgar Ramírez) a en effet trahi Zeus & Poséidon (Danny Huston) et s’est rallié à Hadès (Ralph Fiennes) afin de libérer Cronos, roi des Titans et père des Dieux.

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    Sans un petit paquet de pop-corn, c’est un film qui perd déjà beaucoup de son intérêt ! Vous l’aurez compris, on ne fait pas dans la dentelle avec La colère des Titans, la suite de Le choc des Titans qui avait été confié aux mains du français Louis Leterrier mais qui laisse sa chaise de réalisateur à Jonathan Liebesman. On ne s’est évidemment pas beaucoup trifouillé les méninges pour pondre le scénario et en même temps ce n’est pas ce qu’on est venu chercher mais de l’action. Après une petite mise en bouche plutôt sympa, l’odyssée de Persée trouve son petit rythme de croisière pour se conclure avec une confrontation qui n’a rien à envier avec celle du Kraken. Léger mais en tout cas plus divertissant que son prédécesseur.

     

    Il faut le voir pour : Recommencer à prier les Dieux mais pas n’importe lesquels !


    En savoir plus sur Le choc des Titans ?

  • Cheval de guerre

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    C’est par pure fierté que Ted Narracott (Peter Mullan) a acheté ce cheval et sa femme Rose (Emily Watson) n’arrive toujours pas à croire qu’il ait dépensé 30 Guinées pour ça ! Alors qu’elle souhaitait rendre l’animal, son fils Albert (Jeremy Irvine) réussit à la convaincre de le garder à la condition de le dresser comme il se doit. Il lui donne ainsi le nom de Joey qui va devenir un vrai pote d’enfance. Bien que celui-ci soit magnifique, il n’est pas taillé pour les travaux de la ferme et pourtant, alors que personne n’y croyait, il va accomplir des miracles. Hélas pour Albert, ses parents traversent une période difficile et Ted n’a d’autres choix que de vendre le cheval. La guerre vient en effet d’être déclarée et Joey va traverser de nombreux champs de bataille.

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    En jetant un coup d’œil rapide à l’histoire, on se dit que l’amitié entre un garçon et son cheval va quand même avoir du mal à nous captiver mais Steven Spielberg n’est pas n’importe qui ! C’est sur que si Cheval de guerre avait continué sur le même rythme que la première demi-heure, on aurait pu trouver le temps long. Seulement, le réalisateur a l’ingéniosité de nous faire partager d’autres récits autour de ce cheval exceptionnel et surtout le film se pare de magnifiques scènes de guerre, l’impressionnante attaque des cavaliers en tête. Il faut un peu de temps pour se laisser entrainer mais après ça on ne décroche plus de l’écran et l’émotion est au rendez-vous.  

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à appeler un cheval !

  • Prince of Persia : Les sables du temps

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    Grâce à l'initiative prise par le prince Dastan (Jake Gyllenhaal), Alamut a été conquis en un rien de temps. On soupçonne en effet ce royaume de fournir de manière illégale des armes aux ennemis de l'empire Perse ; un tissu de mensonges aux dires de la princesse Tamina (Gemma Arterton). Dastan va apprendre la vérité à ses dépens, il est victime d'un complot et est activement recherché après avoir remis une tunique empoisonnée au roi Sharaman (Ronald Pickup), feu son père. Ayant pris la fuite avec Tamina, il veut que justice soit faite et il découvre dans le même temps un objet extraordinaire ; la dague contenant les sables du temps permettant de remonter dans le passé.

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    L'adaptation d'un jeu vidéo sur le grand écran est souvent un coupe-gorge mais Prince of Persia : Les sables du temps s'en tire plutôt bien. On ne peut pas dire que je sois un grand spécialiste de l'univers du héros créé par Jordan Mechner mais on se retrouve face à un film d'aventure agréable qui ne fait toutefois pas oublier un scénario bien mince. On se rend vite compte qu'il s'agit d'un film grand public ; beaucoup d'action et un humour assez primaire (ça reste une production Disney) mais le spectacle fait son œuvre. Idéal pour se changer les idées aussi bien pour les grands que pour les petits.

     

    Il faut le voir pour : Evaluer combien de chameaux vous pourriez avoir en échangeant votre femme.