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  • Hercule

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    Parce qu’il est le fils de l’humaine Alcmène (Karolina Szymczak) et du roi des Dieux Zeus, notre pote Hercule (Dwayne Johnson) est un être unique. Après avoir triomphé des 12 travaux, sa légende s’est propagée jusqu’aux oreilles de Megara (Irina Shayk) venue à sa rencontre. Elle vient de Thrace où son père Cotys (John  Hurt) est victime des atrocités commises par Rhésus (Tobias Santelmann), un tyran aux pouvoirs mystérieux. Hercule et ses potes d’enfance sont donc sollicités pour mettre fin à cette menace mais l’armée de Cotys est constitué d’hommes qui ne connaissent rien de la guerre. Ils ont donc besoin d’être entrainée mais le temps manque car les troupes de Rhésus avancent à grande vitesse et menacent le royaume de Thrace.

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    Après l’anecdotique La légende d’Hercule sorti en Mars 2014, le fils de Zeus a droit à une nouvelle incarnation en la personne de Dwayne Johnson, le mec bâti comme un roc qui vous fera admirer ses muscles. Là encore si vous vous attendiez à des aventures extraordinaires la déception est de mise puisque Brett Ratner s’amuse ici à déconstruire la dimension mythique du héros. Les 12 travaux sont évoqués rapidement et les créatures légendaires qu’on espérait rencontrer laissent place à d’impressionnantes batailles menées à échelle d’homme (et quand même mi-Dieu). Il est bien évident qu’Hercule ne se fera pas apprécier pour son scénario basique, c'est un film d’action parmi tant d’autres qu’on regardera uniquement pour son interprète principal.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que même les devins peuvent se tromper !

  • Only lovers left alive

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    Elle s’appelle Eve (Tilda Swinton) et vit à Tanger, lui se nomme Adam (Tom Hiddleston) et a fait sa vie à Detroit. Tous deux ont vécu beaucoup d’expériences et ont traversé les années et même les siècles puisqu’il s’agit de vampires ! Pour survivre, ils ont besoin de sang mais pas n’importe lequel, si Eve peut se fournir auprès de Christopher Marlowe (John Hurt), Adam a lui trouvé un médecin qu’il paye grassement. Le couple va se réunir puisqu’Eve va faire un long voyage pour rejoindre son bien-aimé. Des retrouvailles auxquelles va s’inviter Ava (Mia Wasikowska) ce qui n’est pas forcément une bonne nouvelle aux yeux d’Adam qui se souvient encore de ce qu’il s’est passé à Paris il y a 87 ans !

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    C’est une vraie curiosité que ce film de Jim Jarmusch parce qu’il traite de vampires mais surtout qu’il fait ça de façon originale. Ici pas de cou mordu tout au long du film, le sang se déguste et vous fait monter au 7ème ciel sans compter cette atmosphère musicale dans lequel on est plongé et vous serez fini d’être persuadé qu’on a bien là quelque chose de différent. Malgré tout, Only lovers left alive peut aussi vite se montrer soporifique car il ne s’y passe presque rien. On a même un peu de mal à entrer dans l’histoire tant les premières minutes sont contemplatives et ça n’aurait pas été du luxe d’avoir un scénario apportant un peu plus de surprises.

     

    Il faut le voir pour : Choper une recette originale pour des esquimaux !

  • Alien, le huitième passager

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    Au cœur de l’espace, un vaisseau spatial du nom du Nostromo se dirige vers la Terre mais les occupants sont réveillés de leur profond sommeil car une anomalie a été détectée. Selon leur ordinateur de bord Maman ; une transmission d’origine inconnue a été captée et Dallas (Tom Skerritt) et son équipage doivent y jeter un œil, un devoir qui ne réjouit pas tout le monde. Alors qu’ils posent le pied sur la planète LV-426, cette mission de reconnaissance tourne au désastre lorsque Kane (John Hurt) est attaqué par une mystérieuse créature. Alors que Ripley (Sigourney Weaver) avait refusé de le rapatrier dans le vaisseau, le reste de l’équipage ne se pose pas la question, une imprudence qui va leur couter cher !

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    Sur certains aspects il est indéniable que le chef-d’œuvre de Ridley Scott peut prêter à sourire mais Alien, le huitième passager a bel et bien marqué le cinéma américain. Ce qui n’a par contre pas pris une ride, c’est bien le design de la créature signé Hans Ruedi Giger qui en impose toujours autant ; un élément loin d’être un simple détail dans le succès de la saga. On ne peut pas non plus oublier le rôle de la vie de Sigourney Weaver, Ripley est devenu une icône en devenant la première héroïne véritable d’un film d’action à une époque où cela est loin d’être une évidence. Pour toutes ces raisons, tout amateur du 7ème art ne pourrait faire l’impasse sur cette œuvre qui allait se poursuivre à travers une saga inoubliable.

     

    La scène à ne pas louper : La naissance de l’Alien !


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  • La taupe

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    Le Circus. Siège des services de renseignements britanniques dirigés par Control (John Hurt). Une information capitale est parvenue à ses oreilles, il existerait une taupe parmi eux et il confie à Jim Prideaux (Mark Strong) le soin de se rendre à Budapest pour obtenir ce précieux renseignement. L’opération tourne au fiasco et l’agent Prideaux est froidement abattu. Un an plus tard, le gouvernement britannique reçoit un coup de fil d’un certain Ricky Tarr (Tom Hardy) qui relance la rumeur de la taupe. On fait alors appel à George Smiley (Gary Oldman), ancien membre du Circus et proche de Control afin de tirer toute cette histoire au clair et découvrir l’identité du traitre qui sommeille dans leurs rangs.

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    C’est l’un des rares films que j’ai été amené à revoir dans la foulée ! Non pas que j’ai été emballé mais tout simplement parce que j’avais été totalement largué lors de la première séance au point d’être incapable de vous résumer l’histoire. Il est ainsi impératif au spectateur de rester très attentif devant La taupe pour ne serait-ce que comprendre la trame scénaristique car un simple mot ou un nom évoqué suffit pour vous entrainer en un autre lieu ou  à une autre époque. La mise en scène de Tomas Alfredson, le papa de Morse, semble au premier abord amorphe mais j’avoue que ce n’est qu’à la seconde vision que j’ai pu entrevoir toutes les subtilités de la réalisation et apprécier comme il se doit les prestations d’un casting impressionnant. Une 3ème séance ne serait peut-être pas inutile !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il n’est pas si facile de déterrer une taupe !

  • Les immortels

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    En des temps immémoriaux, époque où les Hommes n’avaient pas encore foulé la Terre il y eut une terrible guerre opposant les Immortels. Ceux qui sont sortis vainqueurs de cette bataille furent élevés au rand de Dieux et adorés tandis que les perdants appelés Titans furent emprisonnés au cœur du Mont Tartare. En Grèce, le roi Hypérion (Mickey Rourke) sème terreur et désolation afin de mettre la main sur un objet précieux : l’arc d’Epire qui lui permettra de délivrer les Titans. Dans sa quête, il va décimer le village de Thésée (Henry Cavill) et ira jusqu’à tuer sa mère sous ses propres yeux mais c’est de ce jeune homme que viendra la lumière. On lui prédit en effet un prestigieux avenir même si l’Oracle Phèdre (Freida Pinto) s’inquiète de cette vision où il se tient aux cotés d’Hypérion.

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    Ce n’est ni la première ni la dernière fois que la mythologie grecque inspire le 7ème art toujours est-il qu’avec Les immortels, l’histoire a été quelque peu arrangé. Si la mémoire vous fait défaut, Thésée c’est le mec qui a mis minable le Minotaure, créature fantastique qui fait une brève apparition dans ce film et encore il s’agit ici d’un simple humain masqué. Ici le héros joue les arbitres entre les Dieux et les Titans dont les 2 scènes de combat présentées façon Matrix sont les plus violentes mais aussi les plus réjouissantes. A part ça, on a vraiment ce qu’on est venu chercher à savoir un ersatz très artificiel d’un 300 où toi pas besoin réfléchir, regarder images et combats et toi te contenter de ça … Brrrr ça fait peur d’être réduit à cet état !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment on peut vous faire boire de l’eau avec sensualité !

  • Melancholia

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    Cela devait être une soirée mémorable pour nos potes Justine & Michael (Kirsten Dunst & Alexander Skarsgård) qui célébraient leur mariage mais cette nuit n’allait pas se dérouler comme ils l’avaient imaginé. La jeune mariée se montre en effet très distante et on doit presque la contraindre à assister à la cérémonie donnée en son honneur ce qui ne plait guère à sa sœur Claire (Charlotte Gainsbourg) et encore moins à John (Kiefer Sutherland), le beau-frère qui a généreusement tout financé. Tandis que les heures s’écoulent, le jeune couple n’aura jamais paru aussi éloigné avant de provoquer une rupture qui semblait inévitable. Ce changement de comportement soudain de la part de Justine trouverait-elle un explication sur le phénomène incroyable que vit la Terre : l’arrivée dans son sillage de la planète Melancholia ?

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    On en a beaucoup parlé lors du Festival de Cannes 2011 d’abord par les propos indécents du réalisateur Lars Von Trier et puis sur une note plus positive avec la Palme de la meilleure interprète féminine attribuée à Kirsten Dunst. Après une magnifique séquence d’introduction, Melancholia nous invite à vivre la fin du monde à travers les visions conjuguées de 2 sœurs chacune se voyant attribuer un chapitre du film. On ne peut pas dire que ce soit réellement subjuguant, disons qu’il nous laisse tout le loisir d’admirer les interprétations parfaites de Kirsten Dunst et de notre Charlotte Gainsbourg nationale. Quant au reste, ça rappelle un peu ce que j’avais ressenti avec The tree of life de Terrence Malick ; pas mal de spectateurs risquent de rester sur la touche devant l’ambition de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas inviter votre patron au mariage, il serait capable de vous faire bosser !

  • Crimes à Oxford

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    L’étude des chiffres le passionne depuis de nombreuses années et notre pote Martin (Elijah Wood) est persuadé que les Mathématiques constituent la clé de voute de notre existence. Porté par sa conviction, il est venu jusqu’en Angleterre pour peaufiner sa thèse en espérant bénéficier de l’aide d’un des plus grands professeurs au monde Arthur Seldom (John Hurt). Dans le cadre de ses études, Mme Eagleton (Anna Massey), proche du professeur avait accepté de l’héberger au sein de sa demeure. Alors que le professeur Seldom venait juste de lui refuser une éventuelle collaboration sur sa thèse, Martin retrouve en compagnie de celui-ci le corps sans vie de Mme Eagleton. C’est un meurtre prémédité puisque des indices sous forme d’énigmes apparaissent et laissent présager d’autres victimes.

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    Si vous n’avez jamais supporté la vue des chiffres, le dernier film d’Alex de la Iglesia va vite vous révulser surtout si en plus vous n’aimez pas vous triturer les méninges. Avec comme thème central les Mathématiques et leur implication sur notre réalité, on aurait pu s’attendre à un thriller au suspense progressif au lieu de quoi on est un peu désorienté par les complexités théoriques énoncées. C’est bien gentil de vouloir donner aux chiffres un rôle à part entière, encore faut-il que Crimes à Oxford prenne la peine de faire participer le spectateur à cet univers énigmatique au lieu de quoi il le délaisse au profit d’une intrigue tortueuse. Ça reste toutefois un film intéressant dans son approche avec une surprise finale pour ce cluedo version maths !

     

    Il faut le voir pour : Réviser vos mathématiques.