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  • The program

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    Après avoir remporté des courses aux États-Unis, notre pote Lance Armstrong (Ben Foster) est venu tenter sa chance en Europe. Malgré ses efforts, ses performances sont décevantes et pour cet homme obsédé par la victoire cela ne peut pas durer plus longtemps. Il est prêt à tout quitte à prendre des produits interdits et c’est ce qui va le conduire à contacter le médecin Michele Ferrari (Guillaume Canet). Le cycliste se métamorphose et rencontre ses premières victoires mais en 1996, sa carrière est brusquement remise en cause lorsqu'on lui diagnostique un cancer des testicules. Comment deviner alors que cet homme deviendra le septuple vainqueur du Tour de France.

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    Pas la peine d’être un grand spécialiste du vélo pour connaître Lance Armstrong qui a fait la une des médias d’abord pour ses performances sportives puis par le scandale du dopage. Stephen Frears revient sur son ascension fulgurante tout comme le fut sa chute ; on y découvre un champion qui aura longtemps vécu dans le déni avant de devenir le héros déchu que l'on connaît aujourd'hui. Pour l'incarner et c'est l'un des points forts de The program, notre pote Ben Foster nous livre une prestation à l'image de sa transformation c'est-à-dire impressionnante. Un biopic sur un personnage malgré tout fascinant et qui doit beaucoup à son interprète principal.

     

    Il faut le voir pour : Ressortir votre vélo !

  • #Chef

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    Derrière ses fourneaux, notre pote Carl Casper (Jon Favreau) s’épanouit totalement au point qu’il en oublierait certaines priorités comme son fils Percy (Emjay Anthony). Chef du restaurant les Gauloises, il est particulièrement à cran car il sait que le critique gastronomique Ramsey Michel (Oliver Platt) est attendu ce soir. Carl avait l’intention de lui préparer un menu spécial à cette occasion mais Riva (Dustin Hoffman), le propriétaire du restaurant lui demande de rester sur le menu traditionnel. Malgré les efforts en cuisine, la critique est cinglante et va amener notre chef à se remettre en question toutefois travailler aux Gauloises ne lui offre pas beaucoup de libertés.

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    Si vous n’en aviez pas assez soupé avec les multiples émissions télévisées, vous pourrez prendre du rab avec #Chef. Comédie dédiée à la cuisine, c’est un projet dans lequel s’est grandement investi Jon Favreau à la fois réalisateur, producteur, scénariste et acteur. Dans cette dernière fonction, on ne peut pas dire qu’il soit très fédérateur et c’est pourquoi il s’est bien entouré avec des seconds rôles tenus par Scarlett Johansson, Dustin Hoffman & Robert Downey Jr. Même si le film parvient à travers quelques images à nous donner l’eau à la bouche, lorsqu’il s’agit de nous faire rire ça tombe toujours à plat. Ça aurait pu être un délicieux feel-good movie mais à la place on a un film sans saveurs au dénouement ridicule.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser votre père se servir de Twitter !

  • Quartet

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    Beecham House est une maison de retraites qui respire la musique et pour cause, il accueille toutes les grandes stars de la musique classique. Actuellement, les répétitions s’enchainent dans la perspective d’un gala qui aura lieu dans 6 mois et qui sera déterminant car il faut récolter des fonds pour garder cet établissement ouvert. Il y a aussi une certaine effervescence car on s’apprête à accueillir un nouvel habitant : Jean Horton (Maggie Smith). Une arrivée qui fait son effet auprès de Cissy, Wilf & Reggie (Pauline Collins, Billy Connolly & Tom Courtenay) puisqu’il s’agit d’anciens potes d’enfance avec lesquels elle formait autrefois un quatuor d’exception.

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    Ce n’est pas pour jouer les mauvaises langues mais à priori un film se déroulant dans une maison de retraite, ça n’avait pas de quoi enchanter le spectateur. On pouvait quand même faire confiance à Dustin Hoffman qui signe ici sa première réalisation pour donner à ce Quartet une mélodie attrayante mais ce n’est pas vraiment le cas. On ne peut rien reprocher aux interprètes qui respectent parfaitement la partition qu’on leur a donné malheureusement l’histoire avance au rythme d’un sénateur. La cerise sur le gâteau étant ce rassemblement d’un quatuor sur scène tant attendu et le dénouement est plus que frustrant !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que si vous aimez le rap alors vous aimerez l’opéra !

  • Le monde de Barney

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    Aujourd’hui producteur d’une série télévisée au succès relatif, notre pote Barney Panofsky (Paul Giamatti) a eu une vie à la fois mouvementée et bien remplie. Comme la plupart des hommes, ce sont ses différentes rencontres avec les femmes qui ont fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Tout a commencé en 1974 à Rome où il épouse Clara (Rachelle LeFevre), un mariage qui tournera cependant court et une histoire qui connaitra un dénouement dramatique. Par la suite, il retrouvera l’amour et malgré quelques tensions entre leurs parents respectifs, c’est un nouveau mariage pour Barney qui ne trouve rien de mieux à faire que de rencontrer la véritable femme de sa vie ! Elle s’appelle Miriam (Rosamund Pike) et vit à New York et il fera tout son possible pour la séduire.

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    Le monde de Barney, c’est le portrait d’un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire dont la vie fut rythmé par ses rencontres amoureuses. Désillusions amoureuses et coup de foudre sont donc au rendez-vous et pour nous accompagner les 2 heures durant, c’est l’éclectique Paul Giamatti qui interprète avec aisance ce personnage débonnaire. Aucun doute, le casting est parfait puisqu’il est accompagné d’un Dustin Hoffman en père imprévisible et d’un charmant duo Minnie Driver / Rosamund Pike. S’il est loin de s’avérer être une fantastique comédie, cette réalisation de Richard J. Lewis a l’avantage que le spectateur ne voit pas le temps défiler et qu’il nous réserve également un joli petit moment d’émotion dans sa conclusion.

     

    Il faut le voir pour : Constater que vous avez toutes les chances de rencontrer la femme de votre vie … à votre propre mariage !

  • Kung Fu panda 2

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    C’est une chose à peine croyable, Maitre Rhino, grand expert en arts-martiaux a été vaincu par le vil Shen grâce à une arme dévastatrice. Si personne ne se dresse contre lui, c’est à coup sur la mort du Kung-fu qui se profile à l’horizon ! Pas de panique, Po, le désormais légendaire Guerrier dragon est là accompagné de ses potes les 5 cyclones ; ils vont ramener la justice. Cependant, avant de partir en direction de la ville de Gongmen, Po fut déconcerté par une vision qu’il a eu en plein milieu d’un combat : des souvenirs de sa mère sont remontés à la surface. A sa grande surprise, son père l’oie lui apprend qu’il a été adopté !!

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    Le premier épisode avait su trouver son public et il n’y a aucune raison que cette suite ne suive pas le même chemin vers le succès ! Po, le panda nous revient plus bastonneur mais surtout plus affamé que jamais. Les scènes d’action sont vraiment époustouflantes et on peut sans aucun doute affirmer qu’on a devant nos yeux les plus belles séquences en la matière dans le domaine du film d’animation. Reste ensuite une histoire qu’on aurait appréciée plus étoffé notamment en ce qui concerne les origines de Po mais la séquence finale annonce d’ores et déjà un troisième épisode ! Trop fort ce Kung Fu panda 2, Coup de cœur Ciné2909 et un seul mot : Skadoosh !!

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de mettre des radis dans vos soupes !

     

    En savoir plus sur Kung-fu Panda ?

  • Mon beau-père et nous

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    Les tensions se sont apaisées entre John Byrnes (Robert De Niro) et son gendre Greg Furniker (Ben Stiller) au point qu’il lui fait aujourd’hui une proposition qu’il ne peut pas refuser. Le cœur fragile, John a conscience qu’il ne pourra pas être éternellement présent pour sa famille aussi est-il temps de confier les rênes à Greg. Mais ce dernier est-il vraiment à la hauteur ? Pas si sur quand on voit cette splendide Andi Garcia (Jessica Alba) lui tourner autour et puis il n’est pas trop tard pour que Pam (Teri Polo) trouve un mari digne de ce nom. Le Don Furniker va devoir batailler dur pour prouver qu’il est l’homme de la situation.

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    Le duo Ben Stiller / Robert De Niro continue de faire des émules jusqu’à prolonger la saga des Beau-père en une trilogie. L’ombre du Parrain règne sur ce 3ème volet puisqu’il y est question de succession, de protection de la famille et c’est ainsi que le Don Furniker est né ! A défaut d’être une excellente comédie, Mon beau-père et nous parvient à honorer la promesse qu’il s’était fixé ; nous faire partager un bon moment en retrouvant une famille que l’on connait que trop bien. La bonne humeur sera donc une fois au rendez-vous si vous vous étiez déjà régalé avec les deux premiers épisodes.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de forcer vos enfants à manger ce qu’ils ne veulent pas, ça pourrait vous retomber dessus.

  • Last chance for love

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    Cela devait être un jour merveilleux, celui où notre pote Harvey Shine (Dustin Hoffman) assiste au mariage de sa fille Susan (Liane Balaban). Hélas, cette dernière lui annonce qu’elle a choisi son beau-père pour l’accompagner jusqu’à l’autel. Même s’il sait qu’il n’a pas été un bon père, cette nouvelle est dure à encaisser. Pendant ce temps, Kate Walker (Emma Thompson) désespère de l’homme de ses rêves ; une vie sentimentale dissolue qui distrait sa mère. Bien que les rencontres se succèdent, le cœur de Kate reste encore à prendre tandis que celui d’Harvey doit se reconstruire. Leur rencontre est dictée par le destin car il s’agit sans doute de leur dernière chance pour s’aimer.

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    Ils n’y croyaient plus et pourtant l’amour les a réunis ! Si vous êtes amateurs des comédies sentimentales où tout va mal au début et puis tout s’arrange grâce au miracle de l’amour alors vous avez trouvé le film idéal. On ne peut pas en vouloir au duo Emma Thompson / Dustin Hoffman mais le reste de Last chance for love est une énorme farce. L’histoire est mielleuse à souhaite et ça sent le déjà vu à plein nez, on essaie tout de même de lui insuffler une pointe d’humour british mais là aussi c’est peine perdue. A moins de vous doper aux comédies sentimentales sans âme, je vois mal ce qui pourrait vous amener à aller le voir !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier qu’on vous a bien retiré l’antivol quand vous achetez des vêtements.

  • Le merveilleux magasin de M.Magorium

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    Le magasin de jouets de M. Magorium (Dustin Hoffman) n’a l’air de rien au premier abord et pourtant il est rempli de magie ! Il n’y a qu’à voir tous les enfants qui s’amusent pour constater la bonne humeur qui y règne. Cela fait quelques années que la jeune Molly Mahoney (Natalie Portman) y travaille et qu’elle s’est laissée entrainé dans cette magnifique aventure. Celle qui fut un grand espoir en tant que joueuse de piano a d’autres ambitions et voudrait arrêter son activité de vendeuse. Pendant ce temps, M.Magorium a pris une décision importante, il veut se retirer et confier son magasin à sa protégée mais ce départ n’est acceptée ni par les jouets qui l’entourent ni par Mahoney.

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    Qui n’a jamais rêvé d’être entouré de jouets durant sa plus tendre enfance. Si ce genre de souvenirs vous fait replonger trop d’années en arrière, c’est que ce film n’est vraiment pas fait pour vous ! Plongée dans un univers magique où les jouets prennent vie, Le merveilleux magasin de M.Magorium est un film assez léger qui ne devraient ravir que les enfants et encore. Devant ce personnage haut en couleurs, on pense immédiatement à Charlie et la chocolaterie mais la comparaison s’arrête là. Là où Burton nous transportait littéralement dans son monde ; le réalisateur Zach Helm, qui signe son premier film, peine à nous faire décoller avec un Dustin Hoffman bien grimé mais que l’on attendait plus extraverti.

     

    Il faut le voir pour : Commencer une collection de chapeaux.