Obvious child
Lorsqu’elle monte sur scène pour faire son petit numéro de stand-up, Donna (Jenny Slate) proche énormément dans ses expériences personnelles. Elle aura encore beaucoup de choses à raconter au public puisqu’elle vient de se faire plaquer par Ryan (Paul Briganti) et qui plus est avec ce qui semblait être une pote d’enfance. Une rupture difficile à accepter si bien que Donna finit un soir par abuser un peu trop de l’alcool et termine la nuit avec un certain Max (Jake Lacy) qu’elle vient à peine de rencontrer. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais quelques semaines après, elle va avoir une énorme surprise !
On est bien loin des comédies américaines formatées avec Obvious child qui apporte assurément de la fraicheur. L’héroïne du film interprétée par la pétillante Jenny Slate y est aussi pour beaucoup et dès les premières lignes de dialogues, le ton est donné avec une jeune femme totalement décomplexée. Dans un premier temps, il est donc plutôt amusant de découvrir un tel personnage mais son histoire finit progressivement par tomber dans une certaine normalité voire banalité. Un premier long-métrage de la part de la réalisatrice Gillian Robespierre qui doit beaucoup à sa comédienne principale mais qui ne réussit à nous séduire que par à-coups.
Il faut le voir pour : Essayer les Crocs pour vérifier si ils sont aussi confortables !
Oui c’est ça, je suis bien un des Chipmunks mais actuellement nos concerts ont été suspendus à la suite de l’accident de Dave. Au départ, il nous avait confié à sa Tante Jackie (Kathryn Joosten) mais en fait c’est Toby (Zachary Levi) qui s’occupe de nous.
Les ennuis ont commencé quand Ian Hawk (David Cross) est réapparu avec les Chipettes, de formidables chanteuses qui nous ont volé la vedette ! Et puis il y a aussi Alvin qui passe de plus en plus de temps avec son équipe de Football et j’ai peur qu’il ne finisse par nous oublier Simon et moi.
