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max irons

  • The riot club

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    Les premières années font leur rentrée à la prestigieuse université d’Oxford et parmi eux il y a nos potes Lauren, Miles & Alistair (Holliday Grainger, Max Irons & Sam Claflin). Ce n’est pas vraiment l’amour fou entre les deux garçons et pourtant le hasard va les réunir puisqu’ils vont devenir les nouveaux membres du Riot club. Fondé à l’origine pour rendre hommage à l’excentricité de Lord Riot, ce club s’est construit une solide réputation et beaucoup rêverait d’en faire partie. Miles & Alistair ont donc le privilège d’avoir été sollicités par les 8 autres membres d club qui organise un diner pour célébrer ces nouveaux arrivants. Direction le Bull’s head où la soirée sera arrosée et surtout très mouvementée.

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    Les premières minutes donnent d’abord l’impression que le film va voguer sur les flots du second degré mais la suite ne nous donne pas vraiment raison. Comme pour de nombreuses confréries étudiantes, The riot club se laisse ensuite aller aux traditionnels bizutages sans imagination et jusque là on se croirait dans un teen-movie à l’américaine. Pour découvrir ce qui se cache réellement derrière ce film, il faut attendre le fameux diner où les choses se dérident mais là encore nos attentes ne sont pas totalement comblées. Même s’il met un peu de temps à démarrer, c’est plutôt sympa et si l’histoire avait fait preuve d’un peu plus de provocation ça aurait pu être une très bonne surprise.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser trainer votre portable quand vous sortez avec vos "potes d’enfance" !

  • Les âmes vagabondes

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    La Terre est désormais un monde en paix depuis que les humains ont été envahis par des créatures extraterrestres. Ce derniers sont ainsi parvenus à prendre possession de nos corps et il ne reste aujourd’hui que quelques poches de résistance humaine. Notre pote Mélanie (Saoirse Ronan) en fait partie malheureusement elle est sur le point d’être capturée et préfère se donner la mort. Malgré une terrible chute, la jeune femme survit et on va  alors lui implanter une âme nommé Wanderer mais l’esprit de Mélanie n’entend pas abandonner son corps aussi facilement. La Traqueuse (Diane Kruger) veut ainsi découvrir ce que cache Mélanie et mettre ainsi la main sur les derniers humais de notre planète.

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    Nouvelle invasion extraterrestre en perspective sauf que dans Les âmes vagabondes, ils s’emparent non seulement de notre planète mais aussi de nos corps. En vous disant qu’il s’agit de l’adaptation d’un roman de Stephenie Meyer connue pour avoir imaginé la saga Twilight, les mauvaises langues diront qu’il s’agit encore d’un film pour midinettes et difficile de vous donner tort. On retrouve un triangle amoureux allant jusqu’à se relayer en galoches et pour servir de ressort dramatique, on nous flanque un gamin qui parvient à se blesser mortellement tout seul ! Pour le coté science-fiction, on repassera puisqu’on se contente juste d’avoir de beaux engins argentés et une belle réserve de lentilles pour les comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier des personnes trop gentils, ce ne sont pas des humains !

  • Le chaperon rouge

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    Le village de Daggorhorn est situé à l’orée d’une grande foret et c’est là que vit Valérie (Amanda Seyfried) et sa famille. C’est un jour dramatique pour elle car sa sœur ainée Lucie (Alexandria Maillot) a été tuée par le loup-garou qui terrorise la région. Pour le chasser, on a fait appel au Père Solomon (Gary Oldman) qui a déjà eu affaire à ce genre de créature responsable de la disparition de sa famille. Pendant ce temps, Valérie apprend que son mariage a été arrangé avec Henry (Max Irons) ; une décision qu’elle ne peut accepter. La seule personne à qui elle pourra offrir son amour est son pote d’enfance Peter (Shiloh Fernandez) mais est-il vraiment digne de confiance ?

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    Faire un film sur le conte de Perrault, Le chaperon rouge avait de quoi éveiller notre curiosité mais quand on apprend que la réalisation a été confiée à Catherine Hardwicke (Twilight) ; ça s’est rapidement transformé en grande perplexité. A quelques détails près, on retrouve les mêmes éléments que la saga de Stephenie Meyer à savoir une jeune demoiselle en détresse qui doit faire un choix crucial entre 2 beaux mecs et j’entends déjà des spectateurs s’enfuir ! Il n’y a donc rien à retenir de ce soi-disant film et la déception est grande, le projet intéressant s’est donc transformé en un résultat aberrant.

     

    Il faut le voir pour : Rendre visite à votre grand-mère.