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anthony mackie

  • Triple 9

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    Un impressionnant braquage vient d'avoir lieu et 5 hommes armés ont pris la fuite avec leur butin ; quelques liasses de billets ainsi que le contenu du coffre d'un particulier. Leur projet a cependant connu un couac, s'en est suivi une fusillade à laquelle ils ont réussi à s'échapper. Cette équipe est composée des frères Russel & Gabe (Norman Reedus & Aaron Paul), Michael, Jorge & Marcus (Chiwetel Ejiofor, Clifton Collins Jr. & Anthony Mackie) ; ces deux derniers se trouvant être des policiers ! Ce braquage a été commandité par Irina Vlaslov (Kate Winslet) pour le compte de son mari et leur travail n'est pas totalement terminé. L'équipe devra encore obtenir des données confidentielles auprès de la Sécurité Intérieure mais la question est de savoir comment neutraliser l'intervention des forces de Police.

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    Les premières minutes sont menées tambour battant et Triple 9 nous met rapidement dans le bain d'autant plus qu'il y a du beau monde au rendez-vous. On retrouve ainsi le tandem Casey Affleck / Anthony Mackie en tête de gondole mais on notera également les présences de Woody Harrelson, Norman Reedus (pour les fans de The walking dead) ou encore Kate Winslet dans un rôle assez étonnant. Un casting riche mais qui accouche de personnages qui sont loin de marquer les esprits des spectateurs. Le thriller de John Hillcoat bénéficie par contre d'un scénario plutôt malin, l'action est là bien qu'elle se montre moins flamboyante dans la seconde partie ; il y a largement ce qu'il faut pour passer un bon moment.

     

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier de votre belle-sœur !

  • Captain America, Le soldat de l’hiver

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    Après avoir brillamment sauvé le monde avec les Avengers, une nouvelle mission attend Steve Rogers (Chris Evans) que le monde connait mieux sous le nom de Captain America ! Un appareil du S.H.I.E.L.D. a été attaqué par des pirates qui retiennent également des otages et ils réclament en échange une énorme rançon. La mission du super-héros étoilé se déroule parfaitement bien jusqu’au moment où il s’aperçoit que Natasha Romanoff (Scarlett Johansson) alias Black Widow s’est vu confier une autre mission. Nick Fury (Samuel L. Jackson) lui a en effet demandé de récupérer des dossiers confidentiels qui pourraient changer à jamais l’avenir du S.H.I.E.L.D.

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    Le symbole américain made in Marvel est de retour sur grand écran en solo ou presque. Il retrouve en effet Nick Fury mais aussi Black Widow sans oublier l’apparition de nouveaux personnages destinés à jouer de plus grands rôles à l’avenir. Captain America, Le soldat de l’hiver est à peu près le film que l’on attendait ; de bonnes scènes d’action dans la lignée d’Avengers sans oublier bien sur une bonne pointe de patriotisme et une histoire sans grande dimension. La première scène avec l’attaque contre les pirates faisait quand même craindre le pire mais les spectateurs y trouveront un pop-corn movie rien de plus. Les fans eux resteront clairement sur leur faim.

     

    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes lorsque vous prenez l’ascenseur.

     

    En savoir plus sur Captain America : First Avenger ?

     

    En savoir plus sur The Avengers ?

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    En savoir plus sur Iron Man ?

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    En savoir plus sur Thor ?

    En savoir plus sur Thor : Le monde des ténèbres ?

  • Le cinquième pouvoir

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    Wikileaks. En 2007, personne ne connait réellement ce site d’informations révolutionnaire qui écrira une page de l’histoire et rendra Julien Assange (Benedict Cumberbatch) célèbre à travers le monde. Partisan de la vérité ou terroriste, chacun se forgera sa propre opinion sur ce personnage controversé capable de faire trembler des gouvernements. Quand notre pote Daniel Domscheit-Berg (Daniel Brühl) fait sa rencontre et s’associe avec lui,  il ne s’imaginait certainement pas qu’ils auraient autant de pouvoirs entre leurs mains. Leur site dévoile au grand jour les secrets les plus inavouables, les images qu’on a cherché à cacher au grand public jusqu’à ce jour fatidique où plus de 90 000 documents militaires américains sont publiés.

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    A moins de se réveiller d’un profond coma ou d’être resté au Minitel, impossible d’avoir manqué la médiatique affaire Wikileaks. C’est aussi à ce moment là qu’on a commencé à entendre le nom de Julien Assange, le fondateur et pendant un temps ennemi numéro 1 de nombreux gouvernements. Le cinquième pouvoir revient donc sur ce scandale avec un incroyable Benedict Cumberbatch bluffant dans la peau de ce justicier aux desseins ambigus. C’est clairement sa performance qui permet au film de surnager car en dehors de ça, c’est assez plat puisque le film se contente d’une reconstitution des coulisses du scandale. On pourra s’interroger aussi sur l’objectivité de ce portrait quand on sait qu’il s’inspire notamment du livre écrit par son ancien associé Daniel Domscheit-Berg.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre les véritables explications des cheveux blancs d’Assange !

  • Players

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    Un avenir radieux s’offrait à notre pote Richie Furst (Justin Timberlake) lorsqu’il travaillait encore à Wall Street mais la crise est passée par là. Il se retrouve aujourd’hui à Princeton afin de valider son Master de Finance mais ses études coutent chères et il ne trouve pas de meilleure idée que de jouer ses économies au Poker en ligne. A la fin, il ne lui reste que ses yeux pour pleurer mais il a remarqué quelque chose d’anormal dans la programmation du jeu ; une faille qu’il souhaite faire remonter directement à Ivan Block (Ben Affleck), le propriétaire du site. Richie part ainsi au Costa Rica et à sa grande surprise, non seulement Block lui rembourse ses pertes mais lui propose aussi un job en or.

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    Paris en ligne, Black Jack, Poker ; on trouve désormais de tout sur Internet et ce qui fait le bonheur des joueurs et la richesse des propriétaires de ces sites. Autour de ce thème, Players possède finalement un jeu peu flamboyant tournant autour du trio Arteton / Timberlake / Affleck le tout enjolivé d’une luxure qui en ferait baver plus d’un. Pourvu d’un scénario sans idées et qui prouve toute son inefficacité avec un dénouement sur lequel on aurait pu parier dès le départ, ce thriller de Brad Furman ne mérite vraiment pas qu’on mise le moindre sou dessus. A moins que vous ayez gagner le gros lot récemment, il semble tout indiqué que vous pouvez faire l’impasse sur ce film qui a peu de chance de vous bluffer.

     

    Il faut le voir pour : Planquer vos objets de valeur dans les boites de céréales.

  • No pain no gain

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    Notre pote Daniel Lugo (Mark Wahlberg) croit en l’entrainement physique et John Mese (Rob Corddry) a bien fait de l’engager puisque cela lui a permis de tripler les abonnements de son club le Sun Gym. Avoir un beau corps c’est bien mais ce coach personnel a d’autres ambitions et après avoir assisté au séminaire de Johnny Wu (Ken Jeong), il est convaincu qu’il doit passer à l’action ! Son plan est assez simple ; kidnapper un homme riche pour tout lui prendre et ensuite contribuer à rendre l’Amérique, ce merveilleux pays, un peu plus propre. Dans son entreprise, il va s’associer à Adrian Doorbal & Paul Doyle (Anthony Mackie & Dwayne Johnson) et malgré des kilos de muscles, c’est un joli trio de bras cassés qu’on va voir à l’œuvre.

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    No pain no gain débute par un magnifique discours rendant hommage aux bienfaits du culturisme mais aussi à la gloire de l’Amérique, patrie de la seconde chance. En moins de 5 minutes on découvre vite l’ironie qui règne dans ce projet surprenant plus proche de la comédie décalée que du film d’action bourrin dont nous avait habitué le réalisateur Michael Bay. Inspiré d’un véritable fait-divers, 3 musclors s’improvisent génies du crime ce qui donne un enlèvement perpétré par un alien associé à un ninja ou encore une strip-teaseuse qui se croit agent de la CIA. Tout ça donne un joli délire ponctué d’humour second degré et d’un fun indéniable pour un moment de divertissement bien bâti.

     

    Il faut le voir pour : Travailler vos pectoraux !

  • Gangster squad

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    1949, Los Angeles appartient à Mickey Cohen (Sean Penn) et tout le monde semble s’incliner devant son incroyable influence sauf l’irréductible Sergent John O’mara (Josh Brolin). Il est l’un des rares flics à avoir conservé son intégrité mais son combat contre le crime n’est-il pas vain ? Jusqu’à présent, il se sentait un peu seul jusqu’au jour où le Chef Bill Parker (Nick Nolte) lui propose de recruter quelques hommes afin de perturber autant que possible les activités de Cohen. Une brigade composée de potes d’enfance se forme et va se charger de nettoyer les rues de Los Angeles, ils partent en guerre mais gare aux représailles !

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    Un gangster qui a la mainmise sur Los Angeles et un super flic déterminé à faire respecter la loi, ce n’est pas l’originalité qui étouffera Gangster squad. Difficile de faire une histoire plus téléphonée que celle qui nous est proposée d’autant plus que la réalisation de notre pote Ruben Fleischer est correcte mais n’apporte rien d’exceptionnel. On se dit alors qu’il y a pas mal de gâchis surtout à la vue d’un casting pléthorique réunissant Sean Penn, Josh Brolin, Ryan Gosling, Nick Nolte et dans une moindre mesure Robert Patrick, Giovanni Ribisi, Michael Peña sans oublier Emma Stone en guise de potiche. Du beau monde mais un thriller ronronnant au point de se laisser parfois abandonner à l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si vous porteriez bien le chapeau ?

  • Abraham Lincoln : Chasseur de vampires

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    En 1818, notre pote Abraham Lincoln (Lux Harney-Jardine/Benjamin Walker) n’est encore qu’un enfant lorsqu’il perd sa mère dans d’étranges circonstances. Témoin direct de cette nuit d’horreur, il sait que le responsable de sa mort n’est autre que Jack Barts (Marton Csokas) mais à ce moment là il ignorait encore qu’il s’agissait d’un vampire ! Ce n’est que 9 ans plus tard qu’il découvrira la vérité révélée par Henry Sturgess (Dominic Cooper) qui a dédié sa vie à exterminer ces créatures. Abraham veut lui aussi participer à leur destruction e si pour cela il doit oublier toute notion de vengeance, il sait qu’un jour ou l’autre il aura la peau de Barts. L’homme s’illustre aussi à travers un autre combat ; celui contre l’esclavagisme et qui va le conduire à devenir le 16ème président des Etats-Unis !

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    Voilà comment rendre l’histoire intéressante ; il suffit d’y parsemer des vampires et c’est tout de suite plus captivant n’est ce pas ? Bien entendu, on repassera pour découvrir un biopic sur Lincoln et on appréciera à sa juste valeur ce divertissement qui n’est là que pour vous vider l’esprit. Adaptation d’un roman de Seth Grahame-Smith, on délaissera tout ce qui est autour des scènes d’action pour se contenter d’un spectacle constitué de décapitations et de bastons en slow-motion agréable mais peu impressionnant sans compter que le héros Benjamin Walker manque cruellement de charisme. J’aurais bien aimé que Timur Bekmambetov assume ce Abraham Lincoln : Chasseur de vampires jusqu’au bout et nous propose un film d’action un peu plus excitant ; on se contentera d’une légère récréation.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir un plan de secours !

  • Dos au mur

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    Notre pote Nick Cassidy (Sam Worthington) s’est réservé une belle chambre à l’hôtel Roosevelt avec une vue imprenable sur New-York. Après un somptueux repas arrosé de champagne, il fait un peu de ménage avant d’enjamber la fenêtre et menace désormais de sauter du 21ème étage de l’immeuble ! En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les passants s’amassent et les médias arrivent sur les lieux et tous se posent une seule et même question : qui est cet illuminé ? Il y a encore 1 mois, Nick croupissait dans les cellules de Sing Sing mais il a profité de l’enterrement de son père pour s’évader. Cet ancien flic a été arrêté pour avoir volé un diamant estimé à 40 millions de dollars à David Englander (Ed Harris) or la vérité n’est pas celle qui parait être.

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    Il suffira de 5 petites minutes pour accrocher le spectateur, le temps pour notre pote Sam Worthington de prendre l’air au bord de sa fenêtre et de jouer les funambules pendant plus d’une heure. Ça fait un peu penser à Phone game dans le principe mais rassurez-vous, une autre histoire se développe parallèlement permettant ainsi de dévoiler au fur et à mesure un scénario efficace quoi que un peu tiré par les cheveux. Qu’importe, il y a assez d’action et de rebondissements pour ne pas s’ennuyer et si Dos au mur ne casse pas des briques (désolé, il fallait que ça sorte), il a ce qu’il faut pour nous assurer un bon divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’encourager les gens à sauter des immeubles !

  • Real Steel

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    Nous sommes en 2020. Charlie Kenton (Hugh Jackman) est un ancien boxeur qui s’est reconverti bien malgré lui dans la boxe de robots, le must du divertissement. Malheureusement pour lui, le succès n’est pas au rendez-vous car après avoir perdu Ambush, sa récente acquisition Noisy Boy s’est également fait massacré.  Entre-temps, il a pris la garde de son fils Max (Dakota Goyo), 11 ans le temps d’un été en échange de 100 000 dollars. Entre les deux, c’est loin d’être l’amour fou mais leur passion commune pour les robots va les réunir et les conduire jusqu’au championnat du Real Steel. Ils trouvent en effet par hasard un vieux robot du nom d’Atom qui va s’imposer au fil du temps comme un sérieux challenger allant jusqu’à défier le champion incontesté Zeus.

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    C’est vrai que c’est un drôle de projet dans lequel s’est engagé Hugh Jackman avec des combats de robots boxeurs mais on se laisse vite entrainer dans l’histoire. La réussite de Real Steel tient d’abord au fait d’avoir réussi à créer un véritable univers particulièrement attractif (du moins pour la gente masculine, les femmes iront surtout voir Jackman). Pas de temps mort, des combats percutants et un Dakota Goyo qui n’a vraiment pas froid aux yeux font de ce film un agréable divertissement ! Une bonne surprise de la part du réalisateur Shawn Levy que l’on connaissait essentiellement pour des comédies (Crazy Night, La nuit au musée …).

     

    Il faut le voir pour : Continuer de jouer aux robots avec votre fils !

  • L’agence

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    David Norris (Matt Damon) est un politicien en devenir, il brigue le poste de sénateur de New-York mais échoue de peu à cause de son caractère parfois impulsif. Une défaite qu’il a surmontée bien aidé par sa rencontre atypique avec Elise Sellas (Emily Blunt) puisqu’ils se sont croisés dans les toilettes des hommes. Quelques temps après, David la croise de nouveau dans le bus or ces retrouvailles n’auraient jamais du avoir lieu car cela ne faisait pas parti du plan ! Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, il existe une organisation appelée L’agence qui supervise toutes nos actions et mène notre vie selon un plan défini.

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    Au début on se dit qu’il s’agit là d’un énième thriller et puis le temps d’installer son personnage principal et L’agence bascule dans le domaine de la science-fiction. Ce n’est pas peu dire qu’on est grandement déconcerté par cette intrigue improbable (un peu à la manière de The box) mais finalement avec sa petite touche d’humour, on rentre progressivement dans l’histoire. Le couple Emily Blunt / Matt Damon est plutôt quelconque et ne parvient pas à tirer vers le haut cet étrange thriller. Sans nous emballer, le premier film de George Nolfi réussit toutefois à nous distraire et puis si ça se trouve, aller le voir fait certainement partie du plan de votre vie !

     

    Il faut le voir pour : Aller vous acheter un chapeau.