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ed harris

  • Night run

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    Depuis la mort de sa femme, notre pote Jimmy Conlon (Liam Neeson) est en pleine déchéance. Homme de main de Shawn Maguire (Ed Harris), beaucoup de sang a coulé de sa main et c'est pour cette raison qu'il n'a plus de contact avec son fils Mike (Joel Kinnaman) depuis maintenant 5 ans. En cette soirée, ils vont pourtant être amené à se revoir car Mike a été témoin d'un meurtre commis par Danny (Boyd Holbrook), le fils de Shawn. Ce dernier a ainsi demandé à Jimmy d'arranger les choses mais elles ne vont faire qu'empirer. Afin de protéger son fils, Jimmy n'a pas eu d'autres choix que de tuer Danny et il sait que son acte va s'accompagner de terribles représailles. La nuit ne fait que commencer !

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    On dit jamais deux sans trois et le réalisateur espagnol Jaume Collet-Serra fait donc de nouveau appel à son pote Liam Neeson après Sans identité & Non-Stop. Une fois encore ils se réunissent dans le cadre d'un film d'action en conviant le toujours charismatique Ed Harris mais le face-à-face ne se révèle pas vraiment à la hauteur de nos espérances. En dehors de ça, Night run se montre plutôt dynamique, rythmé par quelque scènes d'action efficaces pour prétendre au titre de divertissement et faire le bonheur des spectateurs. Ça ne va pas révolutionner le genre mais c'est amplement suffisant pour divertir les spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir ce qu'est réellement une nuit agitée !

  • The face of love

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    Il y a 5 ans, nos potes Nikki & Garett (Annette Bening & Ed Harris) se sont offert un voyage au Mexique pour célébrer leur 30 ans de mariage. Ce qui devait constituer un moment inoubliable deviendra un véritable traumatisme pour Nikki puisqu’elle aura le malheur de perdre son mari qu’elle retrouve inerte sur la plage. Aujourd’hui, la douleur est toujours vivace, à ses cotés sa fille Summer (Jess Weixler) et son voisin Roger (Robin Williams) sont là pour la soutenir. Et puis un jour, l’impensable se produit ; elle croise un homme qui ressemble trait pour trait à Garett. Dans un premier temps déconcertée, elle va chercher à en savoir plus sur cet homme et va se rapprocher de lui pour espérer retrouver un bonheur disparu.

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    Faire le deuil d’un être cher, tel est l’épreuve réservée à notre pote Annette Bening ; une souffrance qui s’achève quand elle rencontre le sosie de son mari défunt. Le scénario s’autorise quelques facilités qu’on a du mal à avaler comme ce double d’Ed Harris qui vivait pas si loin et qu’elle n’a curieusement jamais croisé. On ajoutera à ça le personnage incarné par Robin Williams totalement inutile et qui finit par inspirer plus de pitié qu’autre chose ce qui n’arrange pas les choses. Finalement, le seul intérêt de The face of love reste le comportement, quand même très prévisible, de Nikki vis-à-vis du nouvel homme de sa vie pour le reste c’est bien trop sage. A la limite, on attendait quelque chose de plus malsain façon La piel que habito d’Almodóvar mais c'est trop en demander.

     

    Il faut le voir pour : Fréquenter les musées pour rencontrer l’amour !

  • Planes 2

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    Quel chemin parcouru par notre pote Dusty Crophopper ; de simple épandeur il est devenu champion de rallye en remportant le tour du ciel et faisant la fierté de tout Propwash Junction. Malheureusement au cours d’un de ses entrainements avec Skipper, sa boite de vitesse est gravement endommagée et il s’agit d’une pièce trop ancienne pour être remplacée. Désespéré à l’idée qu’il ne pourra plus faire de rallye, il provoque bien malgré lui un incendie qui va mettre en lumière les faiblesses des secours menés par Mayday provoquant la fermeture temporaire de Propwash Junction. Dusty va être amené à se porter volontaire pour devenir pompier mais va devoir avant cela décrocher son brevet auprès d’un certain Blade Ranger.

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    Pas de temps à perdre, moins d’un an après ses premières aventures, notre pote Dusty Crophopper fait déjà son retour sur grand écran. Toujours sous la houlette des studios DisneyToon, il n’y a pas vraiment de révolution à attendre de la part de Planes 2 et c’est bien regrettable ! Graphiquement, on est sur la même lancée que dans l’épisode précédent c’est-à-dire sympathique mais bien loin d’être transcendant et quant à l’histoire, même si elle veut rendre hommage aux pompiers, elle n’élèvera pas non plus le niveau. Bien que notre épandeur a l’occasion ici de faire la rencontre de nouveaux potes d’enfance, on ne peut pas vraiment dire qu’ils parviennent à nous mettre le feu pire c’est tellement monotone qu’on finit par trouver le temps bien long. A voir si vous adorez le héros et encore …

     

    Il faut le voir pour : Découvrir un épisode inédit de Chips !

  • Gravity

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    Une station orbitale située à plus de 600 km au-dessus de la Terre. Le Docteur Ryan Stone & Matt Kowalski (Sandra Bullock & George Clooney) sont actuellement en mission et se trouvent en dehors de leurs vaisseaux lorsqu’ils se font surprendre par les débris d’un satellite russe qui vient d’être détruit. Dans un premier temps, Ryan est submergée de panique puisqu’elle se retrouve éjectée en train de dériver dans l’espace et elle a complètement perdu de vue son collègue mais heureusement Matt a su garder son sang froid pour la secourir. Le répit ne sera que de courte durée car abandonnés dans l’espace, ils ne maitrisent rien et leur niveau d’oxygène diminue de façon dangereuse.

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    Chef-d’œuvre annoncée et donc attendue de pied ferme, Gravity est effectivement une expérience hors du commun qu’il faut vivre, dans la mesure du possible, dans des conditions optimales (et éventuellement renforcé par la 3D). Ce n’est qu’à ce prix-là que le spectateur pourra réellement se retrouver immergé dans cet océan d’étoiles où règne le silence ou encore trembler d’angoisse en compagnie d’une Sandra Bullock partant à la dérive et qui pour le coup porte sur ses épaules la réalisation d’Alfonso Cuarón. Reste toutefois qu’on a un scénario simpliste qui n’est pas loin de s’apparenter au vide spatial, difficile avec tout ça de le considérer comme un film ordinaire. Sans pour autant être exceptionnel, une fois devant ce spectacle on ne décroche pas.

     

    Il faut le voir pour : Avoir la tête dans les étoiles !

  • Shérif Jackson

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    Ancienne prostituée, notre pote Sarah (January Jones) mène désormais une nouvelle vie depuis sa rencontre avec Miguel (Eduardo Noriega). Ils sont heureux mais sont confrontés à des problèmes d’argent et voir leurs récoltes de nouveau saccagées par les moutons du Prophète Josiah (Jason Isaacs) n’arrange pas leurs affaires. Ce dernier nie les faits mais va également assassiner Miguel de sang froid quelques temps plus tard. Pendant ce temps en ville, il y a de l’animation puisque Jebediah Jackson (Ed Harris) vient de débarquer et devient le nouveau Shérif. Il enquête sur un double meurtre avec lequel il va vite faire le lien avec le prophète.

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    On nous annonçait un western décalé, on n’est pas déçu ! Déjà on a droit à un excellent casting avec Jason Isaacs en prophète tout puissant confronté à un  Ed Harris en shérif loufoque et dans une moindre mesure January Jones. Concernant la belle en robe on n’est pas totalement emballée car elle se retrouve éclipsée par les figures fortes que sont Josiah & Jackson sans quoi ce Kill Bill version Far West aurait pu être une excellente surprise. En plus de tout ça le fameux Shérif Jackson ne manque pas d’humour ce qui nous permet d’oublier un peu son scénario linéaire, non vraiment c’est une agréable découverte à faire !

     

    Il faut le voir pour : Suivre un cours de géographie sur une table d’acajou.

  • No pain no gain

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    Notre pote Daniel Lugo (Mark Wahlberg) croit en l’entrainement physique et John Mese (Rob Corddry) a bien fait de l’engager puisque cela lui a permis de tripler les abonnements de son club le Sun Gym. Avoir un beau corps c’est bien mais ce coach personnel a d’autres ambitions et après avoir assisté au séminaire de Johnny Wu (Ken Jeong), il est convaincu qu’il doit passer à l’action ! Son plan est assez simple ; kidnapper un homme riche pour tout lui prendre et ensuite contribuer à rendre l’Amérique, ce merveilleux pays, un peu plus propre. Dans son entreprise, il va s’associer à Adrian Doorbal & Paul Doyle (Anthony Mackie & Dwayne Johnson) et malgré des kilos de muscles, c’est un joli trio de bras cassés qu’on va voir à l’œuvre.

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    No pain no gain débute par un magnifique discours rendant hommage aux bienfaits du culturisme mais aussi à la gloire de l’Amérique, patrie de la seconde chance. En moins de 5 minutes on découvre vite l’ironie qui règne dans ce projet surprenant plus proche de la comédie décalée que du film d’action bourrin dont nous avait habitué le réalisateur Michael Bay. Inspiré d’un véritable fait-divers, 3 musclors s’improvisent génies du crime ce qui donne un enlèvement perpétré par un alien associé à un ninja ou encore une strip-teaseuse qui se croit agent de la CIA. Tout ça donne un joli délire ponctué d’humour second degré et d’un fun indéniable pour un moment de divertissement bien bâti.

     

    Il faut le voir pour : Travailler vos pectoraux !

  • No pain No gain

    Qui dit Michael Bay dit actions à gogo et explosions dans tous les sens. Il y a un peu de ça dans No pain No gain mais ce film réunissant Mark Wahlberg, Dwayne Johnson & Ed Harris c'est avant tout une comédie barrée et musclée. Et comme Ciné2909 est sympa, la critique arrive sur le blog aujourd'hui à 15H00 en Avant-première !!

     

    Date de sortie : 11 Septembre 2013


     

     

  • Dos au mur

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    Notre pote Nick Cassidy (Sam Worthington) s’est réservé une belle chambre à l’hôtel Roosevelt avec une vue imprenable sur New-York. Après un somptueux repas arrosé de champagne, il fait un peu de ménage avant d’enjamber la fenêtre et menace désormais de sauter du 21ème étage de l’immeuble ! En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les passants s’amassent et les médias arrivent sur les lieux et tous se posent une seule et même question : qui est cet illuminé ? Il y a encore 1 mois, Nick croupissait dans les cellules de Sing Sing mais il a profité de l’enterrement de son père pour s’évader. Cet ancien flic a été arrêté pour avoir volé un diamant estimé à 40 millions de dollars à David Englander (Ed Harris) or la vérité n’est pas celle qui parait être.

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    Il suffira de 5 petites minutes pour accrocher le spectateur, le temps pour notre pote Sam Worthington de prendre l’air au bord de sa fenêtre et de jouer les funambules pendant plus d’une heure. Ça fait un peu penser à Phone game dans le principe mais rassurez-vous, une autre histoire se développe parallèlement permettant ainsi de dévoiler au fur et à mesure un scénario efficace quoi que un peu tiré par les cheveux. Qu’importe, il y a assez d’action et de rebondissements pour ne pas s’ennuyer et si Dos au mur ne casse pas des briques (désolé, il fallait que ça sorte), il a ce qu’il faut pour nous assurer un bon divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’encourager les gens à sauter des immeubles !

  • Les chemins de la liberté

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    1939. L’invasion de la Pologne par l’Allemagne d’Hitler et par l’URSS de Staline déclenche le début de la 2nde Guerre Mondiale. Accusé d’espionnage à l’encontre de Staline, Janusz (Jim Sturgess) a été arrêté et conduit dans un camp de travail en plein cœur de la Sibérie. Dans des conditions de détention déplorables, il sait qu’il ne pourra pas survivre bien longtemps à cet enfer et décide donc avec d’autres prisonniers d’organiser leur évasion. Echapper à leurs geôliers est une chose, survivre dans l’environnement hostile de la Sibérie en est une autre et leur voyage sera long avant d’atteindre le seuil de la liberté.

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    Pas de doute, cette histoire vraie est belle et Les chemins de la liberté se voulait donc être un flamboyant hommage à ces héros. Que ce soit à travers le vent glacial de Sibérie ou au cœur du désert de Gobi, Peter Weir a su trouver la bonne formule pour nous embarquer dans ce long périple. Dommage qu’on ne retrouve pas la même attention en ce qui concerne les personnages traités de manière plutôt superficiel. D’autant plus regrettable quand on compte Ed Harris dans ses rangs, égal à lui-même qui rehausse un peu l’intérêt du film. Pas forcément le chemin à suivre pour une bonne séance de ciné.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à dessiner des femmes nues, ça pourrait vous être utile !

  • Appaloosa

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    1886, dans le Nouveau Mexique ; la petite ville d’Appaloosa vit dans la peur. Randall Gragg (Jeremy Irons) et ses hommes y sèment le désordre et n’ont de comptes à rendre à personne et encore moins au Shérif qui est venu remettre les pendules à l’heure. Ce dernier ayant disparu, on a donc fait appel à Virgil Cole & Everett Hitch (Ed Harris & Viggo Mortensen) pour protéger les habitants d’Appaloosa. Désormais, ceux qui ne se soumettront pas aux lois édictées par la ville seront emprisonnés sur le champ et s’il y a la moindre résistance, ce sera la mort !

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    Le western se faisant de plus en plus rare au cinéma, c’est avec plaisir qu’on accueille Appaloosa d’autant plus qu’on retrouve un beau trio constitué par Harris/Mortensen/Irons. On grimpe sur les chevaux et on dépoussière les colts et c’est parti pour un formidable face à face entre le shérif et les hors-la-loi. En dehors d’un certain manque de rythme au niveau de l’action, difficile de ne pas apprécier ce nouveau long-métrage d’Ed Harris aussi à l’aise dans le costume de réalisateur que dans celui de comédien.

    Il faut le voir pour : Ne pas présumer que toutes les femmes seules sont des p….