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carice van houten

  • Le cinquième pouvoir

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    Wikileaks. En 2007, personne ne connait réellement ce site d’informations révolutionnaire qui écrira une page de l’histoire et rendra Julien Assange (Benedict Cumberbatch) célèbre à travers le monde. Partisan de la vérité ou terroriste, chacun se forgera sa propre opinion sur ce personnage controversé capable de faire trembler des gouvernements. Quand notre pote Daniel Domscheit-Berg (Daniel Brühl) fait sa rencontre et s’associe avec lui,  il ne s’imaginait certainement pas qu’ils auraient autant de pouvoirs entre leurs mains. Leur site dévoile au grand jour les secrets les plus inavouables, les images qu’on a cherché à cacher au grand public jusqu’à ce jour fatidique où plus de 90 000 documents militaires américains sont publiés.

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    A moins de se réveiller d’un profond coma ou d’être resté au Minitel, impossible d’avoir manqué la médiatique affaire Wikileaks. C’est aussi à ce moment là qu’on a commencé à entendre le nom de Julien Assange, le fondateur et pendant un temps ennemi numéro 1 de nombreux gouvernements. Le cinquième pouvoir revient donc sur ce scandale avec un incroyable Benedict Cumberbatch bluffant dans la peau de ce justicier aux desseins ambigus. C’est clairement sa performance qui permet au film de surnager car en dehors de ça, c’est assez plat puisque le film se contente d’une reconstitution des coulisses du scandale. On pourra s’interroger aussi sur l’objectivité de ce portrait quand on sait qu’il s’inspire notamment du livre écrit par son ancien associé Daniel Domscheit-Berg.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre les véritables explications des cheveux blancs d’Assange !

  • Intruders

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    Bien qu’elle vienne de souffler ses 12 bougies, notre pote Mia (Ella Purnell) est effrayée lorsque vient le moment de s’endormir. En fait, il y a quelques jours elle a fait une drôle de découverte dans le jardin de ses grands-parents ; caché dans le creux d’un arbre, elle a trouvé une petite boite. En ouvrant celle-ci, elle tombe sur un bout de papier sur lequel est écrite une histoire vraisemblablement imaginée par un enfant et où intervient un monstre nommé Sans visage. Ça tombe bien pour la jeune fille qui doit justement inventer une histoire pour l’école mais elle ne sait pas qu’en faisant cela, elle va redonner vie à un traumatisant cauchemar.

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    Comme j’étais entré dans la salle sans voir ni bande-annonce ni affiche et après les premières minutes je pensais qu’il s’agissait là d’un nouveau film d’épouvante espagnol. Une lueur d’espoir qui allait rapidement s’éteindre. Intruders propose en fait de suivre alternativement 2 histoires dont on devine assez facilement le point de liaison. Pour le reste, c’est du cinéma d’épouvante à l’américaine comme on a trop souvent l’occasion de voir c’est-à-dire sans aucune inspiration dans lequel sont venus s’égarer Clive Owen & Carice Van Houten. Pas la peine d’aller dans la salle, on a d’ores et déjà identifié les intrus : ce sont les futurs spectateurs de ce long-métrage insignifiant.



    Il faut le voir pour : Interdire à vos enfants d’écrire des histoires d’horreur.

  • Walkyrie

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    Adolf Hitler (David Bamber) est l’homme à abattre. Le comte Stauffenberg (Tom Cruise) ne reconnait pas son pays, l’Allemagne nazie n’est pas celle dont il défend fièrement les valeurs. Après avoir échappé de peu à la mort, il est contacté par un groupe secret qui cherche par tous les moyens à éliminer le dictateur et prendre sa place au pouvoir. C’est là que nait le projet Walkyrie. Derrière ce nom de code se cache en réalité une opération d’urgence mise sur pied par le dictateur lui-même et Stauffenberg a l’intention de retourner ce plan contre son auteur.

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    Lorsqu’on évoque la résistance lors de la Seconde Guerre Mondiale, on ne pense pas forcément à celle qui s’est organisée au sein même de l’Allemagne nazie. Inspirée de faits réels, l’histoire est vraiment passionnante démontrant que des officiers se sont révoltés contre les aberrations de ce régime et ont cherché à tuer Hitler. Sans être vraiment transcendant, Walkyrie nous captive par son scénario. On est également ravi de revoir Carice van Houten (Dorothy/Black Book) une joie de courte durée puisque ses apparitions se limitent à une petite dizaine de minutes dans un rôle bien transparent.

     

    Il faut le voir pour : Regarder au fond de votre verre s’il n’y a pas un œil qui traine.

     

  • Dorothy

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    Tous les journaux en parlent ; une jeune fille du nom de Dorothy Mills (Jenn Murray) a frappé un bébé sans raison apparente comme si elle avait été possédée. Ce fait divers vient aux oreilles de notre pote Jane Morton (Carice Van Houten), une psychiatre qui souhaite rencontrer la principale intéressée. Celle-ci vit avec sa tante sur une ile et n’a aucuns souvenirs de cet évènement, Jane souhaite donc passer plus de temps en sa compagnie pour comprendre ce qui s’est passée. Très vite, elle comprend que la jeune fille est victime de personnalités multiples prenant tour à tour l’identité de Duncan, Mimi, Mary ou encore Kurt.

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    Une communauté isolée, des habitants peu enclins à faire de leur ile un centre touristique et une petite fillette qui sème la terreur ; tout était réuni pour faire de Dorothy un bon thriller aux relents fantastiques. Au milieu de tout ça ; on retrouve la belle Carice Van Houten, que l’on a découverte dans le Black Book de Paul Verhoeven, qui va être le témoin privilégié d’une sombre histoire qui va révéler de lourds secrets. On ne peut pas dire que le résultat soit une grande réussite, on ne retiendra que la belle prestation de la jeune Jenn Murray qui s’en sort admirablement pour son premier grand rôle au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de prendre une petite fille blonde comme baby-sitter !

  • Black Book

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    Pour survivre sous l’occupation allemande, Rachel Stein (Carice Van Houten) doit constamment se cacher et fuir le plus vite possible. Elle a d’ailleurs l’occasion de traverser la frontière avec sa famille mais découvrira avec effroi qu’il s’agissait d’un guet-apens des SS destiné à dépouiller les victimes. Le temps passe et Rachel doit changer d’identité et prend ainsi le nom d’Ellis de Vries en rejoignant les forces de la résistance. Sa beauté ne laisse pas indifférent et elle va s’en servir pour séduire un officier allemand, Ludwig Müntze (Sebastian Koch).

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    Le réalisateur de Basic Instinct nous revient avec ce film de guerre inspiré d’une histoire vraie et c’est plutôt réussi ! On est captivé par le personnage d’Ellis de Vries et les épreuves qu’elle traverse, un rôle porté merveilleusement par la charmante Carice Van Houten qui vous séduira en un battement de cils. Même s’il n’a rien d’original, Black Book bénéficie d’un poids historique assez important pour nous intéresser et les 2h30 défilent sans qu’on n’y prête attention.