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  • Big eyes

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    1958. Une nouvelle vie commence pour notre pote Margaret (Amy Adams) qui s'est enfuie avec sa fille Jane (Delaney Raye / Madeleine Arthur) abandonnant derrière elle son mari. Sa passion pour la peinture va lui permettre de faire la connaissance de Walter Keane (Christoph Waltz) qui deviendra assez vite son nouvel époux. Tous deux tentent de faire connaître leurs œuvres et c'est d'abord dans un bar qu'ils seront exposés marquant le début de leur succès. Les peintures de Margaret sont reconnaissables au premier coup d’œil et deviennent célèbres mais en beau-parleur qu'il est, Walter va réussir à faire croire qu'il est l'auteur de ces œuvres. Une imposture qui durera plus de 10 ans !

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    Incroyable histoire que celle de l’artiste Margaret Keane. Big eyes rétablit ainsi une vérité aux yeux du monde tout en rendant hommage à cette femme dominée par l'ombre imposante de son mari. Le casting est particulièrement réussi avec une Amy Adams juste parfaite et surtout un Christoph Waltz aussi prodigieux qu'il est exubérant. Ce duo crève littéralement l'écran et l'autre surprise vient du fait qu'il est difficile si ce n'est impossible de deviner que Tim Burton se cache derrière la caméra tellement ce film se différencie de ses précédentes réalisations. Sans nous en mettre plein les yeux, on a un tandem magnifique qui s'exprime à travers une histoire captivante.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de se mettre à la peinture !

  • Song for Marion

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    Il y a peu de choses susceptibles de donner le sourire à notre pote Arthur (Terence Stamp) et en fait il n’y a bien que sa femme Marion (Vanessa Redgrave) pour le rendre heureux. Elle aimerait qu’il montre davantage ses vraies couleurs aux autres en participant par exemple à la chorale communautaire dont s’occupe Elizabeth (Gemma Arteton). C’est peine perdue cependant Marion apprend une mauvaise nouvelle ; il ne lui reste que peu de temps à vivre et malgré cela elle tient à rejoindre la chorale qui va prochainement participer à un concours. Avant cela, il leur faudra préparer une prestation susceptible de convaincre un juge qui leur ouvrira la voie à la compétition.

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    Une chorale composée de personnes âgées reprenant quelques tubes improbables comme Let’s talk about sex ou encore le Ace of spades de Motörhead, ça a de quoi nous apporter un peu de joie. L’initiative rappellera par ailleurs aux cinéphiles l’excellent documentaire I feel good et il est naturel de voir Song for Marion débordé de bons sentiments. Si l’émotion est bien au rendez-vous à travers les 2 solos de Vanessa Redgrave & Terence Stamp, le reste est moins digeste. On ne se prive pas pour rendre le film mielleux au possible et ce ne sont pas les rares notes d’humour qui nous les feront oublier. Une comédie que l’on découvrira sans véritable enthousiasme.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’apprendre la danse du robot à vos grands-parents.

  • L’agence

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    David Norris (Matt Damon) est un politicien en devenir, il brigue le poste de sénateur de New-York mais échoue de peu à cause de son caractère parfois impulsif. Une défaite qu’il a surmontée bien aidé par sa rencontre atypique avec Elise Sellas (Emily Blunt) puisqu’ils se sont croisés dans les toilettes des hommes. Quelques temps après, David la croise de nouveau dans le bus or ces retrouvailles n’auraient jamais du avoir lieu car cela ne faisait pas parti du plan ! Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, il existe une organisation appelée L’agence qui supervise toutes nos actions et mène notre vie selon un plan défini.

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    Au début on se dit qu’il s’agit là d’un énième thriller et puis le temps d’installer son personnage principal et L’agence bascule dans le domaine de la science-fiction. Ce n’est pas peu dire qu’on est grandement déconcerté par cette intrigue improbable (un peu à la manière de The box) mais finalement avec sa petite touche d’humour, on rentre progressivement dans l’histoire. Le couple Emily Blunt / Matt Damon est plutôt quelconque et ne parvient pas à tirer vers le haut cet étrange thriller. Sans nous emballer, le premier film de George Nolfi réussit toutefois à nous distraire et puis si ça se trouve, aller le voir fait certainement partie du plan de votre vie !

     

    Il faut le voir pour : Aller vous acheter un chapeau.