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marton csokas

  • Equalizer

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    Notre pote Robert McCall (Denzel Washington) vit à Boston où il a un quotidien plutôt routinier entre son boulot chez Home Mart et le dinner où il apprécie sa tasse de thé avec un bon livre. C’est d’ailleurs là qu’il fait la connaissance de Teri (Chloë Grace Moretz), une prostituée qui rêve d’une autre vie. Un soir, Robert apprend que la jeune femme a été sévèrement battue par les hommes qui l’exploitent et il entend bien rendre justice à sa manière. Ce règlement de comptes ne passe pas inaperçu et il ne tarde pas à avoir à ses trousses un certain Teddy (Marton Csokas) qui lui aussi a des méthodes assez musclées !

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    Le duo Antoine Fuqua / Denzel Washington se reforme à l’occasion de cette adaptation puisqu’à l’origine Equalizer est une série télévisée datant des années 1980. Reprenant le concept bien connu du Vigilante, le personnage de Robert séduit par son attitude d’ange gardien stoïque en toutes circonstances mais aussi par le mystère qui entoure son passé. Rythmé par des scènes d’action efficaces et en particulier le final dans le magasin mais aussi parsemé de quelques bonnes notes d’humour, que demander de plus ? Voilà typiquement le film dont on se délecte  avec son paquet de pop-corn.

     

    Il faut le voir pour : Faire votre liste de livres !

  • Abraham Lincoln : Chasseur de vampires

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    En 1818, notre pote Abraham Lincoln (Lux Harney-Jardine/Benjamin Walker) n’est encore qu’un enfant lorsqu’il perd sa mère dans d’étranges circonstances. Témoin direct de cette nuit d’horreur, il sait que le responsable de sa mort n’est autre que Jack Barts (Marton Csokas) mais à ce moment là il ignorait encore qu’il s’agissait d’un vampire ! Ce n’est que 9 ans plus tard qu’il découvrira la vérité révélée par Henry Sturgess (Dominic Cooper) qui a dédié sa vie à exterminer ces créatures. Abraham veut lui aussi participer à leur destruction e si pour cela il doit oublier toute notion de vengeance, il sait qu’un jour ou l’autre il aura la peau de Barts. L’homme s’illustre aussi à travers un autre combat ; celui contre l’esclavagisme et qui va le conduire à devenir le 16ème président des Etats-Unis !

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    Voilà comment rendre l’histoire intéressante ; il suffit d’y parsemer des vampires et c’est tout de suite plus captivant n’est ce pas ? Bien entendu, on repassera pour découvrir un biopic sur Lincoln et on appréciera à sa juste valeur ce divertissement qui n’est là que pour vous vider l’esprit. Adaptation d’un roman de Seth Grahame-Smith, on délaissera tout ce qui est autour des scènes d’action pour se contenter d’un spectacle constitué de décapitations et de bastons en slow-motion agréable mais peu impressionnant sans compter que le héros Benjamin Walker manque cruellement de charisme. J’aurais bien aimé que Timur Bekmambetov assume ce Abraham Lincoln : Chasseur de vampires jusqu’au bout et nous propose un film d’action un peu plus excitant ; on se contentera d’une légère récréation.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir un plan de secours !

  • Dream house

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    La décision n’était pas évidente mais notre pote Will Atenton (Daniel Craig) a franchi le pas et a démissionné pour se consacrer davantage à sa famille. Sa femme Libby (Rachel Weisz) et leurs 2 filles accueillent évidemment cette nouvelle avec plus d’enthousiasme et ils vont pouvoir profiter comme il se doit de cette maison qu’ils viennent d’acquérir dans la ville de New Ashford. Leur vie va cependant être perturbé par quelques incidents, ce sont d’abord les filles qui prétendent avoir aperçu un homme étrange rodé dans le jardin et puis par la suite Will surprend des jeunes dans sa cave. C’est là qu’il découvre la vérité ; cette maison fut le théâtre d’un horrible massacre dont le responsable serait un certain Peter Ward.

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    On pourrait facilement confondre ce film à un vulgaire film d’épouvante et d’ailleurs la première demi-heure conforte notre ressenti mais quand on se rend compte qu’à la distribution on a Daniel Craig, Rachel Weisz & Naomi Watts et que le réalisateur est Jim Sheridan (Brothers / Réussir ou mourir …) on se dit que Dream house cache certains secrets. Effectivement après une révélation tonitruante, ce qui s’apparentait à un film d’horreur devient soudainement un thriller plaisant mais qui ne propose rien de bien exceptionnel. Une fois le coup de théâtre révélé, l’intérêt du film va en décroissant et on en vient vite à attendre avec une certaine impatience que l’histoire trouve son dénouement.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier le passé des anciens locataires de votre maison !

  • L’affaire Rachel Singer

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    1997 à Tel-Aviv en Israël. Sarah Singer (Romi Aboulafia) est journaliste et célèbre la sortie de son livre consacré à la capture d’un criminel de guerre ; Vogel (Jesper Christensen) connu sous le surnom du Chirurgien de Birkenau. Cette histoire elle la connait sur le bout des doigts puisque ce sont ses parents Rachel & Stephan (Helen Mirren / Jessica Chastain & Tom Wilkinson / Marton Csokas) ex-agents du Mossad qui avaient pour mission de le capturer. C’était il y a 30 ans, ils étaient en Allemagne en compagnie de David (Sam Worthington / Ciarán Hinds) mais au moment où il a fallu évacuer ce prisonnier, ils ont du faire face à un imprévu. L’histoire officielle raconte que c’est en tentant de s’échapper que Vogel a été abattu mais la vérité est tout autre et est sur le point d’éclater.

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    Remake du film israélien La dette, L’affaire Rachel Singer sait tenir le spectateur en haleine tant par son histoire que par son double trio de comédiens. Le casting est irréprochable avec une mention particulière pour Helen Mirren, Jessica Chastain (la découverte de The tree of life) & Marton Csokas. Habilement construit, le film part du dénouement d’une opération secrète pour revenir sur son déroulement afin de contredire la version officielle. S’il faut faire des reproches, on soulignera juste l’absence de réelle surprise sinon tout est donc réuni pour faire plaisir à de nombreux spectateurs et passer un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Se rappeler que la vérité ne vieillit jamais !

  • L'âge de raison

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    Margaret Flore (Sophie Marceau) est une femme déterminée et qui n'hésite pas à employer les grands moyens quand elle veut quelque chose. Menant sa carrière de main de maitre, son agenda est aussi serré que celui d'un ministre et c'est à peine si elle a eu le temps de célébrer son anniversaire. A cette occasion, un vieil homme est venu la trouver, c'est un ancien notaire du nom de Mérignac (Michel Duchaussoy), originaire du village où Margaret a passé son enfance. En ce temps là ; elle s'appelait Marguerite et avait plein de rêves et à l'âge de 7 ans, elle a écrit une série de lettres destinées à elle-même. C'est cet héritage si particulier qu'elle reçoit des mains de Mérignac et cela va bouleverser le reste de sa vie.

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    On dit toujours qu'il est important de garder ses rêves d'enfant et notre pote Yann Samuell semble bien décidé à ne pas grandir de sitôt ! Après l'amusant Jeux d'enfants, il fait revivre à Sophie Marceau ses plus belles années sauf que là la pilule a plus de mal à passer. Trop de bons sentiments tue le film et L'âge de raison souffre indéniablement de cet excès de guimauve au point de le rendre vraiment indigent. D'autre part, Jonathan Zaccaï ne semble pas trop à l'aise dans une comédie où il a du mal à tenir la cadence devant Marceau qui récite ses gammes. La magie de la nostalgie ne fonctionne pas toujours donc on s'abstiendra de ce film à la longue très ennuyeux.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de monter les escalators en sens inverse !