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evangeline lilly

  • Ant-Man

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    Libéré après 3 années de prison, Scott Lang (Paul Rudd) a bien du mal à se relancer. Difficile en effet pour lui de trouver du boulot et s'ajoute à ça les difficultés à voir sa fille Cassie (Abby Ryder Fortson) ; il n'en fallait pas plus pour qu'il retombe dans le crime. Grâce à un plan de son pote d'enfance Luis (Michael Peña), il entend parler d'un coup qui pourrait rapporter gros. En réalité, ce qu'il trouvera n'est autre qu'un drôle de costume mais la plus grande surprise reste à venir puisque celui-ci va lui permettre de rétrécir à la taille d'une fourmi ! Il est alors contacté par le propriétaire de la maison qu'il a cambriolé et celui qui a crée le costume : Hank Pym (Michael Douglas).

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    C'est un projet qui aura suscité de nombreux doutes ; d'abord confié aux mains d'Edgar Wright le réalisateur s'est finalement désisté pour laisser sa place à Peyton Reed. Ant-Man est certes un film de super-héros issu de la maison Marvel, elle détonne par rapport aux autres grosses productions. Si l'action est bien présente, elle passe toute de même au second plan face au personnage maladroit qu'est Scott Lang et Paul Rudd avait le profil idéal. Pour le coté spectaculaire, on ira plutôt voir ses (futurs) collègues Avengers mais pour se divertir et se marrer un peu, il a beau être minuscule il fait quand même le job !

     

    Il faut le voir pour : Se rappeler que ce n'est pas la taille qui compte (et en même temps ça me rassure) !

  • Le Hobbit : La bataille des cinq armées

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    Le dragon Smaug est sorti de son profond sommeil et se dirige vers Lacville qui semble condamné à la destruction. Heureusement, l’héroïsme de notre pote Bard (Luke Evans) permettra de neutraliser la créature laissant derrière elle un village en ruines. Les habitants décident alors de se diriger vers les montagnes pour y trouver refuge  tout en ignorant que ce sera le théâtre d’une bataille épique. Là-bas, Thorin (Richard Armitage) et ses frères d’armes font tout leur possible pour retrouver le précieux Arkenstone sans se douter que Bilbon (Martin Freeman) a déjà mis la main dessus. Au même moment, l’armée des orques progressent et se dirigent droit vers la montagne mais Tauriel & Legolas (Evangeline Lilly & Orlando Bloom) vont faire une découverte importante.

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    Ainsi s’achèvent donc les aventures de notre pote Bilbon Sacquet et le moins que l’on puisse dire c’est que cet épisode ne manque pas d’action ! Il y a en effet de quoi se régaler entre l’attaque de Smaug et cette bataille gigantesque (où Legolas parvient toujours à se montrer très classe). Si ce déluge d’action n’est pas pour me déplaire, quand on prend en considération les 2 épisodes précédents on ne peut que constater un déséquilibre flagrant dans le contenu. Le Hobbit : La bataille des cinq armées est donc un vrai spectacle qui visuellement tient toutes ses promesses et après ça on a plus qu’une envie : se relancer dans la trilogie du Seigneur des anneaux ! Peter Jackson aura signé une belle adaptation des œuvres de Tolkien.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre une bonne technique si jamais vous deviez un jour vous battre sur de la glace !

     

    En savoir plus sur Le Hobbit : Un voyage inattendu ?

    En savoir plus sur Le Hobbit : La désolation de Smaug ?

     

  • Le hobbit : La désolation de Smaug

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    La quête continue pour Bilbon Sacquet (Martin Freeman), Thorin Ecu-de-Chêne (Richard Armitage) et leurs compagnons de route. Ils doivent se rendre à Erebor et pour cela ils vont devoir traverser la forêt noire où derrière chaque arbre se cache de terribles dangers. Pas de surprises donc à ce qu’ils soient attaqués par des araignées géantes qui veulent satisfaire leur faim et tous nos potes ne devront leur survie qu’à l’intervention des elfes menés par Legolas (Orlando Bloom). Ce n’est pas pour autant qu’ils seront considérés comme des alliés puisqu’ils se retrouvent aussitôt prisonniers et c’est là qu’entre en jeu Bilbon qui possède un précieux atout dans sa poche. Pendant ce temps, Gandalf (Ian McKellen) cherche à en savoir plus sur le fameux Nécromancien.

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    Et c’est reparti de plus belle avec ce 2nd volet des aventures de Bilbon et bien entendu, on est dans la parfaite continuité du précédent épisode. Il y a quand même un peu plus d’action avec Le hobbit : La désolation de Smaug notamment avec cette impressionnante évasion des nains de la citadelle des elfes. On peut s’attarder sur ces derniers car l’apparition d’Orlando "Legolas" Bloom et dans une moindre mesure d’Evangeline Lilly apportent un bon coup de boost à la saga. La déception du 1er épisode laisse place à du vrai plaisir avec pour conclure un beau remake de David contre Goliath à la sauce Tolkien par contre plus d’un sera frustré de devoir attendre le dernier volet pour l’apothéose.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de réveiller les dragons, ça les met en pétard !

     

    En savoir plus sur Le Hobbit : Un voyage inattendu ?

    En savoir plus sur Le Hobbit : La bataille des cinq armées ?

  • Real Steel

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    Nous sommes en 2020. Charlie Kenton (Hugh Jackman) est un ancien boxeur qui s’est reconverti bien malgré lui dans la boxe de robots, le must du divertissement. Malheureusement pour lui, le succès n’est pas au rendez-vous car après avoir perdu Ambush, sa récente acquisition Noisy Boy s’est également fait massacré.  Entre-temps, il a pris la garde de son fils Max (Dakota Goyo), 11 ans le temps d’un été en échange de 100 000 dollars. Entre les deux, c’est loin d’être l’amour fou mais leur passion commune pour les robots va les réunir et les conduire jusqu’au championnat du Real Steel. Ils trouvent en effet par hasard un vieux robot du nom d’Atom qui va s’imposer au fil du temps comme un sérieux challenger allant jusqu’à défier le champion incontesté Zeus.

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    C’est vrai que c’est un drôle de projet dans lequel s’est engagé Hugh Jackman avec des combats de robots boxeurs mais on se laisse vite entrainer dans l’histoire. La réussite de Real Steel tient d’abord au fait d’avoir réussi à créer un véritable univers particulièrement attractif (du moins pour la gente masculine, les femmes iront surtout voir Jackman). Pas de temps mort, des combats percutants et un Dakota Goyo qui n’a vraiment pas froid aux yeux font de ce film un agréable divertissement ! Une bonne surprise de la part du réalisateur Shawn Levy que l’on connaissait essentiellement pour des comédies (Crazy Night, La nuit au musée …).

     

    Il faut le voir pour : Continuer de jouer aux robots avec votre fils !

  • Et après

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    Alors qu’il n’avait que 8 ans, Nathan (Romain Duris) a vécu une expérience pour le moins troublante ; il est mort après avoir été renversé par une voiture. Il s’est ainsi vu voler dans le ciel quittant son corps ensanglanté mais aussi difficile que cela puisse paraitre, il est revenu à la vie après un long coma. Plusieurs années plus tard, on le retrouve en plein rendez-vous avec un étrange personnage le Dr Kay (John Malkovich) qui se dit être un messager. Lorsque quelqu’un est sur le point de mourir, il peut percevoir autour de cette personne un halo de lumière. C’est pourquoi il est venu voir Nathan pour le préparer.

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    A croire que c’est une véritable nouvelle tendance au cinéma, le message "Profitons à fond de chaque instant de notre vie" se développe dans les films. Il y a eu Sept vies, c’est maintenant Et après qui s’y colle avec notre frenchie Romain Duris & le 1er grand rôle d’Evangeline Lilly qui semblent tous deux un peu perdus. Il paraitrait que le film qui est une adaptation du roman de Guillaume Musso aurait un coté poétique mais c’est certainement parce que je n’ai pas vu le générique de fin en entier que je ne l’ai pas remarqué. N’allons pas plus dans les détails, c’est un mélodrame trop convenu et il y a trop de guimauve pour nous emballer.

     

    Il faut le voir pour : Stopper le sucre dans votre café.