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peter capaldi

  • Paddington

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    Il y a longtemps de cela, un explorateur anglais s’était rendu au Pérou où il a fait une incroyable découverte. Il a en effet fait la connaissance d’un couple d’ours extraordinaires avec lesquels il s’est lié d’amitié et les a baptisé Lucy & Pastouso. Des années plus tard, un petit ours débarque à son tour en Angleterre et va être recueilli par la famille Watson. On décide de lui donner le nom de Paddington et il est à la recherche de cet explorateur mais la seule chose qui le relie à lui est ce chapeau rouge qu’il ne quitte jamais. Ça ne sera pas chose facile d’autant plus qu’Henry Brown (Hugh Bonneville) aimerait se débarrasser au plus vite de cet ours gaffeur !

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    A ne surtout pas confondre avec Ted, Paddington c’est un ourson si mignon mais aussi tellement maladroit ! Héros crée par l’auteur britannique Michael Bond en 1958, les jeunes spectateurs vont découvrir et probablement vite s’attacher à ce personnage au son look si particulier. Avec tout ça, il faudra se montrer conciliant vis -à-vis d’un scénario qui n’a pas inventé l’eau chaude mais qui évite tout de même de trop tomber dans la niaiserie. Même s’il s’adresse essentiellement à un jeune public, le plaisir est au rendez-vous à condition de se laisser un peu retomber en enfance. 

     

    Il faut le voir pour : Découvrir ce que les Welsh Guards de la reine cachent sous leurs bonnets !

  • Le cinquième pouvoir

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    Wikileaks. En 2007, personne ne connait réellement ce site d’informations révolutionnaire qui écrira une page de l’histoire et rendra Julien Assange (Benedict Cumberbatch) célèbre à travers le monde. Partisan de la vérité ou terroriste, chacun se forgera sa propre opinion sur ce personnage controversé capable de faire trembler des gouvernements. Quand notre pote Daniel Domscheit-Berg (Daniel Brühl) fait sa rencontre et s’associe avec lui,  il ne s’imaginait certainement pas qu’ils auraient autant de pouvoirs entre leurs mains. Leur site dévoile au grand jour les secrets les plus inavouables, les images qu’on a cherché à cacher au grand public jusqu’à ce jour fatidique où plus de 90 000 documents militaires américains sont publiés.

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    A moins de se réveiller d’un profond coma ou d’être resté au Minitel, impossible d’avoir manqué la médiatique affaire Wikileaks. C’est aussi à ce moment là qu’on a commencé à entendre le nom de Julien Assange, le fondateur et pendant un temps ennemi numéro 1 de nombreux gouvernements. Le cinquième pouvoir revient donc sur ce scandale avec un incroyable Benedict Cumberbatch bluffant dans la peau de ce justicier aux desseins ambigus. C’est clairement sa performance qui permet au film de surnager car en dehors de ça, c’est assez plat puisque le film se contente d’une reconstitution des coulisses du scandale. On pourra s’interroger aussi sur l’objectivité de ce portrait quand on sait qu’il s’inspire notamment du livre écrit par son ancien associé Daniel Domscheit-Berg.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre les véritables explications des cheveux blancs d’Assange !

  • In the loop

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    Angleterre. Tom Hollander (Simon Foster) est le ministre du développement et au cours d'une interview à la radio, il s'est laissé aller à un commentaire hasardeux sur une éventuelle déclaration de guerre contre le Moyen-Orient. Au sein de son gouvernement, c'est un véritable cataclysme et Tom se fait vite remonter les bretelles et pourtant il tient à nouveau des propos suspicieux et cette fois devant des caméras de télévision. Il n'en faut pas plus pour attiser la curiosité des médias et titiller les gouvernements qui tentent par tous les moyens de camoufler leurs intentions militaires. Pendant ce temps aux États-Unis, l'ONU est sur le point de soumettre au vote la déclaration de guerre.

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    C'est la curiosité du moment à découvrir uniquement en Version originale afin de profiter de toutes les subtilités qu'offrent les dialogues. Il faut un certain temps pour s'habituer au coté cynique de In the loop car on a plus souvent l'occasion de voir les politiciens pratiquer la langue de bois plutôt que de les entendre aussi parler de façon aussi franche. D'abord happé par cette particularité, cet intérêt finit toutefois par se désagréger au fil des minutes car on a comme cette désagréable impression que le film ne fait que ressasser la même chose pendant 1H45. Un seul mot semble convenir, le film d'Armando Iannucci est réellement imprévisible !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais utiliser le mot "Imprévisible" dans une interview.