Dos au mur
Notre pote Nick Cassidy (Sam Worthington) s’est réservé une belle chambre à l’hôtel Roosevelt avec une vue imprenable sur New-York. Après un somptueux repas arrosé de champagne, il fait un peu de ménage avant d’enjamber la fenêtre et menace désormais de sauter du 21ème étage de l’immeuble ! En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les passants s’amassent et les médias arrivent sur les lieux et tous se posent une seule et même question : qui est cet illuminé ? Il y a encore 1 mois, Nick croupissait dans les cellules de Sing Sing mais il a profité de l’enterrement de son père pour s’évader. Cet ancien flic a été arrêté pour avoir volé un diamant estimé à 40 millions de dollars à David Englander (Ed Harris) or la vérité n’est pas celle qui parait être.
Il suffira de 5 petites minutes pour accrocher le spectateur, le temps pour notre pote Sam Worthington de prendre l’air au bord de sa fenêtre et de jouer les funambules pendant plus d’une heure. Ça fait un peu penser à Phone game dans le principe mais rassurez-vous, une autre histoire se développe parallèlement permettant ainsi de dévoiler au fur et à mesure un scénario efficace quoi que un peu tiré par les cheveux. Qu’importe, il y a assez d’action et de rebondissements pour ne pas s’ennuyer et si Dos au mur ne casse pas des briques (désolé, il fallait que ça sorte), il a ce qu’il faut pour nous assurer un bon divertissement.
Il faut le voir pour : Eviter d’encourager les gens à sauter des immeubles !