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Film - Page 47

  • Benoit Brisefer : Les taxis rouges

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    Il fait bon vivre à Villejoie la grande, Jules Dussiflard (Gérard Jugnot) prend toujours plaisir à parcourir les rues à bord de son taxi rouge mais les choses vont changer ! Une nouvelle société de taxis dirigée par M. Poilonez (Jean Reno) s’est installée et entend rapidement s’imposer que cela plaise ou non à M. Dussiflard. Ce dernier a d’ailleurs surpris une conversation confidentielle ce qui lui vaut d’être fait prisonnier et c’est là qu’entre en jeu notre pote Benoit Brisefer (Léopold Huet). Ce petit garçon de 10 ans semble tout à fait normal en apparence mais il cache en réalité une incroyable force, des supers pouvoirs qui cependant disparaissent lorsqu’il est enrhumé.

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    Si tout le monde connait parfaitement les Schtroumpfs, c’est moins le cas de Benoit Brisefer autre héros crée par l’artiste Peyo. Le réalisateur Manuel Pradal s’est donc vu confier l’adaptation de la Bande dessinée et il est plutôt difficile d’y déceler les points positifs. L’humour est extrêmement potache, les quelques pouvoirs détenus par le jeune Léopold Huet se résume à de grands sauts ou une super force  loin d’être mis en valeur par des effets spéciaux d’une autre époque. Dépassé l’âge de 7 ans, impossible de ne pas ressentir cette irrépressible envie de vite voir arriver le générique de fin. Bon courage aux parents qui devront subir ce Benoit Brisefer : Les taxis rouges !

     

    Il faut le voir pour : Soigner rapidement votre rhume !

  • La famille Bélier

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    Parce que notre pote Paula (Louane Emera) a des vues sur Gabriel (Ilan Bergala), cette année elle s’est inscrite à la chorale et ça va être une révélation. Du moins son professeur M. Thomasson (Eric Elmosnino) en est persuadé et lui propose d’abord un duo avec Gabriel avant d’évoquer un concours à Paris. La jeune femme se montre hésitante non pas qu’elle n’ait pas envie de se lancer dans le chant mais elle n’imagine pas quitter sa famille et plus particulièrement ses parents Gigi & Rodolphe (Karin Viard & François Damiens) qui sont sourds. Seule entendante du foyer, elle a toujours été à leurs cotés et ils vont d’autant plus avoir besoin d’elle que son père s’est porté candidat pour devenir maire.

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    Belle initiative de la part du réalisateur Eric Lartigau de mettre en scène des protagonistes sourds cependant le film ne l’assume pas totalement. Quand Paula se met à répéter ce qu’expriment ses parents par les signes ça ne rend pas les échanges très naturels. Ceci d’autant plus que la jeune Louane Emera (repérée dans The voice) brille davantage par sa voix que par son jeu d’actrice. On aurait apprécié plus de scènes comme celle du petit-déjeuner où le bruit ambiant suffit à nous faire ressentir les émotions des personnages. La famille Bélier reste néanmoins un joli film où Eric Elmosnino est délicieux en prof désabusé sans oublier une magnifique scène avec la reprise de Je vole pas loin de nous donner la larme à l’œil.

     

    Il faut le voir pour : Réécouter les chansons de Michel Sardou !

  • Les pingouins de Madagascar

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    A l’occasion des 10 ans de Soldat, ses potes d’enfance le Commandant, Kowalski & Rico ont décidé de lui offrir un cadeau digne de ce nom. Direction Fort Knox où après avoir bravé les systèmes de sécurité les plus sophistiqués, ils mettent la main sur un précieux … distributeur de Cheezy dibbles ! C’est là que débutent leurs aventures car ils vont être enlevés par Dave, la pieuvre qui veut étancher sa soif de vengeance. Ils parviendront toutefois à s’enfuir avant de s’associer à l’organisation secrète le Vent du Nord afin de contrecarrer les plans du machiavélique Didier euh non Dave.

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    Ils avaient déjà eu droit à leurs propres aventures à la télévision avec une série animée, c’est maintenant sur grand écran que Les pingouins de Madagascar font leur show. Ces héros trop doux et trognons nous embarquent dans une histoire rocambolesque où se mêlent espionnage, humour et action. Vous pouvez compter sur la naïveté de ce quatuor, des voyages aux quatre coins du monde et quelques running-gags pour faire marrer parents et enfants. Alors que la saga Madagascar s’essoufflait, ce spin-off arrive à point nommé et se montre diablement efficace et on se tient déjà prêt pour leurs prochaines missions !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de rendre visite aux pieuvres quand vous allez au zoo !

  • Le septième fils

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    Notre pote Tom Ward (Ben Barnes) est quelqu’un de spécial car il est le 7ème fils d’un 7ème fils. D’ailleurs, des pouvoirs se sont manifestés en lui sous la forme de visions ainsi lorsqu’il a vu arriver Maitre Gregory (Jeff Bridges), il savait qu’il devrait le suivre en devenant son apprenti. Cet homme est en fait un épouvanteur c’est-à-dire qu’il combat les créatures de l’ombre et un grand danger menace notre monde. Mère Malkin (Julianne Moore) s’est libérée et sa première victime fut l’ancien apprenti de Gregory ; elle s’apprête maintenant à faire déferler les ténèbres et cela se fera lorsque la lune de sang sera pleine.

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    C’est une nouvelle œuvre d’Heroic-Fantasy qui débarque sur nos écrans avec cette adaptation des livres de Joseph Delaney. Au programme, un jeune homme possédant un grand potentiel, un monde en danger et au milieu de tout ça de la magie, des sorcières, des ogres et j’en passe. Si Le septième fils peut compter sur des scènes d’action plutôt agréables sans pour autant être époustouflantes, la galerie de personnages ne possède pas beaucoup de charme. On croirait notre pote Jeff Bridges débarqué du film R.I.P.D. Brigade fantôme, Ben Barnes n’est pas loin d’être transparent et les méchants de service sont anecdotiques. Un film qui au final ne dispose que de peu d’intérêt et donc on s’en passera volontiers.

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions après votre 6ème enfant !

  • Le chant de la mer

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    Bien qu’elle fête ses 6 ans, notre pote Maïna reste toujours muette. Peut-être est-ce du au fait qu’à la naissance de cette petite fille, sa mère a tragiquement disparu ; un évènement que son grand frère Ben a toujours du mal à accepter. D’ailleurs, il garde une certaine rancœur envers Maïna mais il ne va pas tarder à apprendre la vérité à son sujet ; sa petite sœur est une Selkie autrement dit une créature mythologique issue de la mer ! Il n’est pas au bout de ses surprises car il va découvrir que les nombreuses histoires que lui racontait autrefois sa mère sont réelles. Cependant Maïna a un comportement étrange ces derniers temps et son père de confier ses enfants à leur grand-mère qui les emmène en ville.

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    C’est sur qu’il n’a pas encore la renommée d’un Disney mais en continuant comme ça notre pote Tomm Moore va finir par se faire connaitre du plus grand nombre. Après l’excellent Brendan et le secret de Kells, il nous revient donc avec une belle histoire puisant dans les légendes irlandaises et des personnages ô combien attachants. Le style graphique reste identique à savoir des dessins relativement simples mais relevés par des couleurs chatoyantes et une animation sans failles. On a même parfois l’impression de voir du Miyazaki lorsqu’arrive le personnage de Macha. Quel que soit votre âge, le charme opère et Le chant de la mer s’impose ainsi comme une formidable séance à partager en famille.

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos parents de vous raconter des histoires !

  • Le Père Noël

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    Qu’il est difficile pour notre pote Antoine (Victor Cabal) de trouver le sommeil en ce soir du 24 Décembre d’autant plus qu’il s’apprête à faire une rencontre extraordinaire. Cet enfant de 6 ans va en effet voir le Père Noël (Tahar Rahim) ! Du moins c’est ce qu’il pense car derrière le déguisement se cache en réalité un cambrioleur qui a cru avoir trouvé une bonne combine. Loin de se douter de cela, Antoine va poursuivre le Père Noël pour qu’il puisse exaucer son vœu le plus cher : effectuer un tour dans son traineau et ainsi revoir son père qui a rejoint les étoiles. Pour ce Père Noël, le petit garçon est surtout une épine dans le pied dont il va tout même réussir à tirer parti.

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    Fêtes de fin d’année oblige, cette période voit ainsi fleurir des petites comédies susceptibles de réunir les familles. Le Père Noël ne déroge pas à la règle et il ne faut donc pas espérer y trouver un scénario très consistant. L’intérêt réside surtout dans ses héros avec Tahar Rahim et surtout Victor Cabal avec son adorable petite bouille, on se laisse vite attendrir et il se montre même très touchant au travers de son histoire personnelle. On ne va pas se le cacher, le film est loin de se montrer incontournable et le happy end fait partie du cahier des charges mais cela ne nous empêche pas de passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Se méfier d’un Père Noël qui vous demande de l’or !

  • Le Hobbit : La bataille des cinq armées

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    Le dragon Smaug est sorti de son profond sommeil et se dirige vers Lacville qui semble condamné à la destruction. Heureusement, l’héroïsme de notre pote Bard (Luke Evans) permettra de neutraliser la créature laissant derrière elle un village en ruines. Les habitants décident alors de se diriger vers les montagnes pour y trouver refuge  tout en ignorant que ce sera le théâtre d’une bataille épique. Là-bas, Thorin (Richard Armitage) et ses frères d’armes font tout leur possible pour retrouver le précieux Arkenstone sans se douter que Bilbon (Martin Freeman) a déjà mis la main dessus. Au même moment, l’armée des orques progressent et se dirigent droit vers la montagne mais Tauriel & Legolas (Evangeline Lilly & Orlando Bloom) vont faire une découverte importante.

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    Ainsi s’achèvent donc les aventures de notre pote Bilbon Sacquet et le moins que l’on puisse dire c’est que cet épisode ne manque pas d’action ! Il y a en effet de quoi se régaler entre l’attaque de Smaug et cette bataille gigantesque (où Legolas parvient toujours à se montrer très classe). Si ce déluge d’action n’est pas pour me déplaire, quand on prend en considération les 2 épisodes précédents on ne peut que constater un déséquilibre flagrant dans le contenu. Le Hobbit : La bataille des cinq armées est donc un vrai spectacle qui visuellement tient toutes ses promesses et après ça on a plus qu’une envie : se relancer dans la trilogie du Seigneur des anneaux ! Peter Jackson aura signé une belle adaptation des œuvres de Tolkien.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre une bonne technique si jamais vous deviez un jour vous battre sur de la glace !

     

    En savoir plus sur Le Hobbit : Un voyage inattendu ?

    En savoir plus sur Le Hobbit : La désolation de Smaug ?

     

  • White god

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    Alors que sa mère part pour 3 mois en Australie, notre pote Lili (Zsófia Psotta) doit aller vivre chez son Père (Sándor Zsótér) et la cohabitation a du mal à se faire. La cause de tout ça c’est Hagen, ce chien bâtard exaspère le père qui prend une décision radicale en l’abandonnant. Errant d’abord dans les rues, il sera ensuite capturé dans un but bien précis : participer à de violents combats. Si au départ Hagen était un chien affectueux, il va être soumis à un entraînement intense et surtout avec l’administration de produits, son agressivité va s’accroître de façon stupéfiante.

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    C’est un triste constat mais les faits divers impliquant les chiens dangereux reviennent régulièrement dans l’actualité. Il ne faut cependant pas perdre de vue que derrière ces drames est soulevé la responsabilité des maîtres, de l’Homme qui transforme sans scrupules le meilleur ami de l’homme en machines à combattre. White god illustre cette terrible réalité à travers la transformation de ce chien d’abord adorable et ensuite effrayant de terreur. Avec une histoire au déroulement très classique et la présence de quelques longueurs, le film du réalisateur Kornél Mundruczó risque tout de même de laisser pas mal de spectateurs indifférent.

     

    Il faut le voir pour : Dresser votre chien comme il se doit !

  • La French

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    Marseille au milieu des années 1970. Jusqu’à présent juge des mineurs, notre pote Pierre Michel (Jean Dujardin) vient d’être promu juge du grand banditisme et un énorme travail l’attend. La cité phocéenne est en effet gangrenée par le trafic de drogues qui s’étend jusqu’aux États-Unis et ce réseau est contrôlé par la French. A la tête de celle-ci se trouve Gaëtan Zampa (Gilles Lellouche) qui s’est imposé par la force et qui n’hésite pas à se éliminer ceux qui pourraient le gêner. Tout le monde annonçait ce combat perdu d’avance mais l’abnégation du juge Michel va porter ses fruits et modifier le paysage marseillais.

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    Retour sur la vie du juge Pierre Michel qui aura bouleversé la vie marseillaise de la fin des années 1970 en s’engageant vindicativement dans la lutte contre les trafiquants de drogue. Le réalisateur Cédric Jimenez retrace avec dynamisme cette confrontation historique si bien que les 2H20 filent assez vite. Si Jean Dujardin incarne plutôt bien son personnage, on est moins convaincu par Gilles Lellouche qui n’a pas vraiment la carrure d’un chef de gang. On ressent évidemment dans La French la grande influence du cinéma américain à travers ce duel à distance opposant le juge à Zampa et ça fonctionne assez bien pour qu’on y trouve notre intérêt.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir qu'un juge peut aussi entrer en action !

  • Paddington

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    Il y a longtemps de cela, un explorateur anglais s’était rendu au Pérou où il a fait une incroyable découverte. Il a en effet fait la connaissance d’un couple d’ours extraordinaires avec lesquels il s’est lié d’amitié et les a baptisé Lucy & Pastouso. Des années plus tard, un petit ours débarque à son tour en Angleterre et va être recueilli par la famille Watson. On décide de lui donner le nom de Paddington et il est à la recherche de cet explorateur mais la seule chose qui le relie à lui est ce chapeau rouge qu’il ne quitte jamais. Ça ne sera pas chose facile d’autant plus qu’Henry Brown (Hugh Bonneville) aimerait se débarrasser au plus vite de cet ours gaffeur !

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    A ne surtout pas confondre avec Ted, Paddington c’est un ourson si mignon mais aussi tellement maladroit ! Héros crée par l’auteur britannique Michael Bond en 1958, les jeunes spectateurs vont découvrir et probablement vite s’attacher à ce personnage au son look si particulier. Avec tout ça, il faudra se montrer conciliant vis -à-vis d’un scénario qui n’a pas inventé l’eau chaude mais qui évite tout de même de trop tomber dans la niaiserie. Même s’il s’adresse essentiellement à un jeune public, le plaisir est au rendez-vous à condition de se laisser un peu retomber en enfance. 

     

    Il faut le voir pour : Découvrir ce que les Welsh Guards de la reine cachent sous leurs bonnets !