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  • Chic !

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    Notre pote Hélène Birk (Marina Hands) travaille dans l’univers de la mode et c’est un job qu’elle adore mais elle pourrait prochainement voir ce rêve s’écrouler. Tout dépend en fait du prochain défilé de la célèbre Alicia Ricosi (Fanny Ardant) et ça part sur de mauvaises bases puisque celle-ci parle de tout plaquer après une déception amoureuse. Hélène a alors l’idée de lui trouver dans le plus secret un homme au moins le temps de finaliser sa nouvelle collection. Son plan connait un petit accroc car Alicia va tomber sous le charme de Julien Lefort (Eric Elmosnino) et il se trouve que ce paysagiste a été congédié sans ménagement par Hélène !

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    Vous aimez rire et vous suivez la mode ? Alors cette comédie a toutes les chances de vous plaire mais c’est peut-être aller vite en besogne car Chic ! n’a rien du produit de haute-couture. En cause d’abord un scénario cousu de fil blanc de la première jusqu’à la dernière minute. La comédie de Jérôme Cornuau ne peut pas vraiment non plus compter sur Marina Hands qui se montre peu convaincante dans la peau de cette femme carriériste et égocentrique. Le reste de la galerie de personnages n’est pas non plus très réjouissant entre un Laurent Stocker quintessence du cliché, une Fanny Ardant sans saveur et puis Eric Elmosnino qui ne peut que se fondre dans le paysage en se mettant au niveau de ce marasme.

     

    Il faut le voir pour : Prendre soin de votre jardin !

  • La famille Bélier

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    Parce que notre pote Paula (Louane Emera) a des vues sur Gabriel (Ilan Bergala), cette année elle s’est inscrite à la chorale et ça va être une révélation. Du moins son professeur M. Thomasson (Eric Elmosnino) en est persuadé et lui propose d’abord un duo avec Gabriel avant d’évoquer un concours à Paris. La jeune femme se montre hésitante non pas qu’elle n’ait pas envie de se lancer dans le chant mais elle n’imagine pas quitter sa famille et plus particulièrement ses parents Gigi & Rodolphe (Karin Viard & François Damiens) qui sont sourds. Seule entendante du foyer, elle a toujours été à leurs cotés et ils vont d’autant plus avoir besoin d’elle que son père s’est porté candidat pour devenir maire.

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    Belle initiative de la part du réalisateur Eric Lartigau de mettre en scène des protagonistes sourds cependant le film ne l’assume pas totalement. Quand Paula se met à répéter ce qu’expriment ses parents par les signes ça ne rend pas les échanges très naturels. Ceci d’autant plus que la jeune Louane Emera (repérée dans The voice) brille davantage par sa voix que par son jeu d’actrice. On aurait apprécié plus de scènes comme celle du petit-déjeuner où le bruit ambiant suffit à nous faire ressentir les émotions des personnages. La famille Bélier reste néanmoins un joli film où Eric Elmosnino est délicieux en prof désabusé sans oublier une magnifique scène avec la reprise de Je vole pas loin de nous donner la larme à l’œil.

     

    Il faut le voir pour : Réécouter les chansons de Michel Sardou !

  • A coup sûr

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    Grace à son père, Emma (Laurence Arné) a hérité d’un tempérament de vainqueur et c’est ainsi qu’elle a toujours donné le meilleur d’elle-même. Alors quand un homme, en l’occurrence son dentiste, lui dit qu’elle est aussi énergique qu’une limace au lit, elle voit rouge. D’autant plus qu’après un quiproquo avec son collègue de travail Tristan (Eric Elmosnino), le doute va s’installer un peu plus dans l’esprit de la jeune femme. Et si justement son célibat était la conséquence de ses piètres performances sexuelles ? Emma se met ainsi à étudier sérieusement la question d’abord en consultant les meilleurs livres sur le sujet et elle ira jusqu’à interviewer un acteur porno pour obtenir avec plus ou moins de discrétion quelques conseils.

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    Le sujet devient de moins en moins tabou et il n’y a rien de plus confortable qu’une comédie pour évoquer le sexe. On accompagne ainsi Laurence Arné au cours de son apprentissage bien particulier ce qui lui réserve quelques situations insolites mais c’est un premier grand rôle au cinéma qui la dépasse un peu. A la limite les quelques apparitions de Valérie Bonneton sont même plus amusantes. Il y a bien quelques moments qui vous dérideront le visage mais sur la durée, les rires sont loin d’être assurés A coup sûr ! On ne s’attardera donc pas sur les personnages caricaturés (comme le stagiaire) quand ils ne sont pas tout simplement transparents. Une comédie téléphonée qui ne laissera pas un grand souvenir.

     

    Il faut le voir pour : Envisager d’acheter une nappe en PVC parce que ça a l’air bien pratique.

  • Le cœur des hommes 3

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    Il avait commencé comme professeur de sport et Antoine (Bernard Campan) travaille aujourd’hui au Ministère des sports. Une sacrée évolution dont il est heureux d’autant plus qu’il s’est fait un nouveau pote d’enfance en la personne de Jean (Eric Elmosnino). Ils se retrouvent d’ailleurs régulièrement pour leur jogging au par cet Antoine réussira même à convaincre Alex & Manu (Marc Lavoine & Jean-Pierre Darroussin) de les suivre. Pour ces derniers aussi la vie leur réserve des surprises, des bonnes comme ce fils caché et d’autres plus beaucoup moins réjouissantes où l’on doit faire face à la maladie d’un proche.

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    Rien n’a changé ou presque. Gérard Darmon n’est plus de la partie et son exil aux Etats-Unis profite à Eric Elmosnino. En dehors de cette nouveauté au casting, Le cœur des hommes 3 reste fidèle à ce qu’il était à savoir un film de potes construit à partir de choses simples. S’il y a encore une once de plaisir à retrouver ses potes d’enfance, la saga de Marc Esposito arrive tout de même à bout de souffle en ressassant toujours les mêmes choses. La bande qui nous avait tant charmé montre des signes de faiblesses comme certaines scènes et dialogues qui sonnent franchement faux ("C’est très joli chez vous, ça sent le bonheur" et j’en passe). On se dit qu’il serait cette fois temps de dire au revoir à tous ces personnages.

     

    Il faut le voir pour : Prendre un petit déjeuner plus consistant !

     

    En savoir plus sur Le cœur des hommes 2 ?

  • Hôtel Normandy

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    Depuis la mort de son compagnon, Alice (Héléna Noguerra) ne s’intéresse plus du tout aux hommes ce qui inquiète fortement ses potes d’enfance Pénélope & Isabelle (Anne Girouard & Frédérique Bel). En guise de cadeau d’anniversaire, elles décident de lui offrir un beau séjour à l’Hôtel Normandy à Deauville afin qu’elle puisse profiter de la Biennale d’art contemporain. Ce qu’elles ne lui ont pas dit c’est qu’elles ont demandé à un homme de la séduire mais leur plan ne va pas se dérouler comme prévu. Si Alice a bien rencontré quelqu’un ; Jacques (Eric Elmosnino) n’est pas l’homme qui était chargé de la séduire puisqu’il s’agit en fait d’Yvan (Ary Arbittan) … enfin pas tout à fait !

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    Gros quiproquo à Deauville où la princesse Hélène Noguerra va faire connaissance avec ses princes charmants. Charles Nemes (Au bistro du coin, Le séminaire …) nous a habitué à des comédies souvent peu raffinées et il perpétue la tradition avec Hôtel Normandy où on n’a pas vraiment envie de poser les valises. Entre la copine introvertie, celle nymphomane ou le séducteur gaffeur et relou ; on a des personnages qui sont bien à l’image du film à savoir poussif. On pourra juste se consoler avec un casting plutôt rafraîchissant qui, malgré leur générosité, ne parviennent pas à donner plus d’entrain à ce film qui arrache avec beaucoup de peine quelques sourires.

     

    Il faut le voir pour : Ramasser les peintures que vous pouvez trouver dans les poubelles, on ne sait jamais.

  • Ouf

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    Notre pote François (Eric Elmosnino) a comme qui dirait pété un plomb devenant particulièrement agressif envers sa femme Anna (Sophie Quinton). Il est même allé jusqu’à tenter de mettre le feu à l’immeuble où il habitait et c’est pour cette raison qu’il s’est retrouvé soigné dans un hôpital psychiatrique. Le temps a passé, il est désormais libre et va chercher à retrouver sa vie d’avant et pour ça il tente de convaincre Anna que tout va bien se passer pour eux. Son obsession va une nouvelle fois le conduire à être interné puisqu’il n’a rien trouvé de mieux que d’escalader la façade de son immeuble pour faire une surprise à son ex-femme. Le voilà encore enfermé mais tout espoir n’est pas perdu !

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    A quelques semaines d’intervalle de la sortie d’Happiness Therapy, débarque Ouf qui partage avec la comédie américaine quelques points communs. Les 2 films partent avec une base scénaristique identique mais ici on est bien moins gâté même si le tandem Sophie Quinton / Eric Elmosnino est assez séduisant. Ce qui est moins brillant c’est ce qui les entoure, une histoire inexistante et qui va trouver son apothéose dans ce champ de patates. Bien que le personnage de François parvient à nous faire décrocher tout au plus 2-3 sourires et qu’on a plaisir à voir Valeria Golino ou Luis Rego, on ne tarde pas à regretter que ce film manque paradoxalement d’une véritable folie.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vomir sur les pigeons !

  • Télé Gaucho

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    Le rêve de Victor (Félix Moati) serait un jour de devenir cinéaste mais pour cela, il lui faut une caméra ! Tout juste installé à Paris, il fait la connaissance de Jean-Lou (Eric Elmosnino), un mec pas facile en négociations et qui est à la tête de sa propre chaine de télévision : Télé Gaucho. Avec quelques potes d’enfance, ils combattent activement le pouvoir politique en place et tirent à boulets rouges sur la Droite. Victor se voit proposer de travailler avec eux et le jeune homme va ainsi proposer des petites pastilles d’humour mais dans le même temps, il est aussi engagé comme stagiaire sur la chaine HT1. La chance est aussi avec lui puisqu’il va faire la connaissance de la belle Clara (Sarah Forestier).

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    Avec Le nom des gens, le réalisateur Michel Leclerc nous avait offert une belle surprise et bien évidemment cela amène une attente toute particulière pour ce Télé Gaucho. Inspiré en partie de sa véritable expérience au sein de Télé Bocal, on est au cœur d’un groupe de gauchistes anarchistes qui veulent se faire entendre quitte à pirater les réseaux télévisées. Si Sarah Forestier répond encore présent et fait de nouveau preuve d’une grande excentricité, ce sont tout de même Eric Elmosnino & Maïwenn qui mènent la barque. Une comédie agréable mais qui manque malgré tout d’idées pour parvenir à nous charmer entièrement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le porno c’est de droite !

  • Interview exclusive de Lars Blumers (réalisateur de Mike)

    Cela fait longtemps que Ciné2909 ne vous avait pas offert une telle exclu, plus de 2 ans pour être exact! Je suis donc très content de pouvoir vous proposer l’interview exclusive d’un réalisateur que j’ai découvert grâce à un film vraiment sympathique et qui ferait d’ailleurs un très beau cadeau de Noel pour les amateurs de cinéma. Mike est donc le premier film de Lars Blumers et le réalisateur nous en dit un peu plus.

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  • Le skylab

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    A l’occasion de l’anniversaire de leur Mamie (Bernadette Laffont), toute la famille s’est réunie en Bretagne pour célébrer l’évènement. Enfants et petits-enfants sont évidemment de la partie et parmi eux se trouvent notre pote Albertine (Lou Alvarez) et ses parents Anna & Jean (Julie Delpy & Eric Elmosnino). Le soleil est au rendez-vous-même si une averse n’est pas à exclure, le mouton est sur le barbecue et ce déjeuner s’annonce plus que jamais festif. Pour digérer le repas, rien ne vaut un détour à la plage et c’est vraiment l’idéal pour oublier que le Skylab pourrait s’écraser sur eux cette nuit. En effet, ça fait la une des journaux ; ce satellite a toutes les chances de frapper la Bretagne et ça angoisse quelque peu la petite Albertine.

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    Devant et derrière la caméra, notre pote Julie Delpy nous convie à un week-end familial qui s’annonce animé ! Au programme ; un bon couscous, quelques verres de Porto pour Mamie, un télé-crochet improvisé avec en guest-star Tonton Hubert ou encore un détour sur la plage des nudistes. Il n’y a pas grand-chose à reprocher à cette excellente comédie que ce soit un casting riche et surtout réussi, une bonne dose de bonne humeur mais aussi quelques coups de gueule ; on tombe immédiatement sous le charme avec Le skylab. Une réunion familiale à laquelle on ne regrette pas d’être convié et qui réveillera peut-être en vous quelques souvenirs !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’évoquer la politique pendant les repas familiaux !

  • La guerre des boutons (2011)

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    Couilles molles. C’est par cette simple déclaration qu’une nouvelle guerre est sur le point de débuter entre les Velrans et les Longeverne, une guerre sans merci et sans boutons ! La rivalité entre ces 2 villages ne date pas d’hier et elle est désormais entrée dans une phase critique ; les Longeverne sont parvenus à attraper un prisonnier et ils lancent les hostilités en le dépouillant de tous ses boutons. La riposte ne tarde pas et c’est leur chef Lebrac (Vincent Bres) qui va en faire directement les frais ; la guerre est loin d’être terminée ! Malgré son jeune âge, d’énormes responsabilités pèsent sur les épaules de Lebrac qui doit prendre soin de sa famille depuis la disparition de son père. Sa mère insiste pour qu’il trouve rapidement un travail et cela implique donc qu’il quitterait l’école et tous ses camarades.

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    Cette fois la guerre est lancée et c’est Yann Samuell qui dégaine le premier ses armes avec sa version de La guerre des boutons. Bon l’histoire tout le monde doit la connaitre, c’est la confrontation de 2 bandes de gamins dont le butin de guerre sera constitué de tous les boutons de leurs adversaires. Assez vite, on se rend compte qu’un soin particulier a été apporté aux dialogues comme pour essayer de trouver un héritier au légendaire "Si j’avais su, j’aurais pas venu" de Tigibus et à certains moments ça manque clairement de naturel. Un peu comme la présence de ces adultes Eric Elmosnino, Alain Chabat ou encore Fred Testot dont on se serait bien passé mais qui permettent de vendre un peu mieux le film. Dommage car le casting des enfants était plutôt bien réussi mais on ne retrouve pas vraiment l’insouciance qui caractérisait l’histoire, le film d’Yves Robert a encore de beaux jours devant lui.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’une calme tempête est un oxymore !