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evelyne buyle

  • Benoit Brisefer : Les taxis rouges

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    Il fait bon vivre à Villejoie la grande, Jules Dussiflard (Gérard Jugnot) prend toujours plaisir à parcourir les rues à bord de son taxi rouge mais les choses vont changer ! Une nouvelle société de taxis dirigée par M. Poilonez (Jean Reno) s’est installée et entend rapidement s’imposer que cela plaise ou non à M. Dussiflard. Ce dernier a d’ailleurs surpris une conversation confidentielle ce qui lui vaut d’être fait prisonnier et c’est là qu’entre en jeu notre pote Benoit Brisefer (Léopold Huet). Ce petit garçon de 10 ans semble tout à fait normal en apparence mais il cache en réalité une incroyable force, des supers pouvoirs qui cependant disparaissent lorsqu’il est enrhumé.

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    Si tout le monde connait parfaitement les Schtroumpfs, c’est moins le cas de Benoit Brisefer autre héros crée par l’artiste Peyo. Le réalisateur Manuel Pradal s’est donc vu confier l’adaptation de la Bande dessinée et il est plutôt difficile d’y déceler les points positifs. L’humour est extrêmement potache, les quelques pouvoirs détenus par le jeune Léopold Huet se résume à de grands sauts ou une super force  loin d’être mis en valeur par des effets spéciaux d’une autre époque. Dépassé l’âge de 7 ans, impossible de ne pas ressentir cette irrépressible envie de vite voir arriver le générique de fin. Bon courage aux parents qui devront subir ce Benoit Brisefer : Les taxis rouges !

     

    Il faut le voir pour : Soigner rapidement votre rhume !

  • Ouf

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    Notre pote François (Eric Elmosnino) a comme qui dirait pété un plomb devenant particulièrement agressif envers sa femme Anna (Sophie Quinton). Il est même allé jusqu’à tenter de mettre le feu à l’immeuble où il habitait et c’est pour cette raison qu’il s’est retrouvé soigné dans un hôpital psychiatrique. Le temps a passé, il est désormais libre et va chercher à retrouver sa vie d’avant et pour ça il tente de convaincre Anna que tout va bien se passer pour eux. Son obsession va une nouvelle fois le conduire à être interné puisqu’il n’a rien trouvé de mieux que d’escalader la façade de son immeuble pour faire une surprise à son ex-femme. Le voilà encore enfermé mais tout espoir n’est pas perdu !

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    A quelques semaines d’intervalle de la sortie d’Happiness Therapy, débarque Ouf qui partage avec la comédie américaine quelques points communs. Les 2 films partent avec une base scénaristique identique mais ici on est bien moins gâté même si le tandem Sophie Quinton / Eric Elmosnino est assez séduisant. Ce qui est moins brillant c’est ce qui les entoure, une histoire inexistante et qui va trouver son apothéose dans ce champ de patates. Bien que le personnage de François parvient à nous faire décrocher tout au plus 2-3 sourires et qu’on a plaisir à voir Valeria Golino ou Luis Rego, on ne tarde pas à regretter que ce film manque paradoxalement d’une véritable folie.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vomir sur les pigeons !