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julianne moore

  • Free love

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    Notre pote Laurel (Julianne Moore) fait partie des forces de police du Comté d’Ocean, son dévouement pour l’uniforme est reconnu par tous ses collègues à commencer par Dane (Michael Shannon). Souvent, elle se plonge à corps perdu dans son travail mais ne néglige pas pour autant sa vie sentimentale où elle a toutefois du mal à s'épanouir. Homosexuelle, Laurel craint la réaction de son entourage mais elle ne pourra plus le cacher. Quelques temps après sa rencontre avec Stacie (Ellen Page), on a diagnostiqué à cette policière un cancer et ses chances de survie sont malheureusement très minces. Au cas où un malheur arriverait, elle souhaiterait donc qu’une pension soit versée à Stacie ce qui va poser problème et marquer le début d'un long combat.

     

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    Inspiré de l’histoire vraie vécue par Laurel Hester, Free love nous donne l’occasion de découvrir le combat acharné que cette policière aura livré avec le soutien indéfectible de sa compagne Stacie Andree pour faire valoir ses droits. Une lutte qui aura grandement contribué à défendre la cause homosexuelle en participant notamment, quelques années plus tard, à l’instauration du mariage gay dans l’Etat du New Jersey. Fort de ce sujet, le réalisateur Peter Sollett déroule ensuite une histoire qui suit un schéma on ne peut plus classique laissant la part belle aux interprètes. Julianne Moore se montre une nouvelle fois bouleversante formant avec Ellen Page un excellent duo. Un film qui constitue avant tout un hommage mérité à une femme qui se sera montré aussi courageuse qu’admirable.

     

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de changer les roues de la voiture, elle ira plus vite que vous !

  • Hunger Games - La révolte Partie 2

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    Si Katniss Everdeen (Jennifer Lawrence) est heureuse d’avoir de nouveau à ses cotés son pote d’enfance Peeta Mellark (Josh Hutcherson), celui-ci n’est plus vraiment le même. Plus que jamais, elle est déterminée à se rendre au Capitole afin d’éliminer une fois pour toutes l’homme responsable de tous ses maux : le Président Snow (Donald Sutherland) ! De leurs cotés, Alma Coin & Plutarch Heavensbee (Julianne Moore & Philip Seymour Hoffman) entendent surtout préserver le Geai moqueur, symbole de la révolte mais ils ne pourront pas retenir longtemps Katniss qui va d’abord se rendre dans le District 2.

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    C’est la lutte finale pour l’héroïne désormais culte des romans de Suzanne Collins et ce Hunger Games - La révolte Partie 2 cristallise les éternels défauts de la saga. Ça jacasse pendant plus d'une heure - au moins on connaît les couleurs préférées de Katniss & Peeta - avant qu’une scène d’action potable vienne poindre le bout de son nez. Et puis il faut en profiter parce que la suite n’est pas beaucoup plus intense nous laissant avec l’impression d’une conclusion en demi-teinte. Si la fin réserve tout de même un moment d’émotions pour les fans ; les autres risque surtout de fustiger un manque évident de panache et on se dit qu'il y a eu beaucoup de bruit pour rien.

     


    Il faut le voir pour : Arrêter de crier contre votre chat, il ne vous a rien fait !

  • Le septième fils

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    Notre pote Tom Ward (Ben Barnes) est quelqu’un de spécial car il est le 7ème fils d’un 7ème fils. D’ailleurs, des pouvoirs se sont manifestés en lui sous la forme de visions ainsi lorsqu’il a vu arriver Maitre Gregory (Jeff Bridges), il savait qu’il devrait le suivre en devenant son apprenti. Cet homme est en fait un épouvanteur c’est-à-dire qu’il combat les créatures de l’ombre et un grand danger menace notre monde. Mère Malkin (Julianne Moore) s’est libérée et sa première victime fut l’ancien apprenti de Gregory ; elle s’apprête maintenant à faire déferler les ténèbres et cela se fera lorsque la lune de sang sera pleine.

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    C’est une nouvelle œuvre d’Heroic-Fantasy qui débarque sur nos écrans avec cette adaptation des livres de Joseph Delaney. Au programme, un jeune homme possédant un grand potentiel, un monde en danger et au milieu de tout ça de la magie, des sorcières, des ogres et j’en passe. Si Le septième fils peut compter sur des scènes d’action plutôt agréables sans pour autant être époustouflantes, la galerie de personnages ne possède pas beaucoup de charme. On croirait notre pote Jeff Bridges débarqué du film R.I.P.D. Brigade fantôme, Ben Barnes n’est pas loin d’être transparent et les méchants de service sont anecdotiques. Un film qui au final ne dispose que de peu d’intérêt et donc on s’en passera volontiers.

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions après votre 6ème enfant !

  • Hunger Games - La révolte : Partie 1

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    Si la Présidente du District 13 Alma Coin (Julianne Moore) et Plutarch Heavensbee (Philip Seymour Hoffman) sont venus à la rescousse de notre pote Katniss Everdeen (Jennifer Lawrence) c’est parce qu’ils ont une idée derrière la tête. Elle sera leur geai moqueur et conduira la révolte contre le Capitole mais la jeune femme ne semble pas aussi convaincue. Cependant après avoir découvert les ruines fumantes de son District et appris que Peeta (Josh Hutcherson) est encore vivant, elle accepte finalement ce rôle. L’une des conditions est toutefois de tout faire pour libérer les vainqueurs qui sont actuellement retenus prisonniers au Capitole.

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    L’heure de la conclusion est arrivée, enfin pas tout à fait puisque cet épisode final se déclinera en dyptique. On est à peu près sur la même lancée que le 2nd épisode ; beaucoup de parlottes et très peu d’action. Katniss décochera 1 flèche pour abattre des avions et on verra un barrage explosé ; c’est de cela qu’il faudra se contenter. Pour combler le reste du temps, l’héroïne joue les indécises et alterne avec un comportement de guerrière et de pleurnicheuse à chaque apparition de Peeta. Hunger Games - La révolte : Partie 1 pourrait aussi bien avoir comme sous-titre Les préparatifs de la révolte et il ne reste plus qu’à espérer qu’ils ont mis le paquet sur l’ultime volet.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier votre chat en cas d’évacuation !

     

    En savoir plus sur Hunger Games ?

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  • Maps to the stars

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    Après un séjour en Floride, notre pote Agatha (Mia Wasikowska) vient de débarquer à Hollywood et ce n’est pas vraiment pour partir à la chasse aux autographes ! Pourtant grâce à la relation qu’elle a tissée avec Carrie Fisher, la jeune femme va devenir l’assistante personnelle de l’actrice Havana Segrand (Julianne Moore). Cette dernière veut par tous les moyens décrocher un rôle important dans le prochain film Stolen waters. Il s’agit en fait d’un remake et la particularité c’est que Clarice Taggart (Sarah Gadon), la mère d’Havana tenait le premier rôle de l’œuvre originale il y a 30 ans. Ce serait un coup du destin magnifique d’autant que les relations entre cette mère et cette fille ont été pour le moins tumultueuses.

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    Hollywood ce n’est pas que le strass et les paillettes, non ici c’est plutôt cures de désintoxications associées à des relations familiales plus qu’ambigües avec une bonne dose de cynisme. Si Juliane Moore se montre savoureuse en actrice névrosée et sans scrupules, on est aussi séduit par le jeune Evan Bird qui fait preuve d’une maturité étonnante. Malheureusement, au-delà de ces performances Maps to the stars n’a rien de très attractif puisqu’on tombe rapidement dans une espèce de léthargie dont on ne sortira jamais. Une fois encore David Cronenberg nous déstabilise mais dans le cas présent ce n’est pas vraiment de manière positive.

     

    Il faut le voir pour : Créer un compte Twitter si vous voulez devenir pote d’enfance avec des stars.

  • Non-stop

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    Embarqué pour un nouveau vol à destination de Londres, notre pote William Marks (Lliam Neeson) est loin de s’imaginer du calvaire qui l’attend. Ce Marshall des airs vient en effet de recevoir un message plus qu’inquiétant : dans 20 minutes il y aura un mort si 150 millions de dollars ne sont pas virés sur un compte. Il prend cette menace très au sérieux et prévient immédiatement un de ses collègues qui se trouve sur le même vol ainsi que le Commandant de l’avion. Alors que les minutes s’écoulent à grande vitesse, William mène son enquête avec l’aide de Nancy (Michelle Dockery), une hôtesse ainsi que de Jen (Julianne Moore), une passagère qu’il vient de rencontrer.

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    Nouveau film d’action pour notre pote Liam Neeson, enfin pas si sur … Difficile de ne pas se montrer perplexe devant le scénario de Non-stop ; un avion et un mort toutes les 20 minutes avec bien sur un homme qui va s’imposer comme le héros de l’histoire on se dit alors où est Steven Seagal ? Seulement ce film signé de l’espagnol Jaume Collet-Serra mise davantage sur le thriller pendant plus d’une heure, période durant laquelle les suspects défilent alimentant ainsi le suspense. Ça aurait pu être passionnant sauf que les personnages sont trop caricaturés et puis surtout on a droit à une conclusion bien ridicule. Tout ça se laisse regarder même si cela ne vole malheureusement pas bien haut.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les passagers qui envoient des sms !

  • Don Jon

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    La vie de Jon Martello (Joseph Gordon-Levitt) tourne autour de son corps, son appart, sa voiture, sa famille, son église, ses potes d’enfance, ses baises et surtout son porno ! Ce jeune homme a beau aligné les conquêtes, il ne retrouve pas dans les rapports sexuels le plaisir qu’il peut avoir devant son ordinateur. Sa rencontre avec la belle Barbara Sugarman (Scarlett Johansson) pourrait peut-être combler ses attentes. Avant d’avoir une réponse à cela, il devra faire preuve de patience car la jeune femme va le faire languir avant leur première nuit ensemble. Il semblerait bien que le fameux "Don Jon" soit bien amoureux cette fois et qu’il va finir par oublier son porno … enfin pas tout à fait.

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    Préparez vos mouchoirs mais ce ne sera pas pour pleurer ! Première réalisation pour notre cher Joseph Gordon-Levitt qui s’empare d’un sujet qui reste tabou : la relation des hommes avec la pornographie. Il faut reconnaitre qu’il a parfaitement cerné cette démocratisation du sexe via Internet et surtout le semblant d’éducation sexuelle que beaucoup pense retirer de ces vidéos. Pour le reste, Don Jon est assez insignifiant à commencer par les potes d’enfance caricaturés et misogynes au possible ainsi que bon nombre d’autres personnages et un humour peu jouissif effaçant une mise en scène dynamique seulement par intermittence.

     

    Il faut le voir pour : Toujours effacer votre historique Internet !

  • Carrie, la vengeance

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    Déjà que notre pote Carrie White (Chloë Grace Moretz) n’est pas une fille très populaire, elle est désormais la risée de tout le lycée. La faute à une vidéo que Chris (Portia Doubleday) a pris un malin plaisir à diffuser sur Internet et qui n’a franchement aucun remord à humilier sa camarade. Carrie vient en effet d’avoir ses règles et se souviendra de ce jour puisqu’en devenant une femme, elle se découvre également des pouvoirs télékinésiques. Un moment que redoutait sa mère Margaret (Julianne Moore) convaincue d’avoir enfanté la fille du diable et ça ne fait que commencer ! Pendant ce temps, Sue (Gabriella Wilde) culpabilise après ce qu’elle a fait et cherche à se faire pardonner auprès de Carrie en lui offrant une soirée inoubliable au bal de promo.

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    Sorti en 1976, le film de Brian De Palma a pris un peu la poussière c’est pourquoi le roman de Stephen King a droit à une seconde jeunesse avec ce reboot. A priori, à l’évocation d’un tel projet, la première réaction serait de fuir à toutes jambes mais quand on sait que Julianne Moore partie et la réalisatrice Kimberly Peirce (Boys don’t cry) sont de la partie, ça a quand même de quoi éveiller la curiosité. Un espoir de courte durée car déjà l’histoire ne fonctionne plus vraiment vu qu’on en a soupé des films avec des lycées américains et leurs traditionnels bals de promo (sans oublier l’équipe de lacrosse ! ). D’autre part, Chloë Grace Moretz n’arrive pas à convaincre avec parfois quelques scènes où elle surjoue. Carrie, la vengeance est, malgré sa mise à jour, tout simplement dépassé .

     

    Il faut le voir pour : Transformer votre placard en salle des prières !

  • Monsieur Flynn

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    Depuis son enfance, notre pote Nick Flynn (Paul Dano) ambitionne de devenir un jour écrivain, une vocation qui résulte des nombreuses lettres envoyées par un père absent. Durant 18 ans, Jonathan (Robert De Niro) n’a pas pris de nouvelles de son fils et puis un jour il décide de l’appeler pas vraiment pour reprendre contact mais plutôt pour lui demander un service. Suite à une légère altercation avec le voisinage, Jonathan est expulsé de son appartement et fait ainsi appel à Nick pour qu’il l’aide à déménager ses affaires. Leurs retrouvailles n’iront pas plus loin et il faudra attendre plusieurs mois avant qu’ils ne se croisent de nouveau dans des conditions particulières. Nick travaille désormais dans un centre d’aide aux sans-abris et se retrouve sans voix lorsque son père se présente devant lui.

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    Inspirée de la véritable expérience de Nick Flynn qu’il a retranscrit dans son livre Another bullshit night in suck city, ce film de Paul Weitz revient sur une relation père / fils pour le moins unique et tumultueuse. Robert De Niro incarne avec conviction un père absent et fantasmé par son fils en un talentueux écrivain avant que la réalité ne laisse finalement place à un chauffeur de taxi raciste et homophobe. Face à lui, Paul Dano malgré une prestation plus qu’honorable a un peu de mal à donner le change et imposer sa présence. On retiendra donc surtout de Monsieur Flynn le jeu de De Niro qui nous réconcilie un peu avec l’acteur qui s’était un peu égaré après les récents Happy new year ou L’amour a ses raisons.

     

    Il faut le voir pour : Penser à vos voisins et faire moins de bruits sinon vous allez avoir de la visite !

  • Crazy, stupid, love

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    La soirée s’achevait et le diner s’était plutôt bien déroulé jusque-là mais en guise de dessert Cal (Steve Carell) vient d’apprendre que sa femme Emily (Julianne Moore) demande le divorce après 25 ans de mariage. Ce n’est pas tout puisqu’elle lui révèle également qu’elle l’a trompé avec David Lindhagen (Kevin Bacon), un collègue de bureau. Cal redevient donc bien malgré lui célibataire et noie ses soirées dans un bar où il ressasse ses désillusions à qui veut bien l’entendre et justement cela arrive aux oreilles de Jacob (Ryan Gosling) qui va le prendre en main. Celui-ci est le tombeur de la boite, (presque) aucune femme ne lui résiste et il va révéler tous ses secrets à son nouveau pote d’enfance. Première mission : changer complètement sa garde-robe et en un instant Cal va devenir le nouveau playboy du coin.

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    Quand Julianne Moore fait sa crise de la quarantaine, c’est notre pote Steve Carell qui en fait les frais et ça donne une comédie bien sympathique. Il ne faut pas être trop regardant sur le scénario qui reste très basique mais on s’attache rapidement aux personnages de Crazy, stupid, love et même le beau gosse Ryan Gosling parvient à se rendre charmant avec ses abdominaux en béton qui en énerveront plus d’un. Les seconds rôles (Jessica & Robbie) ont également une place importante dans le film et apportent un peu plus de fantaisie ainsi qu’une pointe de fraîcheur à l’histoire. Ça n’a rien de la comédie incontournable mais c’est en tout cas un film agréable qui vous fera sans aucun doute passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Répéter la chorégraphie de Dirty Dancing.