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  • Paddington

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    Il y a longtemps de cela, un explorateur anglais s’était rendu au Pérou où il a fait une incroyable découverte. Il a en effet fait la connaissance d’un couple d’ours extraordinaires avec lesquels il s’est lié d’amitié et les a baptisé Lucy & Pastouso. Des années plus tard, un petit ours débarque à son tour en Angleterre et va être recueilli par la famille Watson. On décide de lui donner le nom de Paddington et il est à la recherche de cet explorateur mais la seule chose qui le relie à lui est ce chapeau rouge qu’il ne quitte jamais. Ça ne sera pas chose facile d’autant plus qu’Henry Brown (Hugh Bonneville) aimerait se débarrasser au plus vite de cet ours gaffeur !

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    A ne surtout pas confondre avec Ted, Paddington c’est un ourson si mignon mais aussi tellement maladroit ! Héros crée par l’auteur britannique Michael Bond en 1958, les jeunes spectateurs vont découvrir et probablement vite s’attacher à ce personnage au son look si particulier. Avec tout ça, il faudra se montrer conciliant vis -à-vis d’un scénario qui n’a pas inventé l’eau chaude mais qui évite tout de même de trop tomber dans la niaiserie. Même s’il s’adresse essentiellement à un jeune public, le plaisir est au rendez-vous à condition de se laisser un peu retomber en enfance. 

     

    Il faut le voir pour : Découvrir ce que les Welsh Guards de la reine cachent sous leurs bonnets !

  • Un week-end à Paris

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    Il fallait marquer le coup pour leur 30ème anniversaire de mariage et c’est ainsi que nos potes Meg & Nick Burrows (Lindsay Duncan & Jim Broadbent) ont programmé un joli week-end à Paris. Quoi de mieux que la ville la plus romantique au monde pour cet évènement mais à leur arrivée, tout ne se passe pas comme prévu. Il y a d’abord eu  un hôtel miteux où on a voulu leur donner une chambre aux couleurs beiges ce qui a fait sortir Meg de ses gonds. Après une visite de la ville en taxi, ils finissent par trouver refuge dans un luxueux hôtel, ce qui ne semble pas rassurer Nick qui surveille attentivement leurs finances.

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    En réunissant Lindsay Duncan & Jim Broadbent pour Un week-end à Paris, on s’attendait à voir le couple roucouler devant la Tour Eiffel mais c’est un couple fragile qui se présente à l’écran. Unis par l’amour, les nombreuses années partagées ensemble semblent avoir également fait place à des questionnements voire des doutes sur leur vie commune. D’accord les 2 comédiens sont sympathiques et donneraient presque envie de se lancer dans une escapade dans la capitale française mais le film finit par devenir totalement monotone pour ne pas dire ennuyeux. La cerise sur le gâteau étant ce diner avec un Jeff Goldblum parfait dans le rôle de maitre de cérémonie irritant.

     

    Il faut le voir pour : Demander la couleur de la chambre avant de réserver votre hôtel !

  • Cloud atlas

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    2144, Sonmi-351 (Doona Bae) n’est qu’un simple clone mais son avènement en tant que déesse est proche. 1936, Robert Frobisher (Ben Whishaw) a la chance de pouvoir travailler avec le célèbre compositeur Vyvyan Ayrs (Jim Broadbent) et ils vont créer une mélodie qui traversera le temps. 2012, les mésaventures de Timothy Cavendish (Jim Broadbent) vont le conduire jusque dans une maison de retraite dont il cherchera à s’échapper par tous les moyens. 1849, c’est en traversant le Pacifique que notre pote Adam Ewing (Jim Sturgess) va ouvrir les yeux sur la question de l’esclavagisme. 2321, Zachry (Tom Hanks), indigène sur une ile menacée par des barbares est sur le point de faire une rencontre décisive. 1973, l’enquête de la journaliste Luisa Rey (Halle Berry) concernant une centrale nucléaire dérange et elle met ainsi sa vie en danger.

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    C’est déjà un véritable défi que d’essayer de vous résumer ce long-métrage d’Andy & Lana Wachowski et de Tom Tykwer car il s’agit d’un gigantesque film choral se décomposant en 6 histoires. On saute ainsi d’une intrigue à l’autre plongeant le spectateur aussi bien dans le drame, la comédie, le thriller que dans la science-fiction. L’adaptation du roman de David Mitchell trainait depuis quelques années mais sa complexité réfrénait nombre de producteurs. Ambitieux, Cloud atlas l’est assurément mais dans le même temps à vouloir trop en faire ça donne de curieux résultats comme certains personnages au look improbable (la palme allant à Hugo Weaving en infirmière). Si on s’amusera des déboires de Jim Broadbent et qu’on s’émerveillera devant la magnifique Néo Séoul, le reste est bien moins excitant. Une expérience qui nous laisse plutôt sur notre faim.

     

    Il faut le voir pour : Vous attendre à vivre beaucoup d’autres vies !

  • Bridget Jones : L’âge de raison

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    Elle n’y croyait plus et pourtant c’est bien réel ; notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger) a un petit-ami ! Elle ne peut s’empêcher de regarder Mark (Colin Firth) dormir et puis vous saviez qu’il était avocat ? Le couple semblait donc filer le parfait amour mais c’est souvent quand tout est trop beau qu’une ombre au tableau apparait. Bridget garde un œil très attentif sur Rebecca (Jacinda Barrett), la secrétaire de Mark qu’elle trouve beaucoup trop proche et il n’en faut pas plus pour la rendre jalouse. Leur relation pourra-t-elle surmonter cette épreuve tout en sachant que le Dom Juan Daniel Cleaver (Hugh Grant) n’est pas bien loin et qu’il n’hésiterait pas à profiter de la situation.

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    Il aurait été dommage qu’on ne profite pas à fond du succès de Bridget Jones ; on rempile donc pour les nouvelles mésaventures de celle qui fut la plus célèbre des célibataires. Zellweger, Firth & Grant sont toujours présents et si auparavant la belle blonde se posait des questions sur son célibat, c’est désormais sa vie de couple qui la tracasse. Pas certain que le sujet passionne davantage la gente masculine. Si les fans les plus assidus pourront se satisfaire de la revoir, il faut quand même avouer que ce Bridget Jones : L’âge de raison est bien poussif ; l’illustration parfaite étant cette séquence de la prison thaïlandaise. On dit qu’une suite déçoit souvent et là on ne pourra pas dire le contraire !

     

    En savoir plus sur Le journal de Bridget Jones ?

  • Le journal de Bridget Jones

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    La trentaine passée, quelques kilos en trop et toujours célibataire ; elle n’est pas loin de la dépression notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger). Comme si ça ne suffisait pas, sa mère tente bien maladroitement de la caser avec Mark Darcy (Colin Firth), avocat fraichement divorcé. Entre les deux, le coup de foudre a plutôt des allures de coup de froid et la jeune femme trouvera son bonheur dans les bras de Daniel Cleaver (Hugh Grant), son boss. Si Bridget semble s’épanouir sentimentalement parlant, on ne peut pas dire que son nouveau compagnon soit un modèle de vertu et elle va l’apprendre de façon plutôt brutale. Et si finalement Mark n’était pas le goujat qu’elle croyait ?

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    Grand succès littéraire, on doit Le journal de Bridget Jones à l’auteure Helen Fielding et les fans du roman attendaient de pied ferme cette adaptation sur le grand écran. Evidemment, tout le monde ne sera pas d’accord mais un spectateur lambda qui n’a jamais lu le bouquin (disons par exemple moi !) trouvera que Renée Zellweger s’en tire avec les honneurs en incarnant cette "héroïne" des temps modernes. Entourée du gendre idéal Colin Firth et du playboy Hugh Grant, ce trio sympathique fait mieux passer la pilule d’un scénario sans génie. Destiné avant tout à un public féminin, les mecs pourront toujours apprendre quelques trucs sur la gente féminine comme la fonctionnalité de la culotte de grand-mère.

  • La dame de fer

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    Elle est née Margaret Roberts (Alexandra Roach / Meryl Streep) mais c’est sous le nom de Margaret Thatcher que le monde entier va apprendre à la connaitre. Fille d’épicier, ses convictions politiques ont très vite été forgées par les discours du Parti Conservateur et la volonté d’aider son pays va la conduire inexorablement sur le devant de la scène. Les débuts sont difficiles car si ses idées sont respectées, le seul fait qu’elle soit une femme apparait comme un frein pour sa carrière et ce n’est qu’avec le soutien de son mari Denis (Harry Lloyd / Jim Broadbent) qu’elle va révolutionner le paysage politique. En 1979, elle est élue Premier Ministre d’Angleterre, elle devient ainsi la première femme à occuper ces fonctions ce qui lui vaudra aussi bien louanges que critiques acerbes.

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    C’est le rôle d’une grande carrière, celui qui aura valu à Meryl Streep de rafler l’Oscar de la meilleure actrice en 2012. Surnommée La dame de fer, le passage de Margaret Thatcher à la tête du gouvernement anglais entre 1979 & 1990 aura laissé des traces. On aurait d’ailleurs mieux apprécié que ce biopic s’attarde davantage sur cette période charnière que de nous infliger ce va et vient perpétuel avec une femme victime des maux de la vieillesse. Que ce soit la Guerre des Malouines, le mouvement de grève des mineurs britanniques ou l’attentat du Grand Hôtel de Brighton ; ces évènements cruciaux sont à peine survolé. C’est donc un portrait en demi-teinte qui s’offre à nous, la superbe prestation de l’actrice réussit à peine à masquer un film qui sonne creux.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller de près le prix du lait !

  • Mission : Noël Les aventures de la famille Noël

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    Comme tous les enfants, notre pote Gwen a préparé sa lettre au Père Noël et a demandé à recevoir en cadeau une jolie bicyclette rose. Sa demande a bien sur été entendue et le soir du 24 Décembre, ce sont plus de 2 milliards de parquets qui sont à distribuer du moins c’est ce qui était prévu. Au Pôle-Nord, un des lutins s’est en effet rendu compte que ce cadeau s’était égaré et qu’il y a donc un enfant dans le monde qui n’a pas eu son paquet ce qui est inconcevable ! Le système de distribution mis au point par Steve, le fils du Père Noël était pourtant  censé être infaillible et malgré tout ils ne semblent pas vouloir réparer leur erreur. C’est donc Arthur, l’autre fils du Père Noël et son grand-père qui vont s’en charger avec le traîneau traditionnel.

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    Aussi inévitable que le blockbuster de l’été aux Etats-Unis, le petit film d’animation à l’approche des fêtes de Noël est lui aussi devenu une tradition. Les résultats sont souvent peu fameux puisqu’on a tendance à se contenter de mettre en situation ce cher Papa Noël, ses lutins et quelques rennes pour faire plaisir aux enfants. Mission : Noël Les aventures de la famille Noël ne dérogera pas à cette règle ; graphismes et animation sont de bonnes factures (avec un Arthur qu’on pourrait presque confondre avec Linguini de Ratatouille) mais le déroulement de l’histoire est plat. Pas beaucoup de rires non plus ce qui fait qu’au final la magie de Noël n’aura ici d’effets que sur les enfants.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de rédiger votre lettre au Père Noël !

  • Another year

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    Tom & Gerry (Jim Broadbent & Ruth Sheen) forment un couple heureux ; ils font même figure d’exemple à suivre pour la plupart de leurs potes d’enfance. Il y a tout d’abord Mary (Lesley Manville), collègue de Gerry et victime de déceptions amoureuses mais qui tente toujours de faire bonne figure. D’ailleurs, elle aime passer du temps avec Joe (Oliver Maltman), le fils de Gerry qui ne la laisse pas complètement indifférente. Tom a également un ami en pleine détresse, Ken (Peter Wight) lui aussi vit mal sa solitude et essaie d’oublier ses tracas dans l’alcool. Un an va se dérouler et autour de Tom & Gerry, la situation de leurs potes d’enfance ne va pas particulièrement s’améliorer.

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    Mettons les choses au point tout de suite, il ne se passe rien d’excitant dans le film de Mike Leigh ; c’est la description chapitrée en saison d’une tranche de vie. Ruth Sheen & Jim Broadbent (Tom & Gerry, quelle belle idée !) sont le cœur d’Another year et l’histoire s’enrichit ensuite du vécu des personnages qui gravitent autour. Parmi eux, impossible de manquer la prestation de Lesley Manville tantôt extravagante tantôt dévastée par sa solitude et qui conclut le film avec une grande émotion. Il y a une profonde humanité qui ressort de ce film, Mike Leigh a trouvé le ton juste pour nous toucher à travers ces portraits ! Du bon cinéma à savourer sans modération.

     

    Il faut le voir pour : Cultiver votre jardin.

  • Victoria, les jeunes années d’une reine

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    Naitre au sein d ‘une famille royale, beaucoup en rêvent mais la réalité n’est pas forcément le conte de fée que l’on s’imagine ! Victoria (Emily Blunt) a grandi en bénéficiant du prestige que lui accordait sa lignée mais ces somptueux châteaux ont vite constitué une barrière à son épanouissement. Entouré de sa mère la Duchesse de Kent (Miranda Richardson) et leur conseiller John Conroy (Mark Strong), Victoria a vécu sous des ordres strictes et alors qu’on attendait d’elle qu’elle accorde la régence à sa mère pour prendre la succession de son oncle, le roi Guillaume (Jim Broadbent) ; elle crée la surprise en montant sur le trone à seulement 18 ans !

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    L’histoire retiendra de Victoria qu’elle fut le monarque qui a eu le plus long règne au Royaume-Uni et ce malgré les tentatives de manipulations auxquelles elle a du faire face. Loin de lui rendre un bel hommage, le film de Jean-Marc Vallée (C.R.A.Z.Y.) risque lui de passe beaucoup plus inaperçu car il ne suffit pas de jolis costumes d’époque et de somptueux décors pour faire un biopic historique digne de ce nom. Victoria, les jeunes années d’une reine est d’un ennui royal en partie à cause d’un scénario sans reliefs ; les conspirations à l’encontre de la reine sont légers et la romance avec le Prince Albert est sans magie.

     

    Il faut le voir pour : Exiger qu’on vous tienne la main pour descendre ou monter les escaliers.