Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ben whishaw

  • Le retour de Mary Poppins

    star 03.jpg

    AFF1 (3).jpg

    Il s’en est passé du temps mais la maison qui se trouve au 17, allée des Cerisiers est toujours la propriété des Banks... peut-être plus pour très longtemps. En effet, notre pote Michael (Ben Whishaw) doit faire face à d’importantes dettes qu’il a bien du mal à rembourser malgré le soutien indéfectible de sa sœur Jane (Emily Mortimer). Le temps lui est compté d’autant plus que la banque désormais dirigée par William Weatherall Wilkins (Colin Firth) ne va pas lui faire de cadeaux. C’est ce moment précis que la famille voir revenir une vieille connaissance ; l’ancienne nounou Mary Poppins (Emily Blunt). Annabel, John & Georgie (Pixie Davis, Nathanael Saleh & Joel Dawnson), les enfants de Michael, vont découvrir un sacré personnage et vivre d’incroyables aventures !

    01.jpg

    C’est en 1964 que Mary Poppins est apparu au cinéma dans un film devenu depuis le temps un classique qui a émerveillé tous les enfants. Plus d’un demi-siècle plus tard, la nounou reprend donc du service avec bien sur un nouveau casting même si les nostalgiques pourront revoir avec plaisir certains visages bien familiers. Si le film de notre pote Rob Marshall n’est pas un remake, on pourrait le croire tant il est semblable à l’original au niveau de sa construction. Évidemment, il ne fallait pas que cela se voit trop ; on a donc remplacé le ramoneur par un allumeur de réverbères ou encore le célèbre Supercalifragilisticexpialidocious par le Luminomagifantastique et le tour est joué ! Si on peut lui reprocher l’absence totale de prises de risques, Le retour de Mary Poppins n’en reste pas moins une agréable comédie musicale bien que certains considèreront que Julie Andrews est irremplaçable.




    Il faut le voir pour : Oublier la douche et installer une baignoire dans votre salle de bain !

  • The danish girl

    star 02.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    C'est l'amour qui a réuni Gerda & Einar Wegener (Alicia Vikander & Eddie Redmayne) mais ce couple partage aussi une passion commune pour la peinture. Alors que notre pote Einar a construit sa renommée avec ses splendides représentations de paysages, sa femme préfère elle travailler les portraits. Pour la jeune femme, le succès n'est pas encore au rendez-vous car Gerda n'a pas encore trouver sa muse et c'est une certaine Lili qui va lui donner l'inspiration. Ce modèle est présentée à tous comme étant la cousine d'Einar mais derrière ce travestissement se cache en réalité le peintre lui-même. Lilli fait ressortir sa féminité et il se rend compte qu'il s'agit là de va véritable personnalité.

    01.jpg
    Le réalisateur Tom Hooper associé à l'Oscarisé Eddie Redmayne, ce biopic consacré au destin de Lili Elbe partait ainsi sous les meilleurs auspices. Après sa performance remarquée dans Une merveilleuse histoire du temps, l'acteur britannique se montre une fois de plus brillant et nous bluffe avec son physique androgyne. On saluera aussi à ses cotés la belle prestation d'Alicia Vikander formant ainsi un joli duo à l'écran. Le souci c'est que, hormis ces belles performances, l'histoire que dévoile The danish girl agit auprès du spectateur comme une anesthésie. Un film en demi-teinte ; les acteurs sont magnifiques mais se perdent dans une mise en scène sans passion.

     

    Il faut le voir pour : Consulter votre mec / mari avant de choisir votre prochaine nuisette !

  • Les Suffragettes

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Angleterre en 1912. Depuis l'age de 7 ans, notre pote Maud Watts (Carey Mulligan) travaille à la blanchisserie Glasshouse. Alors qu'elle était chargée d'assurer la livraison d'un paquet, elle s'est retrouvée sans le vouloir au milieu d'une action menée par les Suffragettes. Derrière ce nom sont en fait regroupées des femmes militant pour leurs droits sous l'impulsion de leur leader Emmeline Pankhurst (Meryl Streep). Parmi les Suffragettes se trouve Violet Miller (Anne-Marie Duff) qui est arrivée récemment à la blanchisserie et qui va finir par convaincre Maud de rejoindre leurs rangs mais cela ne se fera pas sans certains sacrifices.

    01.jpg

    Les Suffragettes revient ainsi sur une page importante de l'Histoire de l'Angleterre en nous dévoilant les circonstances qui ont mené à la proclamation de la loi autorisant le droit de vote aux femmes. Si le film de Sarah Gavron ne se distingue aucunement par sa mise en scène, on peut compter sur les présences conjuguées de Carey Mulligan & Helena Bonham Carter pour rendre ce récit captivant. On a quand même l'impression que le scénario a pris un malin plaisir à accentuer les malheurs de Maud pour susciter au mieux l'empathie du spectateur. Enfin, il est à noter un résumé particulièrement intéressant de l'évolution du Droit de vote des femmes dans le monde.

     

    Il faut le voir pour : Rappeler à votre femme pourquoi elle ne doit pas oublier d'aller voter !

  • 007 Spectre

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    L'espionnage britannique est en pleine réforme et cela pourrait bien mener à la disparition du programme 00 considéré par certains comme obsolète. Les récents exploits d'un certain James Bond (Daniel Craig) au Mexique ne vont pas arranger les choses cependant l'agent secret suivait en fait une piste que lui a confié une source de confiance. Cela va le conduire par la suite à Rome où une mystérieuse organisation s'est réunie et au cours des discussions est évoqué le sort d'un certain Roi pâle, une cible à éliminer. Une surprise attend également James qui va retrouver un visage bien familier ; Franz Oberhauser (Christoph Waltz) qui jusqu'à présent était déclaré mort aux yeux du monde entier.

    01.jpgLes diamants sont éternels et on dirait bien que le héros de Ian Fleming le soit tout autant ! Après Skyfall, notre pote Sam Mendes rempile donc à la réalisation et retrouve le toujours impeccable Daniel Craig. Comme tout James Bond qui se respecte on retrouve tout ce qui a contribué au succès de la saga et c'est bien ce qui nous embête un peu car on aurait apprécié quelque chose de plus surprenant. Bien entendu quand vient le temps de l'action, 007 Spectre fait le job (d'ailleurs ils auraient pu filer un peu plus de dialogues à Dave Bautista parce que là ça fait "cognes et tais-toi !"). Il serait peut-être injuste de dire qu'on nous sert du réchauffé mais les effluves sont là et apporter du sang neuf à la saga ne serait pas du luxe.

     

    Il faut le voir pour : Équiper votre voiture d'une sortie aérienne, ça peut être utile !

     

    En savoir plus sur Casino Royale ?

    En savoir plus sur Quantum of solace ?

    En savoir plus sur Skyfall ?

  • Paddington

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Il y a longtemps de cela, un explorateur anglais s’était rendu au Pérou où il a fait une incroyable découverte. Il a en effet fait la connaissance d’un couple d’ours extraordinaires avec lesquels il s’est lié d’amitié et les a baptisé Lucy & Pastouso. Des années plus tard, un petit ours débarque à son tour en Angleterre et va être recueilli par la famille Watson. On décide de lui donner le nom de Paddington et il est à la recherche de cet explorateur mais la seule chose qui le relie à lui est ce chapeau rouge qu’il ne quitte jamais. Ça ne sera pas chose facile d’autant plus qu’Henry Brown (Hugh Bonneville) aimerait se débarrasser au plus vite de cet ours gaffeur !

    01.jpg

    A ne surtout pas confondre avec Ted, Paddington c’est un ourson si mignon mais aussi tellement maladroit ! Héros crée par l’auteur britannique Michael Bond en 1958, les jeunes spectateurs vont découvrir et probablement vite s’attacher à ce personnage au son look si particulier. Avec tout ça, il faudra se montrer conciliant vis -à-vis d’un scénario qui n’a pas inventé l’eau chaude mais qui évite tout de même de trop tomber dans la niaiserie. Même s’il s’adresse essentiellement à un jeune public, le plaisir est au rendez-vous à condition de se laisser un peu retomber en enfance. 

     

    Il faut le voir pour : Découvrir ce que les Welsh Guards de la reine cachent sous leurs bonnets !

  • Cloud atlas

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    2144, Sonmi-351 (Doona Bae) n’est qu’un simple clone mais son avènement en tant que déesse est proche. 1936, Robert Frobisher (Ben Whishaw) a la chance de pouvoir travailler avec le célèbre compositeur Vyvyan Ayrs (Jim Broadbent) et ils vont créer une mélodie qui traversera le temps. 2012, les mésaventures de Timothy Cavendish (Jim Broadbent) vont le conduire jusque dans une maison de retraite dont il cherchera à s’échapper par tous les moyens. 1849, c’est en traversant le Pacifique que notre pote Adam Ewing (Jim Sturgess) va ouvrir les yeux sur la question de l’esclavagisme. 2321, Zachry (Tom Hanks), indigène sur une ile menacée par des barbares est sur le point de faire une rencontre décisive. 1973, l’enquête de la journaliste Luisa Rey (Halle Berry) concernant une centrale nucléaire dérange et elle met ainsi sa vie en danger.

    01.jpg

    C’est déjà un véritable défi que d’essayer de vous résumer ce long-métrage d’Andy & Lana Wachowski et de Tom Tykwer car il s’agit d’un gigantesque film choral se décomposant en 6 histoires. On saute ainsi d’une intrigue à l’autre plongeant le spectateur aussi bien dans le drame, la comédie, le thriller que dans la science-fiction. L’adaptation du roman de David Mitchell trainait depuis quelques années mais sa complexité réfrénait nombre de producteurs. Ambitieux, Cloud atlas l’est assurément mais dans le même temps à vouloir trop en faire ça donne de curieux résultats comme certains personnages au look improbable (la palme allant à Hugo Weaving en infirmière). Si on s’amusera des déboires de Jim Broadbent et qu’on s’émerveillera devant la magnifique Néo Séoul, le reste est bien moins excitant. Une expérience qui nous laisse plutôt sur notre faim.

     

    Il faut le voir pour : Vous attendre à vivre beaucoup d’autres vies !

  • Skyfall

    star 03.5.jpg

    2167860595.80.jpg

    Le MI6 est dans la tourmente ; une liste de tous les agents de l’OTAN en pleine mission d’infiltration a été dérobée. La position de M (Judi Dench) à la tête de l’organisation est plus que menacée mais elle entend bien remettre un peu d’ordre avant sa retraite forcée. Alors qu’on le croyait mort, James Bond (Daniel Craig) est de retour mais sa blessure et son absence ont laissé quelques traces sur ses aptitudes. M compte toutefois sur lui pour se rendre à Shanghai et retrouver l’homme qui a volé la liste et surtout celui qui l’a acheté. Ce dernier n’a pas tardé à utiliser ces précieuses informations et commence à s’amuser avec le MI6 en exécutant quelques agents à travers le monde.

    01.jpg

    On peut dire que Quantum of solace avait été une profonde déception qu’on va vite tenter d’oublier avec cette 3ème aventure de Daniel Craig dans le smoking de 007. Après un somptueux générique, on se dit alors qu’on va retrouver le James Bond de nos lointains souvenirs mais ce n’est pas le cas puisque Skyfall reste dans la lignée de Casino Royale. L’action est encore et toujours rendez-vous jusqu’à cette conclusion assez sauvage où l’agent secret préfère s’amuser avec son arsenal d’armes à feu aux dépens de gadgets. En revanche, quelle belle surprise que ce personnage de Raoul Silva incarné à merveille par Javier Bardem mais qui est clairement sous-exploité. Un bon film d’action certes mais difficile encore de le considérer comme une véritable aventure de James Bond.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à rester classe après avoir fracassé un train !


    En savoir plus sur Casino Royale ?


    En savoir plus sur Quantum of solace ?