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manuel pradal

  • Benoit Brisefer : Les taxis rouges

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    Il fait bon vivre à Villejoie la grande, Jules Dussiflard (Gérard Jugnot) prend toujours plaisir à parcourir les rues à bord de son taxi rouge mais les choses vont changer ! Une nouvelle société de taxis dirigée par M. Poilonez (Jean Reno) s’est installée et entend rapidement s’imposer que cela plaise ou non à M. Dussiflard. Ce dernier a d’ailleurs surpris une conversation confidentielle ce qui lui vaut d’être fait prisonnier et c’est là qu’entre en jeu notre pote Benoit Brisefer (Léopold Huet). Ce petit garçon de 10 ans semble tout à fait normal en apparence mais il cache en réalité une incroyable force, des supers pouvoirs qui cependant disparaissent lorsqu’il est enrhumé.

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    Si tout le monde connait parfaitement les Schtroumpfs, c’est moins le cas de Benoit Brisefer autre héros crée par l’artiste Peyo. Le réalisateur Manuel Pradal s’est donc vu confier l’adaptation de la Bande dessinée et il est plutôt difficile d’y déceler les points positifs. L’humour est extrêmement potache, les quelques pouvoirs détenus par le jeune Léopold Huet se résume à de grands sauts ou une super force  loin d’être mis en valeur par des effets spéciaux d’une autre époque. Dépassé l’âge de 7 ans, impossible de ne pas ressentir cette irrépressible envie de vite voir arriver le générique de fin. Bon courage aux parents qui devront subir ce Benoit Brisefer : Les taxis rouges !

     

    Il faut le voir pour : Soigner rapidement votre rhume !

  • La blonde aux seins nus

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    Alors que leur père se meurt à l'hôpital, Julien (Nicolas Duvauchelle) et son petit frère Louis (Steve Le Roi) se débrouillent comme ils peuvent pour survivre. Le seul lot de consolation c'est cette péniche sur laquelle ils vivent et dont ils aimeraient bien hériter si leur père daigne la leur léguer. Pour pallier à leur problème d'argent, Julien est sur un coup énorme ; il doit pour cela voler une peinture de Manet pour ensuite la revendre. C'est Louis qui va être chargé de récupérer l'œuvre d'art mais leur plan connait un accroc imprévu ; Rosalie (Vahina Giocante) surveillante au Musée d'Orsay surprend le jeune homme et le poursuit jusqu'à la péniche.

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    Avec un titre aussi évocateur, on se dit que ce film va vite conquérir le public masculin mais La blonde aux seins nus est surtout le nom donné à l'œuvre d'Edouard Manet (c'était la minute culturelle du blog !). On connaissait le principe du road trip et voilà que le réalisateur Manuel Pradal nous embarque sur une péniche remontant la Seine en compagnie de Duvauchelle, Giocante et le pétillant Steve Le Roi. L'intrigue posée au départ devient rapidement secondaire et laisse place à un triangle amoureux dans lequel la nonchalance de Giocante amuse mais sans nous séduire. Assez morne dans l'ensemble, le film ne laissera pas un souvenir impérissable.

     

    Il faut le voir pour : Aller vivre sur une péniche !