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  • Le septième fils

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    Notre pote Tom Ward (Ben Barnes) est quelqu’un de spécial car il est le 7ème fils d’un 7ème fils. D’ailleurs, des pouvoirs se sont manifestés en lui sous la forme de visions ainsi lorsqu’il a vu arriver Maitre Gregory (Jeff Bridges), il savait qu’il devrait le suivre en devenant son apprenti. Cet homme est en fait un épouvanteur c’est-à-dire qu’il combat les créatures de l’ombre et un grand danger menace notre monde. Mère Malkin (Julianne Moore) s’est libérée et sa première victime fut l’ancien apprenti de Gregory ; elle s’apprête maintenant à faire déferler les ténèbres et cela se fera lorsque la lune de sang sera pleine.

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    C’est une nouvelle œuvre d’Heroic-Fantasy qui débarque sur nos écrans avec cette adaptation des livres de Joseph Delaney. Au programme, un jeune homme possédant un grand potentiel, un monde en danger et au milieu de tout ça de la magie, des sorcières, des ogres et j’en passe. Si Le septième fils peut compter sur des scènes d’action plutôt agréables sans pour autant être époustouflantes, la galerie de personnages ne possède pas beaucoup de charme. On croirait notre pote Jeff Bridges débarqué du film R.I.P.D. Brigade fantôme, Ben Barnes n’est pas loin d’être transparent et les méchants de service sont anecdotiques. Un film qui au final ne dispose que de peu d’intérêt et donc on s’en passera volontiers.

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions après votre 6ème enfant !

  • Pompéi

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    Notre pote Milo (Kit Harington) n’était encore qu’un enfant lorsqu’il a vu sa tribu se faire massacrer par les troupes romaines de Corvus (Kiefer Sutherland). Il a ainsi assisté à la mort de son père et à l’exécution de sa mère mais le sort allait s’acharner sur lui puisqu’une vie d’esclave puis de gladiateur l’attend. Quelques années plus tard sous le nom du Celte, ses talents au combat vont le conduire jusqu’à Pompéi et c’est là qu’il fera connaissance de la belle Cassia (Emily Browning) tout juste de retour de Rome. Cette dernière a toutefois la mauvaise surprise de voir débarquer des soldats romains dans sa ville et surtout la présence du Sénateur Corvus venu conclure des affaires ne semble pas la ravir.

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    On connait tous le funeste destin qui a frappé la ville italienne de Pompéi et notre pote Paul W. S. Anderson est là pour nous offrir  une petite leçon d’histoire. Enfin c’est vite dit puisqu’en fait on a dans un premier temps des combats de gladiateurs où se mêlent la sueur et le sang (rassurez-vous mesdames, la fin est so romantic !!). Si vous connaissez et surtout appréciez la série télévisée Spartacus alors vous serez en terrain connu. Par la suite, on a évidemment le feu d’artifices attendu avec son déluge de spectaculaire donc autant dire que pour enrichir notre savoir, on repassera. A part ça, un divertissement au scénario grotesque et qui n’a pas d’autres prétentions que de nous offrir juste de quoi se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Faire la connaissance du gladiateur qui murmure à l’oreille des chevaux !

  • Silent Hill : Révélation 3D

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    Une nouvelle école, c’est devenue une vraie rengaine pour notre pote Heather (Adelaide Clemens) qui, avec son père Harry (Sean Bean), ne cesse de déménager depuis qu’elle a l’âge de 11 ans. N’allez pas croire qu’ils prennent plaisir à bouger aussi régulièrement, c’est surtout qu’ils n’ont pas le choix car Harry fait tout ce qui est en son pouvoir pour protéger sa fille. Celle-ci est en proie à de nombreux cauchemars, des visions d’horreur qui la perturbent et qui se mêlent aussi parfois à la réalité tout ça dans le but d’attirer de nouveau cette adolescente à Silent Hill. Pourtant Heather va devoir y retourner d’elle-même avec l’aide de Vincent (Kit Harington), camarade de classe car son père a été fait prisonnier.

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    En 2006 il y a eu l’adaptation du survival horror de Konami dirigé par Christophe Gans, un film plutôt correct mais qui n’a pas non plus marqué les esprits. Pour cette suite, le réalisateur français a laissé place à Michael J. Bassett dont la filmographie compte le désastreux Solomon Kane et qui donne à la franchise une orientation bien décomplexée. Certains pourraient prendre ça pour un compliment mais c’est loin d’être le cas, avec cet épisode Silent Hill est en train de prendre un virage à la Resident Evil ! Budget investi dans les effets spéciaux au cœur d’un scénario expédié et sans idées Silent Hill : Révélation 3D risque bien d’enterrer la saga du moins au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à préparer un beau discours pour vous présenter auprès de vos nouveaux camarades de classe.


    En savoir plus sur Silent Hill ?