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Premières Impressions 2014 - Page 14

  • Dragons 2

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    Il y a encore 5 ans, dragons et vikingss’affrontaient mais ceci appartient désormais au passé puisque sur l’ile de Beurk tous vivent en parfaite harmonie pour le plus grand bonheur d’Harold. Ce dernier ne manque pas une occasion pour chevaucher son pote d’enfance Krokmou et partir ainsi à la découverte du monde. C’est ainsi qu’il se retrouve nez à nez avec Eret et sa bande de trappeurs qui cherchent à capturer des dragons pour les donner à un certain Drago Poing Sanglant. Lorsqu’Harold en parle à son père Stoik, l’alerte est immédiatement déclenchée à Beurk car il semblerait qu’une guerre se prépare. Le jeune homme n’entend pas rester là à ne rien faire et prend son envol pour tenter de convaincre Drago.

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    C’est en 2010 que nous avions fait la connaissance d’Harold, Krokmou et de tous leurs potes d’enfance et 4 ans plus tard, on est plus qu’heureux de les revoir. On a envie de dire que, comme d’habitude, les studios Dreamworks animation nous régale avec un nouveau film graphiquement somptueux avec des dragons à foison et des Alphas qui ne vous laisseront pas de glace. Déjà que le précédent épisode était une réussite, Dragons 2 se montre tout aussi enthousiasmant avec une superbe aventure agrémentée d’humour et d’émotion qui réunira petits et grands. Apprentis dragonniers, vous avez rendez-vous avec un pur moment de plaisir et quoi de plus normal que de lui offrir un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Eviter les léchouilles de dragons, ça ne part pas au lavage !

     

    En savoir plus sur Dragons ?

  • Tristesse club

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    Lorsque notre pote Bruno (Vincent Macaigne) entend son frère Léon (Laurent Lafitte) évoquer une bonne nouvelle, il ne s’attendait pas vraiment à apprendre le décès de leur père. Entre eux, ça n’a pas été le grand amour aussi cette disparition ne semble pas émouvoir plus que cela les deux frères qui vont se retrouver pour lui rendre un dernier hommage. Surprise, lorsqu’ils arrivent au crématorium ils n’y trouveront qu’une jeune femme du nom de Chloé (Ludivine Sagnier) qui se trouve être leur demi-sœur. Il reste quand même un mystère, où est donc passé ce père et on en vient même à se demander s’il est vraiment mort ?

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    Avec Tristesse club, notre pote Vincent Mariette signe son premier long-métrage avec une histoire assez décalée. Ça commence avec un trio assez atypique composé d’un tennisman à la carrière gâchée et fauché, d’un créateur de site de rencontres célibataire et d’une demi-sœur énigmatique. Si on passe plutôt un bon moment en leur compagnie, on regrette que le réalisateur ne nous ait pas proposé davantage de folie à l’image de cette visite incongrue chez Noémie Lvovsky. Cela d’autant plus que le coté thriller n’arrive pas non plus à nous emballer si bien qu’on finit par devenir insensible devant ce film en dépit d’excellents comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Fabriquer un lance-balles de tennis pour votre fils, il sera content … ou pas !

  • Sous les jupes des filles

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    Avec 4 enfants et un mari absorbé par son travail, notre pote Ysis (Géraldine Nakache) n’a que peu de temps pour elle. Une routine qu’elle va subitement bouleverser après sa rencontre avec Marie (Alice Taglioni) qui était venue garder ses enfants, c’est ainsi que leur aventure commence. Au même moment, Jo (Audrey Dana) commence à se poser des questions sur ses relations amoureuses ; il serait peut-être temps pour elle de construire quelque chose de sérieux. Pour sa sœur Agathe (Laetitia Casta), ce n’est pas vraiment plus réjouissant elle qui souffre de terribles maux de ventre lorsqu’elle se trouve trop émue. Un vrai handicap surtout quand on se trouve en face d’un bel avocat !

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    Pour sa première réalisation, Audrey Dana a mis les petits plats dans les grands en conviant à cette fête un beau casting où Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Vanessa Paradis viennent se mêler à Julie Ferrier, Alice Belaïdi ou encore Géraldine Nakache. Au premier coup d’œil Sous les jupes des filles on a donc plutôt envie de se laisser charmer malheureusement c’est la déception qui prime. En voulant donner la part belle aux femmes qui ne se seront jamais montré aussi libres, ce film choral a bien du mal à prendre forme et adopte davantage la forme d’une cascade de sketches pas toujours drôles. Avec des personnages dont le trait est parfois forcé, le film est semblable à cette scène au Trocadéro ; un feu d’artifice promis qui ne s’avère être tout au plus qu’un pétard mouillé.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais croire une femme qui jure sur la tête de ses enfants !

  • Edge of tomorrow

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    Cela fait maintenant 5 ans que les Mimics, des extraterrestres ont atterri sur notre planète et sont sur le point d’envahir totalement l’Europe. Pour les combattre, une armure a été mise au point et c’est dotée de celle-ci que notre pote Rita Vrataski (Emily Blunt) est devenue une véritable légende. Demain sera un jour important dans cette guerre et c’est pourquoi le Major Bill Cage (Tom Cruise) a été appelé à rejoindre les troupes sur le terrain. Jusque-là il s’était toujours débrouillé pour se tenir éloigné des champs de bataille mais il va devoir cette fois participer à l’effort de guerre. Ça ne fait pas un pli, à peine lancé dans la bataille Bill trouve la mort mais va ressusciter de manière inexpliquée.

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    Si l’idée de l’invasion extraterrestre n’a rien de très novateur, Edge of tomorrow introduit tout de même un concept intéressant façon Un jour sans fin. Le don de notre pote Tom Cruise aurait ainsi pu déclencher une certaine lassitude chez le spectateur mais cela est fait de manière assez maligne et surtout s’ajoute à ça une bonne dose d’humour. Quelques réserves toutefois sur des personnages peu charismatiques (en dehors de Bill Cage) et on visera en particulier la "Full Metal Bitch" Rita Vrataski censée être l’incarnation de l’héroïsme mais qui se montre trop discrète. C’est qu’on aurait aimé la voir davantage en action avec cette énorme épée mais on se consolera avec de belles scènes d’action renforcées par les effets spéciaux qui font qu’on passe un bon moment devant ce blockbuster.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas accepter les transfusions de sang !

     

    Découvre le film Dans la peau du Major Bill Cage !!

  • Je te survivrai

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    Agent immobilier, notre pote Joe (Jonathan Zaccaï) est un vendeur hors-pair et qui fait les beaux jours d’Immo V. Vendre des maisons c’est une chose mais lui est sur un projet de plus grande envergure avec la construction d’un terrain de golf sur sa propriété seulement il y a un obstacle de taille. Il s’agit de sa voisine Blanche (Ben Riga), une vieille femme avec laquelle il n’est pas vraiment en bons termes et qu’il cherche à faire partir depuis presque (j’ai bien dit presque) 5 ans. Lui vient alors l’idée de la priver d’eau et c’est ainsi qu’il entreprend de descendre dans un puits qui se trouve sur son terrain mais Joe aurait du prendre plus de précautions avant de se lancer là-dedans.

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    Dans les premiers instants, il est franchement difficile de prendre Je te survivrai au sérieux avec les personnages hyper-stéréotypés que sont Joe et ses collègues. Par la suite, le film tourne davantage sur la confrontation entre les 2 voisins laissant moins de place à la fantaisie malgré le fait que Jonathan Zaccaï nous gratifie d’une interprétation personnelle de Star Wars assez amusante. Bien qu’au fond du trou, le comédien se trouve même à son avantage renforçant encore un peu plus le double visage de ce premier long-métrage de Sylvestre Sbille. Divertissant à condition de savoir faire preuve de second degré.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus manger de fromages grecs !

  • L’île de Giovanni

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    Notre pote Junpei et son petit frère Kanta ont grandi sur l’ile de Shikotan et cet été 1945 sera un tournant pour le Japon. Leur empereur vient en effet de l’annoncer ; la guerre s’est soldée sur une défaite et les habitants craignent déjà les conséquences qui pourraient en résulter. En Septembre, l’ile est envahie par les soldats de l’URSS qui en prennent possession poussant certaines familles à prendre la fuite ; des tentatives qui se terminent parfois en drames. De leur coté, Junpei, Kanta et leur famille se sont adaptés à cette nouvelle vie et se sont même lié d’amitié avec Tanya, la fille d’un soldat russe qui s’est installé dans leur ancienne maison.

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    A la manière d’un Tombeau des lucioles, ce film d’animation japonais revient sur le traumatisme causé par la Seconde Guerre Mondiale en s’intéressant sur le sort des habitants de l’ile de Shikotan. Si dans les premiers instants, ce dessin animé semble visuellement plutôt séduisant par la suite ça se révèle bien moins réussi. Sur certains plans on voit que les dessins sont allés vers une très grande simplicité et ce n’est pas forcément très agréable à l’œil ; on est allé jusqu’à doter les personnages d’oreilles sans pavillon ce qui m’a assez perturbé. On retiendra donc d’abord de L’île de Giovanni son histoire forte qui offre quelques moments d’émotion sans pour autant réussir à nous emporter.

     

    Il faut le voir pour : Offrir un train électrique à vos enfants !

  • Les drôles de poissons-chats

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    C’est en rentrant de son travail que notre pote Claudia (Ximena Ayala) a commencé à ressentir des douleurs au ventre. Cela s’est confirmé dans la nuit ; elle a été conduite à l’hôpital car on lui a diagnostiqué une appendicite et d’est dans le lit voisin qu’elle a fait la connaissance de Martha (Lisa Owen). Cette dernière est hélas une patiente régulière mais elle est chaleureusement entourée par ses 4 enfants Alejandra, Wendy, Mariana & Armando (Sonia Franco, Wendy Guillén, Andrea Baeza & Alejandro Ramírez-Muñez). Alors que Claudia s’est habituée à vivre dans la plus grande des solitudes, elle va découvrir la chaleur et l’amour d’une famille grâce à Martha.

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    Ce qu’on apprécie tout particulièrement dans Les drôles de poissons-chats, ce sont ses personnages hautement authentiques. Qu’il s’agisse du lien Mère / Fille qui se tisse entre Ximena Ayala & Lisa Owen ou encore de la solidarité et du courage dont font preuve les enfants ; on s’attache véritablement à eux. Surtout la réalisatrice Claudia Sainte-Luce a le bon gout de ne pas transformer son film en un mélodrame cherchant absolument à tirer à tout prix les larmes du spectateur. Il faut dire que l’histoire qui est présentée ici lui tient à cœur puisqu’il s’agit tout simplement de la sienne. On tient là un film mexicain assez discret mais qui constitue une jolie découverte en nous réservant quelques beaux moments d’émotion.

     

    Il faut le voir pour : Apporter des chips la prochaine fois que vous rendez visite à quelqu’un à l’hôpital.

  • Un amour sans fin

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    Cela fait 4 ans qu’il n’a d’yeux que pour la belle Jade (Gabriella Wilde), une jeune fille qui s’est renfermée sur elle-même depuis la disparition tragique de son frère. Notre pote David (Alex Pettyfer) va avoir l’occasion de lui avouer ses sentiments puisqu’elle l’a invité à une fête afin de célébrer l’obtention de leur diplôme. C’est un couple qui est en train de se former mais cela n’est pas du gout de Hugh Butterfield (Bruce Greenwood), le père de la jeune fille qui va le tenir à l’œil. Pourtant à ses cotés, Jade retrouve le sourire comme si elle vivait l’adolescence qu’elle n’a finalement pas eu au point qu’elle décide de repousser son stage de médecine ce qui est loin de ravir Hugh.

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    Gabriella Wilde & Alex Pettyfer sont jeunes, sont beaux, ils s’aiment et vont pouvoir avoir beaucoup d’enfants ; tout ça risquait de constituer un scénario un peu mince alors on va pimenter les choses. Il n’y a qu’à mettre un père récalcitrant et manipulateur mais qui a aussi souffert de son coté pour ne pas trop le diaboliser et voilà comment s’est monté Un amour sans fin. Pourtant au départ, j’avais envie d’y croire à cette romance mais très vite on s’aperçoit que ce film de la réalisatrice Shana Feste (qui nous avait offert le pas si mal Country strong) vogue sur des flots de niaiserie. En fait, on se croirait dans un téléfilm pour adolescent et cette candeur se montre, à notre grand malheur, elle aussi sans fin !

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder de bons rapports avec votre beau-père !

  • Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire

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    Notre pote Allan Karlsson (Robert Gustafsson) a 100 ans, un évènement dont il a profite pour s’enfuir de sa maison de retraite à Malmköping. C’est ainsi qu’il va croiser la route d’un jeune motard d’un gang appelé Never Again qui lui confie une valise le temps de répondre à un besoin pressant. Le souci c’est qu’Allan ne mesure pas toujours les conséquences de ses actes, c’est vrai aujourd’hui et surtout dans le passé où il a eu le loisir de croiser de grandes personnalités comme Staline, Franco ou encore le père de la bombe atomique Robert Oppenheimer. Pour en revenir au présent, ce jeune centenaire va s’envoler avec la valise tout en ignorant qu’elle renferme rien moins que 50 millions de couronnes suédoises !

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    Ne connaissant pas le roman de Jonas Jonasson dont ce film est l’adaptation, j’ignore en fait dans quelle mesure les scènes de flashbacks influencent la cavale d’Allan. En tout cas, je trouve que dans ce film elles apportent certes de bons moments mais n’enrichissent pas une histoire qui se suffisait largement à elle-même. En dehors de ça, cette comédie suédoise met dans le mille ; on se gondole de rires devant l’innocence du héros (qui n’est pas sans rappeler l’inoubliable Forrest Gump) ou encore en compagnie de Benny, l’homme qui est presque tout. Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire c’est un excellent moment en perspective qui se voit donc décerner un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Faire la connaissance du frère jumeau d’Albert Einstein !

  • Ugly

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    Comme chaque samedi, Rahul Kapoor (Rahul Bhat) a la garde de sa fille Kali (Anshikaa Shrivastava) avec qui il a prévu d’aller au cinéma. Cependant, cet acteur encore à la recherche de son premier grand rôle s’est d’abord arrêté chez son pote d’enfance pour récupérer un scénario. Il pensait alors que sa fille attendait dans la voiture mais va découvrir qu’elle a disparu sans laisser de traces. La seule piste est un vendeur ambulant qui s’est retrouvé en possession du portable de Kali mais qui parvient à prendre la fuite avant de mourir renversé par une voiture. C’est désormais à la Police de résoudre cette affaire d’autant plus que le mari de l’ex-femme de Rahul est commissaire et qu’il fera tout pour retrouver la petite fille.

     

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    Anurag Kashyap, ce nom ne vous dit peut-être rien mais ce réalisateur s’était fait remarquer en 2013 avec Gangs of Wasseypur sorti chez nous en 2 volets. Il y avait donc une certaine impatience de le voir de nouveau à l’œuvre avec Ugly, un thriller tournant autour de la disparition d’une petite fille. Un sujet d’autant plus sérieux qu’il s’inspire de faits réels ce qui n’empêche pas le film de prendre des directions assez loufoques. En témoigne cette scène incroyable de l’interrogatoire policier improbable qui finit en tutoriel pour personnaliser un portable. Là aussi règne un vrai capharnaüm et malheureusement ça finit par nuire à une intrigue qu’on a beaucoup de mal à comprendre si bien qu’on est largué et au final le film devient interminable.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à associer une photo à un numéro de téléphone sur votre portable.