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audrey fleurot

  • Sous les jupes des filles

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    Avec 4 enfants et un mari absorbé par son travail, notre pote Ysis (Géraldine Nakache) n’a que peu de temps pour elle. Une routine qu’elle va subitement bouleverser après sa rencontre avec Marie (Alice Taglioni) qui était venue garder ses enfants, c’est ainsi que leur aventure commence. Au même moment, Jo (Audrey Dana) commence à se poser des questions sur ses relations amoureuses ; il serait peut-être temps pour elle de construire quelque chose de sérieux. Pour sa sœur Agathe (Laetitia Casta), ce n’est pas vraiment plus réjouissant elle qui souffre de terribles maux de ventre lorsqu’elle se trouve trop émue. Un vrai handicap surtout quand on se trouve en face d’un bel avocat !

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    Pour sa première réalisation, Audrey Dana a mis les petits plats dans les grands en conviant à cette fête un beau casting où Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Vanessa Paradis viennent se mêler à Julie Ferrier, Alice Belaïdi ou encore Géraldine Nakache. Au premier coup d’œil Sous les jupes des filles on a donc plutôt envie de se laisser charmer malheureusement c’est la déception qui prime. En voulant donner la part belle aux femmes qui ne se seront jamais montré aussi libres, ce film choral a bien du mal à prendre forme et adopte davantage la forme d’une cascade de sketches pas toujours drôles. Avec des personnages dont le trait est parfois forcé, le film est semblable à cette scène au Trocadéro ; un feu d’artifice promis qui ne s’avère être tout au plus qu’un pétard mouillé.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais croire une femme qui jure sur la tête de ses enfants !

  • Sous les jupes des filles

    J'en connais beaucoup qui vont apprécier de se retrouver Sous les jupes des filles ! D'abord c'est la première réalisation de notre pote Audrey Dana et puis il y a un sacré casting réunissant entre autre Isabelle Adjani, Laetitia Casta, Vanessa Paradis, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache ou encore Sylvie Testud. Vraiment du beau monde !

    Date de sortie : 04 Juin 2014.


  • Les gazelles

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    14 ans que notre pote Marie (Camille Chamoux) est en couple avec Eric (Franck Gastambide) et c’est au moment de signer le crédit pour l’achat de leur premier appartement  que les doutes ont commencé à l’assaillir. Elle a de plus en plus de mal à supporter son compagnon et ce soir, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ; la voilà donc dans la rue avec sa valise. Elle n’a pas d’autres choix que de s’incruster dans la soirée de sa collègue Sandra (Audrey Fleurot) ; une mère de famille célibataire qui sait profiter à fond de la vie avec ses potes d’enfance. Pour Marie, c’est une nouvelle étape de sa vie qui commence mais à terme ne va-t-elle pas regretter son choix ?

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    Voici ce qu’on pourrait appeler une comédie girly s’intéressant aux mésaventures de Camille Chamoux, fraiche célibataire. Devant cette bande de copines, on ne peut s’empêcher de penser à l’excellent Mes meilleures amies mis à part que Les gazelles ne galopent pas à la même vitesse en matière d’humour. D’accord on se sent plutôt en bonne compagnie avec ces femmes aux manières de bonhomme et pas les dernières à mettre un peu de folie aux soirées mais les rires manquent cruellement. Décevant surtout quand on sait qu’il y a au générique les compères du Palmashow Gérgoire Ludig & David Marsais ou encore Franck Gastambide et de voir ceux-ci si peu mis à profit.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner de voir des employés du Pôle-emploi en robe de soirée !

  • Belle comme la femme d’un autre

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    La prochaine étape pour nos potes Clémence & Gabriel (Zabou Breitman & Olivier Marchal) c’est le mariage mais la jeune femme a encore quelques doutes. Après un premier mariage qui a tourné au fiasco et aussi avec tous ces couples en crise qu’elle voit passer à son bureau de juge, elle est en proie à de nombreux doutes. C’est pour cela qu’elle a fait appel à l’agence Darling Trap qui se charge de tester la fidélité des hommes. La testeuse s’appelle Olivia (Audrey Fleurot) et c’est à la Réunion qu’elle va s’occuper du cas de Gabriel. Prise de remords, Clémence décide finalement d’interrompre l’expérience mais il semblerait bien qu’il soit déjà trop tard !

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    L’homme fidèle est-il une espèce en voie de disparition ? Il semblerait bien que oui au regard de ce second film de Catherine Castel et le moins que l’on puisse dire c’est que la gente masculine en prend pour son grade. Le scénario est propice à une série de quiproquos malheureusement Belle comme la femme d’un autre n’est pas loin de l’ennui sidéral. Lorsqu’ils ne sont pas totalement caricaturaux (M. Smith et son assistant), les personnages se montrent sans saveur et surtout l’humour semble lui aussi avoir succombé à de nombreuses infidélités. Une comédie sans idées et qu’on va ranger sur l’étagère des films à oublier ou ignorer au choix.

     

    Il faut le voir pour : Tester la chemise hawaïenne avec le costume !

  • Fonzy

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    Notre pote Diego Costa (José Garcia), lorsqu’il était plus jeune, a fait de nombreux dons de sperme mais jamais il n’aurait imaginé ce qu’il vient d’apprendre. Un avocat vient en effet de lui apprendre que son sperme a été utilisé de façon excessive donnant naissance à 533 enfants dont 142 qui veulent aujourd’hui connaitre l’homme qui se cache derrière le pseudonyme de Fonzy. Un vrai choc pour Diego qui a déjà tellement de mal à s’assumer lui-même et qui doit notamment effacer une dette de 50 000 €. Coté vie sentimentale, ce n’est guère plus reluisant puisque sa relation avec Elsa (Audrey Fleurot) n’est pas au beau fixe d’autant qu’elle vient de luis révéler qu’elle est enceinte et qu’il sera donc papa … pour la 534ème fois !

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    Tout comme Le grand méchant loup, Fonzy est un remake d'un succès canadien Starbuck. C’est Isabelle Doval qui prend en charge la réalisation et qui n’a pas eu à chercher bien loin pour trouver son personnage principal puisque José Garcia n’est autre que son compagnon. L’intérêt d’un remake est déjà discutable (avec une version américaine conduit par le réalisateur québécois en approche) mais en plus de ça le film de Ken Scott est encore tout récent puisque sorti dans les salles françaises en milieu d’année 2012. Là encore ceux qui ne connaissent pas l’original prendront un semblant de plaisir par rapport à ceux connaissant déjà l’histoire qui préféreront faire l’impasse au risque de trouver le temps long face à cette comédie fadasse qui n’apporte vraiment rien.

     

    Il faut le voir pour : Rester poli avec les femmes policières (surtout si leurs pères les surveillent !).

     

    En savoir plus sur Starbuck ?

  • La confrérie des larmes

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    Depuis la mort de sa femme, notre pote Gabriel (Jérémie Renier) n’est plus que l’ombre de lui-même ; cet ancien flic a noyé son désespoir dans l’alcool. Sa fille Juliette (Mélusine Mayance) reste sa dernière bouée de secours mais il a besoin d’argent pour régler notamment une dette de plus de 16 000 euros. A sa grande surprise, il apprend que quelqu’un a effacé son ardoise ; un homme qu’il connait bien puisqu’il avait témoigné en sa faveur il y a quelques années. Celui qui se faisait le Gitan (Antoine Basler) a bien changé, il mène une vie de luxe grâce à son job incroyable dont il va proposer à Gabriel d’en prendre la suite mais sait-il réellement dans quoi il s’engage ?

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    Un type en costard qui doit faire des livraisons, ça rappelle un peu le principe du Transporteur mais la comparaison s’arrête là. Malgré son talent Jérémie Renier n’étant pas Jason Statham, La confrérie des larmes veut mettre surtout l’accent sur le suspense seulement on s’interroge sur ce scénario dont la conclusion laisse pantois. Il est vraiment difficile d’avaler cette histoire et quand bien même ce serait le cas on n’est pas plus convaincu par le personnage de Gabriel, ancien flic désabusé par la mort de sa femme qui synthétise les clichés. Oui, ce thriller risque en effet de faire couler quelques larmes et pas de joie !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus prendre de vin à table.

  • Fonzy

    Fonzy au cinéma ? Chouette j'entends déjà le générique "Sunday, Monday, Happy Days.
    Tuesday, Wednesday, Happy Days" hopopop minute papillon rien à voir. Derrière ce nom se cache le remake français de l'excellent Starbuck

     

    Date de sortie : 30 Octobre 2013


  • Les reines du ring

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    Après 5 ans passés en prison, notre pote Rose (Marilou Berry) retrouve la liberté et espère désormais pourvoir reconstruire sa vie auprès de son fils qu’elle n’a pas vu grandir. Elle pouvait s’y attendre, les retrouvailles sont glaciales et pour tenter de capter son attention, Rose va se lancer dans un drôle de challenge : le catch ! Son fils tant un fan inconditionnel des superstars de la WWE, elle se dit qu’en faisant cela, elle pourrait recréer un lien avec lui. Elle sera entrainée par un ancien champion ; Richard Cœur de lion (André Dussolier) à condition qu’elle constitue une équipe. Pas besoin d’aller bien loin pour ça, ses collègues de chez Happy Market Colette, Jessica & Viviane (Nathalie Baye, Audrey Fleurot & Corinne Masiero) sont prêtes à monter sur le ring !

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    Du catch au cinéma, impossible pour moi de louper ça même si le résultat risquait de me laisser au tapis. Finalement Les reines du ring s’avère être une comédie plutôt divertissante qui certes, ne fait pas preuve de beaucoup de subtilités, mais sait enchainer les prises pour nous faire rire. Le casting est réussi avec notamment la très méchante Corinne Masiero ou encore une irrésistible Isabelle Nanty qui dévoile ses talents d’imitatrice. Le premier film de Jean-Marc Rudnicki part donc sur une bonne idée mais on peut regretter qu’il ne soit pas aller un peu plus loin dans le délire et plus particulièrement au niveau des scènes de combat qui manquent de percussion et donc de spectaculaire. Et puis une participation plus active de The Miz ou de CM Punk aurait été appréciée !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre mère de vous apprendre à catcher.

  • Pop redemption

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    Avez-vous déjà entendu parler des Dead Makabés ? Non, c’est normal car le groupe de Black Metal de notre pote Alex (Julien Doré) se fait plutôt discret bien malgré lui. Pourtant ils vont se voir offrir une opportunité incroyable en participation au célèbre festival de musique le Hellfest. Profitant d’un désistement de dernière minute, ils vont pouvoir révéler leur talent au grand public, enfin il faut le dire vite. C’est vrai que JP, Pascal & Erik (Grégory Gadebois, Jonathan Cohen & Yacine Belhousse) ne partagent plus vraiment le même enthousiasme qu’avant car beaucoup de choses ont changé ; des enfants, des responsabilités font que leur priorité n’est plus forcément la musique. Ils vont pourtant vite devoir retrouver une cohésion puisqu’ils vont avoir sur les bras la mort accidentelle d’un homme !

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    C’est bien connu ; les métalleux sont tatoués, s’habillent en noir et ont les cheveux longs. A contrario, les amateurs de pop arborent des couleurs flashies et pourraient participer à un concours de sosies des Beatles. Oui Pop redemption ne manque pas de clichés par contre il y a beaucoup d’autres choses qui manquent à cette comédie et en premier lieu de l’humour. C’est à peine si j’ai esquissé un sourire (cette brève scène où Yue-You répond au téléphone d’abord avec l’accent asiatique qui a fait son effet) devant les mésaventures de ce quatuor de garçons qui luttent plus qu’ils ne sont portés par le vent et si la musique adoucit les mœurs ça ne nous rend pas moins impatient. Une comédie qui procure autant de plaisir que le Hellfest pour un amateur de Mozart.

     

    Il faut le voir pour : Participer à la prochaine fête de la fraise !

  • La fleur de l’âge

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    C’est sur un lit d’hôpital que notre pote Gaspard Dassonville (Pierre Arditi) retrouve son père Hubert (Jean-Pierre Marielle) dont la santé décline. Ce dernier ne peut plus vivre seul et impossible de lui trouver une place dans une maison de repos aussi vient-il s’installer chez son fils. Gaspard manque toutefois de temps avec son travail d’animateur à la télévision et il essaie donc de trouver une personne qui pourrait aider son père au quotidien. Les candidats se succèdent jusqu’au jour où Zana Kotnic (Julie Ferrier) se présente devant Hubert et elle seule semble convenir à ce vieux grincheux d’autant qu’elle ne laisse pas non plus insensible Gaspard.

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    Déjà qu’avec un tel titre, le film de Nick Quinn ne risquait pas d’attirer les jeunes ceux-ci ne le seront pas non plus avec cette histoire bien trop convenue. Aussi sympathique et talentueux que soit Jean-Pierre Marielle, son personnage de vieux ronchon on le connait que trop bien et il n’y apporte pas grand-chose d’autre. On peut en dire autant du rôle incarné par Julie Ferrier, Zana est censée être quelqu’un de solaire mais elle peine réellement à nous éblouir. Très vite, le temps parait donc long avec La fleur de l’âge puisque cette prétendue comédie ne parvient que trop rarement à nous faire rire et encore moins à nous faire passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à bien choisir vos melons !