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Premières Impressions 2014 - Page 10

  • Des chevaux et des hommes

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    Un homme se prépare pour aller rendre visite à Solveg (Charlotte Bøving). Il grimpe sur son magnifique cheval blanc qui se déplace avec fière allure au point qu’il se sait observé. C’est une journée idéale pour lui jusqu’au moment où il s’apprêtait à rentrer chez lui et il se retrouve alors comme pris en étau par un sacré problème. Les chevaux ce n’est pas ce qui manque dans cette vallée islandaise ; Jóhanna (Sigríður María Egilsdóttir) a ainsi du s’employer pour ramener quelques chevaux qui se sont enfuis croisant sur sa route le pauvre Grímur (Kjartan Ragnarsson) qui a eu des problèmes avec les barbelés. A force de voir des cavaliers, notre pote Juan Camillo (Juan Camillo Roman Estrada) s’est lui aussi décidé à monter à cheval mais sa première expérience va très mal se passer.

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    On n’ira pas jusqu’à dire qu’il s’agit d’un ovni mais il n’en reste pas moins que ce film islandais est tout de même assez spécial. Le titre français résume assez bien la situation ; nous avons donc Des chevaux et des hommes présentés à travers différentes histoires. Ça fonctionne un peu comme un film choral où les personnages vont forcément finir par se croiser dans cette vallée mais difficile d’en détacher un ton particulier. Certains récits invitent à une douce comédie alors que d’autres versent bien davantage vers le pur drame si bien qu’on ne sait pas vraiment sur quel pied danser. Pour le coup si vous aimez partir à la découverte des curiosités, on peut affirmer que vous allez être servis !

     

    Il faut le voir pour : Se renseigner pour prendre des cours d’équitation !

  • Maestro

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    Pas facile d’être comédien ; Henri (Pio Marmai) peut en témoigner lui qui a souvent du mal à joindre les deux bouts avec son colocataire Nico (Nicolas Bridet). Sa carrière est peut-être à un tournant puisque sa pote d’enfance Pauline (Alice Belaïdi) elle aussi actrice, lui a obtenu un rendez-vous avec le grand réalisateur qu’est Cédric Rovère (Michael Lonsdale). Entre ces deux personnes, ce sont deux univers totalement différents qui se rencontrent et pourtant un lien particulier va se tisser entre eux. C’est ainsi qu’Henri est engagé et se retrouve sur le tournage d’un film inspiré de L’astrée. Au début, il n’avait que 23 répliques (ce qui était déjà génial pour lui) et puis il va obtenir un rôle bien plus important.

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    Voilà un petit film qui fait dans la discrétion mais qui mérite amplement qu’on lui accorde un peu d’attention. L’histoire de Maestro s’inspire en fait de la rencontre entre le comédien Jocelyn Quivrin (qui évoqua l’idée de ce film à Léa Fazer) et du réalisateur Cédric Rohmer constituant ainsi un bel hommage en leur mémoire. On est tout aussi séduit par une distribution rayonnante avec en tête le duo très complice Pio Marmai / Nicolas Bridet et entouré des non moins charmantes Alice Belaïdi & Déborah François. Par sa simplicité, son humour et cette relation touchante qui s’établit entre Henri & Cédric ; cette comédie est vraiment une agréable surprise qui obtient assez logiquement un joli Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier les chaises avant de vous asseoir, elles ont peut-être servi pour un ping-pong !

  • American nightmare 2 : Anarchy

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    21 Mars 2023, nous sommes à quelques heures du lancement de la 6ème édition de la Purge. Dès lors et pendant 12 heures, le meurtre ne sera pas considéré comme un délit et inutile de vous dire que tout le monde se presse pour se mettre à l’abri. C’était le cas pour nos potes Liz & Shane (Kiele Sanchez & Zach Gilford) jusqu’à ce que leur voiture tombe en panne et ils comprennent qu’en réalité on a saboté leur véhicule pour mieux les prendre en chasse. Pendant ce temps, Eva (Carmen Ejogo) vient d’apprendre que son père qui était malade s’est porté volontaire pour être le martyr d’une riche famille à l’occasion de la Purge. A peine le temps de réaliser cela qu’elle, ainsi que sa fille Cali (Zoe Soul), sont attaquées par un de leurs voisins.

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    C’est une franchise qu’on risque de revoir encore dans les années à venir, American nightmare 2 : Anarchy annonce le grand retour de la Purge ! On ne peut pas dire que les scénaristes se soient beaucoup foulés puisque nous avons bien évidemment un nouveau massacre cette fois élevé à l’échelle d’une ville. Le principe reste donc identique mais les personnages changent et on ne peut pas dire qu’ils se montrent très convaincants. Le groupe de survivants mené par une pale copie du Punisher suscite rien d’autre que de l’indifférence et que dire de l’inutilité du personnage de Carmelo. Une suite sans idées, espérons que si de nouveaux volets voient le jour ils sauront mieux développer un univers au potentiel pourtant intéressant.

     

    Il faut le voir pour : Choisir un autre jour que celui de la Purge pour faire vos courses !

     

    En savoir plus sur American nightmare ?

  • Les Francis

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    Son grand-père l’a élevé et c’est pourquoi à sa mort, Jeff (Lannick Gautry) fut particulièrement touché mais il peut compter sur le soutien de ses potes d’enfance Medi, Seb & Willy (Medi Sadoun, Thomas VDB & Cyril Gueï). Avant de mourir, son grand-père lui a confié une photo en lui demandant de se rendre en Corse, dans le village de Fozzano où un secret familial lui sera alors révélé. C’est ainsi que cette bande de 4 potes prennent la direction de l’ile de beauté mais leur séjour ne va pas se passer comme ils l’avaient espéré. La faute à Seb qui accumule les gaffes et qui va finir par provoquer l’ire d’un certain Dumé (Thierry Neuvic) convaincu que ces Francis a fait du mal à sa sœur Vanina (Alice David).

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    Au premier abord, c’est un nouveau film de potes d’enfance donc une comédie destinée à nous changer un peu les idées. Seulement pour sa première réalisation Fabrice Begotti patine sacrément car Les Francis ne dispose d’aucuns atouts pour nous faire rire. Le cause principale à tout ça, c’est d’abord le quatuor formé par Lannick Gautry, Medi Sadoun, Thomas VDB & Cyril Gueï avec lequel on ne ressent aucune osmose et sans cela, ça part sur de mauvais rails. De plus, il faudra faire abstraction des gros clichés sur nos amis corses (une pensée évidemment au personnage de Dumé) pour supporter une comédie qui n’aura comme seul mérite de nous faire découvrir un peu les jolis paysages de l’ile.

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier de la trifouille la prochaine fois que vous irez en Corse !

  • Playtime

    cinéma, film, comédie, playtime,  	Jacques Tati, Barbara Dennek, Jacqueline Lecome, John Abbey, Valérie Camille, Billy Kearns, Rita Maiden, Georges Montant

    cinéma, film, comédie, playtime,  	Jacques Tati, Barbara Dennek, Jacqueline Lecome, John Abbey, Valérie Camille, Billy Kearns, Rita Maiden, Georges Montant

    Aéroport de Paris. Un groupe de touristes américaines vient d’arriver en France et elles ont hâte de découvrir les charmes de la capitale. M. Hulot (Jacques Tati) lui aussi est à Paris mais c’est avant tout parce qu’il a un rendez-vous important avec Mr. Giffard (Georges Montant). Un entretien qui tardera à avoir lieu car on se perd facilement dans ces grands immeubles et sans trop s’en rendre compte, M. Hulot va même se transformer en vendeur de lampes. Par la suite, il croisera ce groupe d’américaines à l’inauguration du restaurant le Royal Garden et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il y a encore quelques points à améliorer !

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    Sorti à l’origine en 1967, Playtime a droit à une seconde jeunesse avec cette version restaurée. Aujourd’hui encore ça reste une œuvre unique de la part de Jacques Tati (on n’ose alors imaginer l’impact qu’il avait à l’époque). Ceci n’est pas vraiment un film mais un tableau vivant où presque tous nos sens sont mis à contribution. Ça fourmille de petits détails visuels au point qu’on se dit qu’on est forcément passé à coté de quelque chose et qu’il faudra le revoir plus d’une fois. Au cœur d’une ville qu’on confondrait facilement avec New York si au détour de quelques reflets on n’apercevait pas la Tour Eiffel ou encore l’Arc de triomphe, on entrevoit également l’uniformisation de nos sociétés et le début de la consommation de masse. Culte tout simplement.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir un restaurant très fréquenté !

  • Ablations

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    Le matin se lève et Pastor (Denis Ménochet) se réveille totalement hagard. Il est allongé sur l’herbe, sans pouvoir se rappeler ce qui s’est passé ; il se souvient juste qu’il y a eu une fête la veille mais après ça c’est le trou noir. Il va très vite être inquiété par autre chose puisqu’il découvre que son dos arbore une cicatrice et après des examens approfondis avec sa pote Anna (Florence Thomassin), il apprend qu’on lui a volé un rein ! Cette affaire le tracasse et décide de garder le silence vis-à-vis de sa femme Léa (Virginie Ledoyen) et refuse d’avertir la police. Il va mener sa propre enquête pour tenter de découvrir qui a pu lui faire ça et la première chose sera de découvrir ce qui s’est passé durant cette soirée.

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    Un mec qui se réveille sans souvenirs et sans son rein ; c’était plutôt un bon point de départ pour un scénario imaginé par Benoit "Michael Kael" Délépine. Seulement, l’intérêt d’Ablations se perd rapidement car d’une part le mystère autour des voleurs d’organes est vite levé et puis on a beaucoup de mal à donner du crédit à un scénario qui finit par tourner au rocambolesque. De la même façon, on a beaucoup de mal à se laisser convaincre par le casting à commencer par la victime qu’est Denis Ménochet ou par des personnages comme le coach Poncreux. Cette première réalisation du jeune Arnold de Parscau prenait doucement le chemin d’un bon thriller mais on va dire qu’il y a eu pas mal de déviations.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier votre dos quand vous rentrerez à la maison !

  • The face of love

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    Il y a 5 ans, nos potes Nikki & Garett (Annette Bening & Ed Harris) se sont offert un voyage au Mexique pour célébrer leur 30 ans de mariage. Ce qui devait constituer un moment inoubliable deviendra un véritable traumatisme pour Nikki puisqu’elle aura le malheur de perdre son mari qu’elle retrouve inerte sur la plage. Aujourd’hui, la douleur est toujours vivace, à ses cotés sa fille Summer (Jess Weixler) et son voisin Roger (Robin Williams) sont là pour la soutenir. Et puis un jour, l’impensable se produit ; elle croise un homme qui ressemble trait pour trait à Garett. Dans un premier temps déconcertée, elle va chercher à en savoir plus sur cet homme et va se rapprocher de lui pour espérer retrouver un bonheur disparu.

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    Faire le deuil d’un être cher, tel est l’épreuve réservée à notre pote Annette Bening ; une souffrance qui s’achève quand elle rencontre le sosie de son mari défunt. Le scénario s’autorise quelques facilités qu’on a du mal à avaler comme ce double d’Ed Harris qui vivait pas si loin et qu’elle n’a curieusement jamais croisé. On ajoutera à ça le personnage incarné par Robin Williams totalement inutile et qui finit par inspirer plus de pitié qu’autre chose ce qui n’arrange pas les choses. Finalement, le seul intérêt de The face of love reste le comportement, quand même très prévisible, de Nikki vis-à-vis du nouvel homme de sa vie pour le reste c’est bien trop sage. A la limite, on attendait quelque chose de plus malsain façon La piel que habito d’Almodóvar mais c'est trop en demander.

     

    Il faut le voir pour : Fréquenter les musées pour rencontrer l’amour !

  • Sexy Dance 5 - All in Vegas

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    Depuis leur contrat décroché avec Nike, Sean (Ryan Guzman) et ses potes d’enfance du Mob espéraient percer à Los Angeles mais après avoir couru les castings pendant 6 mois, certains ont baissé les bras. Alors que son crew a décidé de retourner à Miami, Sean persévère et d’ailleurs il a l’intention de participer au concours organisé par le Vortex. A la clé, il y a un show à Las Vegas avec un contrat de 3 ans ce qui lui épargnerait les galères qui ne cessent de se succéder pour lui. En attendant, il doit trouver un toit pour dormir et se tourne vers Moose (Adam G. Sevani) qu’il va convaincre à le rejoindre ; tous deux vont ainsi rassembler (une nouvelle fois) les meilleurs danseurs pour ainsi former un tout nouveau crew : les LMNTRIX !

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    Il suffira de 5 petites minutes pour qu’une battle soit provoquée, autant vous dire que la couleur est rapidement annoncée ! C’est une saga qui poursuite sa route vers le succès avec cette 5ème déclinaison et la recette n’a pas changé. L’histoire reste bien évidemment superficielle avec de la romance à tous les étages, une compétition avec des rivaux pas très sympas et des drames (sigh). Par contre, il faut reconnaitre qu’au niveau du spectacle on ne s’est pas moqué de nous ; les moyens ont été mis en œuvre pour nous en mettre plein les yeux et si vous aimez la danse, vous apprécierez forcément les prestations de ces artistes avec un final grandiose. Sexy Dance 5 - All in Vegas n’est pas un grand moment de cinéma mais coté spectacle ça assure !

     

    Il faut le voir pour : Assister à une belle démonstration de danse dans un cinéma, logique quoi !

     

    En savoir plus sur Sexy Dance ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 2 ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 3 - The battle ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 4 - Miami Heat ?

  • L’homme qu’on aimait trop

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    Notre pote Agnès Le Roux (Adèle Haenel) est de retour à Nice où elle retrouve sa mère Renée (Catherine Deneuve), propriétaire du Palais de la Méditerranée ; un casino en vogue. C’est aussi à cette occasion qu’elle fait la connaissance de Maurice Agnelet (Guillaume Canet), l’avocat de sa mère dont le charme ne la laissera pas longtemps insensible. Renée est préoccupée car son casino traverse une période difficile et il semblerait que son concurrent Fratoni (Jean Corso) et ses méthodes discutables n’y soient pas pour rien. Sur les conseils de Maurice, elle va prendre la Présidence du groupe mais refuse de nommer son avocat comme Directeur général comme il le suggère avec une certaine insistance mais il n’a pas dit son dernier mot.

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    En grande partie inspiré de l’affaire Agnelet qui a défrayée la chronique à la fin des années 1970, L’homme qu’on aimait trop rassemble tous les ingrédients du polar. Une romance qui se termine en tragédie, une fracture familiale entre une mère et sa fille, de l’argent à vous faire perdre la tête et enfin un crime entouré de mystères ; il y a vraiment tout pour embarquer le spectateur. André Téchiné livre donc un film passionnant de bout en bout et s’entoure de surcroit d’un superbe trio avec les présences de Catherine Deneuve, Adèle Haenel & Guillaume Canet tous trois excellents. Tout simplement une adaptation cinématographique très réussie grâce à une interprétation d’ensemble irréprochable et son scénario captivant.

     

    Il faut le voir pour : Faire annuler la procuration de votre conjoint sur votre compte bancaire, on ne sait jamais …

  • Transformers - L’âge de l’extinction

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    4 ans après la terrible bataille qui a ravagé Chicago, les Transformers sont devenus indésirables sur Terre obligeant ainsi Optimus Prime et ses potes Autobots à se dissimuler. Cade Yeager (Mark Wahlberg) lui vit au Texas, il a l’habitude de bricoler et de récupérer tout et n’importe quoi comme ce vieux camion en très mauvais état. L’idée est de démonter le moteur qui lui rapportera un peu d’argent mais il va vite découvrir qu’il a entre les mais un Transformer. Le gouvernement américain appuyé par Lockdown va se manifester auprès de Cade obligeant Optimus Prime à reprendre le combat. Il devra retrouver les Autobots qui ont réussi à survivre avant d’affronter une nouvelle grande menace planétaire !

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    Ce n’est pas un reboot mais on repart sur de nouvelles bases même si Michael Bay reste à la barre. Le changement vient en fait du héros puisque Shia LaBeouf nous quitte au profit de Mark Wahlberg et qu’une autre belle demoiselle vient jouer les bimbos. A part ça Transformers - L’âge de l’extinction est fidèle à sa réputation de méga blockbuster qui ne devrait pas trop faire travailler vos méninges durant 2H46. Une durée conséquente et qui ne nous épargne pas quelques scènes franchement pas nécessaires mais le réalisateur a un jouet entre les mains et un budget colossal (210 millions de dollars) donc il en profite. Du divertissement rien que du divertissement rythmé par les multiples explosions, des cascades et l’arrivée attendue des Dinobots, vous êtes prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre la vérité sur la disparition des dinosaures !

     

    En savoir plus sur Transformers ?

    En savoir plus sur Transformers 2 - La revanche  ?

    En savoir plus sur Transformers 3 - La face cachée de la lune ?