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ludivine sagnier

  • Lou ! Journal infime

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    La vie de notre pote Lou (Lola Lasseron) ressemble un peu à celle des autres adolescentes si ce n’est qu’elle partage un lien très fort avec sa Mère (Ludivine Sagnier). Cette dernière commence d’ailleurs à l’inquiéter puisqu’elle passe ses journées au lit en compagnie du chat qu’elles viennent d’adopter. Lou se dit alors que l’arrivée d’un nouveau voisin pourrait changer les choses d’autant plus que Richard (Kyan Khojandi) s’est installé sur le même pallier. De son côté, la jeune fille ne se lasse pas d’observer (et de collectionner les cahiers) le beau Tristan (Joshua Mazé) mais il serait peut-être temps pour elle de faire le premier pas.

     

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    C’est une nouvelle adaptation de bande-dessinée et on ne pourra pas dire qu’il trahit l’esprit de l’œuvre originale puisque c’est l’auteur Julien Neel lui-même qui s’est chargé de la réalisation. D’emblée, on appréciera l’univers qu’il a réussi à retranscrire à l’écran, les fans de la première heure ne devraient pas être dépaysés. Par contre, c’est une première réalisation pour l’artiste et ça se ressent avec un rythme pas très soutenu et hélas une Lola Lasseron pas convaincante dans le premier rôle. Il y a tout de même de bonnes idées avec les séquences animées faisant intervenir Sidéra qui apportent un second souffle mais cela ne suffira pas à sauver Lou ! Journal infime.

     

    Il faut le voir pour : Mettre un coussin sur votre mur, ça peut servir !

  • Tristesse club

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    Lorsque notre pote Bruno (Vincent Macaigne) entend son frère Léon (Laurent Lafitte) évoquer une bonne nouvelle, il ne s’attendait pas vraiment à apprendre le décès de leur père. Entre eux, ça n’a pas été le grand amour aussi cette disparition ne semble pas émouvoir plus que cela les deux frères qui vont se retrouver pour lui rendre un dernier hommage. Surprise, lorsqu’ils arrivent au crématorium ils n’y trouveront qu’une jeune femme du nom de Chloé (Ludivine Sagnier) qui se trouve être leur demi-sœur. Il reste quand même un mystère, où est donc passé ce père et on en vient même à se demander s’il est vraiment mort ?

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    Avec Tristesse club, notre pote Vincent Mariette signe son premier long-métrage avec une histoire assez décalée. Ça commence avec un trio assez atypique composé d’un tennisman à la carrière gâchée et fauché, d’un créateur de site de rencontres célibataire et d’une demi-sœur énigmatique. Si on passe plutôt un bon moment en leur compagnie, on regrette que le réalisateur ne nous ait pas proposé davantage de folie à l’image de cette visite incongrue chez Noémie Lvovsky. Cela d’autant plus que le coté thriller n’arrive pas non plus à nous emballer si bien qu’on finit par devenir insensible devant ce film en dépit d’excellents comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Fabriquer un lance-balles de tennis pour votre fils, il sera content … ou pas !

  • Tristesse club

    C'est la mort de leur père qui va réunir les frères que sont Laurent Lafitte & Vincent Macaigne mais nos 2 potes vont etre rejoint par Ludivine Sagnier, une demi-soeur dont ils apprennent l'existence. Tristesse club est le premier long-métrage de Vincent Mariette et s'annonce assez décalé et suscite pas mal de curiosité !

    Date de sortie : 04 Juin 2014.


  • Amour & turbulences

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    Elle pensait que c’était son jour de chance mais notre pote Julie (Ludivine Sagnier) va vite déchanter. Plutôt contente d’être surclassée pour ce vol reliant New-York à Paris, elle a la désagréable surprise d’avoir comme compagnon de route Antoine (Nicolas Bedos), un ex. Leur histoire date d’il y a maintenant 3 ans et ils ne se sont pas vraiment quitté en bons termes d’où une certaine tension pour ces retrouvailles inattendues. Tout avait pourtant bien commencé entre eux ; une rencontre dans des toilettes, une danse en haut de la Tour Eiffel et l’éternel séducteur qu’est Antoine était tout simplement tombé amoureux alors comment leur relation a-t-elle bien pu s’achever ?

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    La seule véritable surprise de cette nouvelle comédie romantique c’est d’avoir confié l’un des premiers rôles à Nicolas Bedos. Le comédien débutant signe par ailleurs les dialogues qui restent, dans l’ensemble, assez sages alors qu’on aurait apprécié retrouver la plume acerbe qui a fait sa réputation. En dehors de ça, pas grand-chose à signaler, on sait dès le départ dans quoi on s’est embarqué avec Amour & turbulences et on passe plutôt un bon moment. La participation de Clémentine Célarié mais aussi de Michel Vuillermoz, Jonathan Cohen & Jackie Boyer apportent également un petit plus.

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce qu’il faut faire au restaurant si votre femme vous demande de commander pour elle !

  • Le ciel, les oiseaux … et ta mère !

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    Grace à un concours vidéo qu’ils ont brillamment remporté, nos potes Youssef, Christophe & Stéphane (Jamel Debbouze, Lorànt Deutsch & Stephane Soo Mongo) s’apprêtent à passer d’inoubliables vacances ! Ils prennent en effet la direction de Biarritz où un appartement est mis à leur disposition ; à eux la plage, la fête et surtout les femmes enfin c’est ce qu’ils s’étaient imaginé. La réalité est moins belle et ils déchantent vite en constatant que sans thunes il n’y a pas grand-chose à faire sur la cote. Heureusement, l’arrivée de Lydie (Olivia Bonamy) et de ses amis dans l’appartement d’à-côté tout comme celle de Mike (Julien Courbey) qui a décidé de taper l’incruste va apporter un peu d’animation à leur séjour.

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    Il faut être objectif, c’est loin d’être une comédie rayonnante mais elle avait au moins le mérite à l’époque de lancer la carrière ascendante de Jamel Debbouze. Un premier rôle qui a évidemment contribué au succès du film d’autant plus qu’il est bien accompagné avec Lorànt Deutsch & Julien Courbey, 2 acteurs qui font toujours preuve d’une certaine gouaille. La tchatche et le langage employé amuse un moment mais devient vite rédhibitoire et par chance ça s’allège un peu dans la seconde partie sans quoi la migraine nous guettait. Le ciel, les oiseaux … et ta mère ! marque également la première réalisation de Djamel Bensalah qui déroule une histoire bien trop balisée.

  • Un monstre à Paris

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    1910. C’est un spectacle impressionnant ; Paris est sous les eaux depuis que la Seine a débordé et la capitale française n’a pas fini de faire la une des journaux. En effet, depuis quelques jours on rapporte qu’un horrible monstre hante les rues mais si vous voulez connaitre la vérité à ce sujet, il faut interroger Raoul et Emile. C’est en allant faire une livraison pour le professeur que tout a commencé ; ils se sont permis de s’amuser avec des potions et un accident est vite arrivé ! C’est ainsi qu’ils ont crée ce monstre qui n’est en fait qu’une puce inoffensive qui a pris taille humaine mais aussi à la voix mélodieuse qui va rapidement séduire la belle Lucille. Alors que le préfet Maynott cherche à tout prix à le neutraliser, nos potes vont tout faire pour protéger celui qu’ils appellent désormais Francœur.

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    Il était plutôt difficile de passer à coté de ce film d’animation puisque d’une part il s’agit d’une production française et d’autre part on retrouve pour l’occasion un duo de chanteurs très populaires. Vous aurez sans doute entendu La Seine interprété par Vanessa Paradis et Mathieu Chedid, une bande originale particulièrement soignée ce qui n’est pas forcément à l’image du reste. Bien entendu, Un monstre à Paris sait se montrer amusant notamment avec cette vision de la capitale inondée ou par quelques clins d’œil sympathiques (la coiffure de M ou l’apparition de Bourvil) mais on est quand même bien loin de la magie des œuvres de Pixar. Loin d’être un amateur du genre, le réalisateur Eric Bergeron sait comment faire rêver les petits mais il reste à séduire les plus grands !

     

    Il faut le voir pour : Avoir la puce à l’oreille !

  • Les bien-aimés

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    Aussi étonnant que cela puisse paraitre, une simple paire de chaussures aura transformé la vie de Madeleine (Ludivine Sagnier/Catherine Deneuve). Elle marchait tout simplement dans la rue lorsqu’on l’a confondu avec une prostituée mais notre pote ne s’est pas sentie plus offusquée que cela et y voyait une occasion de se faire de l’argent de poche ! C’est d’ailleurs à la suite de cela qu’elle a rencontré Jaromil (Rasha Bukvic/Milos Forman) avec qui elle allait partager sa vie ; une relation faite de rupture et de retrouvailles. De leur union est née Véra (Chiara Mastroianni) qui elle aussi va avoir une vie sentimentale plutôt tumultueuse.

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    Les bien-aimés nous invite à partager la vie dissolue d’une mère et de sa fille à travers les années, 2 femmes pour qui l’amour est loin d’être un long fleuve tranquille. Malgré la belle allure de son casting féminin à savoir les présences de Catherine Deneuve, Ludivine Sagnier et celle qui va finir par devenir la muse du réalisateur Chiara Mastroianni ; on ne peut pas dire qu’on soit réellement emballé. Loin d’être un spectateur réfractaire aux comédies musicales, ces scènes ne resteront pas gravés dans les mémoires (comme c’était déjà le cas avec Les chansons d’amour) d’autant qu’on n’échappe pas à quelques longueurs sur les 2H10 !

     

    Il faut le voir pour : Acheter de nouvelles chaussures à votre femme !

  • Pieds nus sur les limaces

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    Lily (Ludivine Sagnier) est une jeune femme différente qui vivait jusqu’à présent avec sa mère dans une maison à la campagne. Malheureusement, sa mère meurt brusquement et Clara (Diane Kruger), la grande sœur de Lily doit désormais veiller sur elle. Au départ, les visites devaient se limiter aux week-ends et par la suite on a tenté de la faire vivre en ville mais dans les deux cas, cela ne lui convenait pas. Clara prend donc quelques jours de congés pour s’occuper de sa jeune sœur mais aussi pour faire un point sur sa vie. Elle s’est toujours comportée comme la fille modèle mais aujourd’hui, elle se rend compte que le bonheur lui échappe.

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    Adaptation de son propre livre, Fabienne Berthaud dresse le portrait de 2 sœurs diamétralement opposées. A Diane Kruger le rôle de la fille parfaite avec la belle vie en apparence et à Ludivine Sagnier une vision plus naïve de l’existence ce qui provoque évidemment quelques étincelles. Heureusement d’ailleurs c’est ce qui donne un peu de vie à Pieds nus sur les limaces même si le duo de comédiennes s’en tire plutôt bien. Sagnier, de par son rôle, tire peut-être légèrement vers l’excès mais le véritable souci c’est que l’histoire est assez plate. Pas grand-chose à signaler ce qui fait qu’on finit parfois par s’assoupir, un beau portrait qu’on n’a pas forcément envie de découvrir au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de fourrer n’importe quoi dans votre frigo !

  • Crime d’amour

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    Sérieuse et extrêmement appliquée, Isabelle (Ludivine Sagnier) est une assistante hors-pair pour Christine (Kristin Scott-Thomas) qui profite sans gêne de l’investissement de sa subalterne. Alors qu’Isabelle s’était rendue en Egypte pour présenter un dossier qu’elle a personnellement monté du début jusqu’à la fin, Christine s’est attribuée tous les mérites ce qui lui a permis de se voir offrir un poste particulièrement prisé à New-York. Entre les 2 femmes, l’entente jusqu’ici cordiale se métamorphose peu à peu en un règlement de comptes où tous les coups sont permis.

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    Crêpage de chignons sur fonds de thriller où les apparences sont souvent trompeuses. Femmes ambitieuses que rien n’arrêtent, Kristin Scott-Thomas & Ludivine Sagnier ne lésinent pas sur les coups bas et manipulent leur entourage comme des marionnettes. On ne peut pas dire que Crime d’amour soit un mauvais film mais son principal défaut est de ne jamais réussir à emballer une intrigue manquant de spontanéité. Même le twist des dernières minutes ne parvient pas à nous sortir de la torpeur dans laquelle on finit par se noyer, un film qu’on a vite fait d’oublier une fois qu’on l’a vu donc est-ce que ça vaut réellement la peine d’aller le voir …

     

    Il faut le voir pour : Garder votre ticket de cinéma, ça pourrait vous disculper de meurtre !

  • Molière

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    En 1644, Jean-Baptiste Poquelin appelé également Molière (Romain Duris) n’a pas encore rencontré le succès qu’on lui connait aujourd’hui. Il fut meme emprisonné pour ses nombreuses dettes et c’est à ce moment là qu’il fit la connaissance de  M. Jourdain (Fabrice Luchini) qui avait besoin de ses talents d’auteur. En effet, Molière doit l’aider à écrire une pièce en vue de séduire la Marquise Célimène (Ludivine Sagnier) et pour cela il va venir habiter dans la demeure de la famille Jourdain. Il tombe alors sous le charme de l’épouse de M. Jourdain, Elmire (Laura Morante) dont il tente d’attirer l’attention.

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    Qui n’a jamais lu une œuvre de Molière ? Si vous vous attendiez à une biographie du prestigieux auteur français, vous faites fausse route puisque le réalisateur Laurent Tirard ne s’intéresse ici qu’à une partie de sa vie. Une période où il avait disparu ce qui a alimenté de nombreuses rumeurs et l’histoire qu’il nous propose ici n’est que pure invention mais ça n’en reste pas moins crédible. Au contraire de nombreux films d’époque, on ne se prend jamais au sérieux et l’on finit pas passer un bon moment en compagnie de Romain Duris et de l’extraordinaire Fabrice Luchini qui se plie en 4 pour nous faire rire.