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  • Le correspondant

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    Depuis la mort d’un de leurs camarades de classe, Malo (Jimmy Labeeu) et son pote d’enfance Stéphane (Léon Plazol) ont pris conscience qu’ils devaient réagir ! Ils doivent impérativement améliorer leur côte de popularité et leur dernier espoir repose sur l’arrivée de correspondants allemands. Pour peu qu’ils tombent sur un playboy ou sur une beauté fatale, leur réputation changerait du tout au tout. Malo va avoir la joie d’accueillir une correspondante mais il ne s’attendait pas à ce que Sasha (Sophie Mousel) soit le sosie de Lisbeth Salander ! D’ailleurs, elle s’est vite fait remarquer en abrégeant les souffrances de Bambi, le petit chat de la famille qui a manqué de retomber sur ses pattes.

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    Le correspondant c’est une énième comédie sur l’adolescence mettant en scène le célèbre Jimmy Labeeu. Enfin quand je dis célèbre, il faut être un peu à la page puisque ce jeune homme s’est surtout fait remarquer à travers ses chroniques diffusées sur Youtube donc circulez les vieux. Il est vrai qu’il apporte plutôt une belle énergie malheureusement cela est loin de suffire pour pallier à un scénario extrêmement basique et donc prévisible. On appréciera tout de même l’adorable Inez Desclin alias Simone qui a quelques répliques bien marrantes et elle est là pour nous rappeler que l’amour c’est comme une petite fleur, il faut l’arroser tous les jours !



    Il faut le voir pour : Éviter le Mojito Framboise !

  • Les visiteurs - La Révolution

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    Pour nos potes Godefroy de Montmirail & Jacquouille la fripouille (Jean Reno & Christian Clavier), les voyages dans le temps sont loin d’être terminés ! Après le 20ème siècle, les voilà propulsés en 1793 où la Révolution française est en train de modeler une nouvelle société et ils doivent impérativement trouver un moyen de retourner à leur époque. Ils accumulent les ennuis puisqu’à peine arrivés, Godefroy et son fidèle valet sont pris pour des anglais et condamnés à la pendaison. Dans l’attente de leur exécution, ils vont faire la connaissance de Lorenzo Baldini (Ary Abittan) en compagnie duquel ils vont parvenir à prendre la fuite. Ils rejoignent alors Adélaïde de Montmirail (Karin Viard) qui est en train de prendre la fuite avec sa famille et tout ce beau monde va alors rejoindre Paris.

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    On ne pensait pas vraiment les revoir et pourtant 18 ans après Les visiteurs 2 : Les couloirs du temps, voilà que Godefroy & Jacquouille repointent le bout de leur nez. On retrouve également à leurs cotés Jean-Marie Poiré à la réalisation et on a envie de dire que rien n’a vraiment changé pas même les blagues. Les haleines fétides et l’odeur corporel de nos voyageurs du temps font toujours leurs effets, Clavier a l’occasion de se confronter à ses doubles et puis c’est à peu près tout ce que nous propose Les visiteurs - La Révolution. Les nouveaux visages comme Sylvie Testud, Karin Viard, Alex Lutz ou encore Franck Dubosc n’apportent strictement rien si ce n’est peut-être leurs noms à l’affiche mais évitons d’en faire une polémique ! Une fin ouverte laisse entrevoir un nouvel épisode mais qui en a réellement envie aujourd'hui ?

     


    Il faut le voir pour : Découvrir pourquoi on dit Hourra au lieu d'Hosanna !

     

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  • Arrête ton cinéma !

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    Elle vient à peine d'achever le tournage d'un film que notre pote Sybille (Sylvie Testud) est déjà prête à se lancer dans un nouveau projet. C'est en fait un coup de fil d'Ingrid (Zabou Breitman) qui a précipité les choses puisqu'elle a entendu dire que l'actrice était en train d'écrire un scénario basé sur son histoire personnelle. Ingrid & Brigitte (Josiane Balasko) sont productrices et veulent miser sur ce film mais dans le métier, elles n'ont pas une très bonne réputation. Malgré cela, Sybille se lance dans l'aventure et se jette à corps perdu - au grand dam de sa famille - sur l'écriture du scénario qui va cependant subir de nombreuses modifications !

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    La réalisatrice Diane Kurys adapte le roman C'est le métier qui rentre de Sylvie Testud et cette dernière s'est naturellement imposée pour le rôle de l’héroïne. Celles que l'on remarque surtout ce sont bien évidemment Zabou Breitman & Josiane Balasko merveilleusement horribles en productrices envahissantes. Que ce soit pour dénaturer un scénario, martyriser un assistant ou piquer une colère pour une histoire de toilettes, elles savent semer la zizanie. Arrête ton cinéma ! est une comédie loin de faire dans la finesse mais qui sait tout de même se montrer par moments amusante.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier que ce qui compte dans un film ce sont ses personnages !

  • Au plus près du soleil

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    A Toulon, notre pote Sophie (Sylvie Testud) vient de mettre en examen une certaine Juliette (Mathilde Bisson) pour abus de faiblesse. C’est au cours de son interrogatoire que cette juge d’instruction va apprendre quelque chose d’incroyable puisque la femme qui se tient devant elle n’est autre que la mère naturelle de son fils Léopold (Zacharie Chasseriaud). Très vite, elle se confie à son mari Olivier (Grégory Gadebois) mais le couple décide de ne pas dévoiler la vérité à leur enfant. Alors que Sophie va tout faire pour éloigner Juliette de sa famille, Olivier décide lui de faire sa connaissance et même de lui donner un coup de main financier.

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    A vouloir cacher la vérité, ça se retourne un jour ou l'autre contre vous ! Indéniablement, nos yeux seront braqués sur Mathilde Bisson ; personnage envoûtant à la beauté incandescente mais aussi difficile à cerner. On n'oubliera pas pour autant Sylvie Testud & Grégory Gadebois qui livrent, comme souvent, une excellente performance. Au cœur de ce triangle se succèdent ainsi les mensonges qui vont nous conduire inexorablement vers un dénouement où le malaise est prégnant évoquant plus que jamais une tragédie grecque comme le suggère son titre. Une chose est sure ; les spectateurs ne sortiront pas totalement indemnes après être passés Au plus près du soleil.

     

    Il faut le voir pour : Toujours dire la vérité à vos enfants !

  • Le talent de mes amis

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    A 35 ans, la vie d'Alexandre (Alex Lutz) est déjà devenue une routine. Marié avec Carole (Anne Marivin) avec qui il essaie d'avoir un enfant, cet employé d'une compagnie d'assurances partage ses bureaux avec Jeff (Bruno Sanches) qui ne lui facilite pas toujours les choses. C'est au cours d'une formation organisée par sa boite qu'Alexandre a l'occasion de revoir un autre de ses potes d'enfance Thibaut (Tom Dingler) ; des retrouvailles qui vont changer sa vie. Du jour au lendemain il décide en effet de tout plaquer pour tenter sa chance dans sa véritable passion : la chanson ! Fortement encouragé par Thibaut, Jeff lui au contraire sent leur complicité s'éloigner.

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    Sur scène, à la télévision, au cinéma ; Alex Lutz ajoute une nouvelle corde à son arc en réalisant son premier long-métrage. A cette occasion, il a fait appel à ses potes et notamment Bruno Sanches qui n'est autre que son compère dans la pastille La revue de presse de Catherine & Liliane diffusée dans le Petit journal de Canal +. Le talent de mes amis nous présente les portraits de trentenaires bien établis qui vont soudainement voir leur vie remis en cause. Un scénario sans surprises pour une comédie assez morne où seuls quelques sourires parcourent l'histoire avec des personnages finalement assez quelconques.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de jouer aux fléchettes au bureau !

  • Sous les jupes des filles

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    Avec 4 enfants et un mari absorbé par son travail, notre pote Ysis (Géraldine Nakache) n’a que peu de temps pour elle. Une routine qu’elle va subitement bouleverser après sa rencontre avec Marie (Alice Taglioni) qui était venue garder ses enfants, c’est ainsi que leur aventure commence. Au même moment, Jo (Audrey Dana) commence à se poser des questions sur ses relations amoureuses ; il serait peut-être temps pour elle de construire quelque chose de sérieux. Pour sa sœur Agathe (Laetitia Casta), ce n’est pas vraiment plus réjouissant elle qui souffre de terribles maux de ventre lorsqu’elle se trouve trop émue. Un vrai handicap surtout quand on se trouve en face d’un bel avocat !

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    Pour sa première réalisation, Audrey Dana a mis les petits plats dans les grands en conviant à cette fête un beau casting où Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Vanessa Paradis viennent se mêler à Julie Ferrier, Alice Belaïdi ou encore Géraldine Nakache. Au premier coup d’œil Sous les jupes des filles on a donc plutôt envie de se laisser charmer malheureusement c’est la déception qui prime. En voulant donner la part belle aux femmes qui ne se seront jamais montré aussi libres, ce film choral a bien du mal à prendre forme et adopte davantage la forme d’une cascade de sketches pas toujours drôles. Avec des personnages dont le trait est parfois forcé, le film est semblable à cette scène au Trocadéro ; un feu d’artifice promis qui ne s’avère être tout au plus qu’un pétard mouillé.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais croire une femme qui jure sur la tête de ses enfants !

  • Sous les jupes des filles

    J'en connais beaucoup qui vont apprécier de se retrouver Sous les jupes des filles ! D'abord c'est la première réalisation de notre pote Audrey Dana et puis il y a un sacré casting réunissant entre autre Isabelle Adjani, Laetitia Casta, Vanessa Paradis, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache ou encore Sylvie Testud. Vraiment du beau monde !

    Date de sortie : 04 Juin 2014.


  • 96 heures

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    cinéma, film, thriller, 96 heures,  	Gérard Lanvin, Niels Arestrup, Sylvie Testud, Anne Consigny, Laura Smet, Slimane Dazi, Cyril Lecomte, Pierre Kiwitt, Frédéric Schoendoerffer

    C’est une nouvelle journée qui commence pour le Commissaire Gabriel Carré (Gérard Lanvin) mais il va avoir une désagréable surprise. Alors que sa femme Françoise (Anne Consigny) venait à peine de franchir la porte de leur appartement qu’elle est prise en otage par des hommes armés. Leur cible c’est le flic et Gabriel ferait mieux de leur obéir s’il tient à la vie de Françoise, leur objectif est de faire libérer leur boss Victor Kancel (Niels Arestrup). Une évasion planifiée dans ses moindres détails et qui se déroule sans problèmes mais le commissaire n’est pas au bout de ses peines car il va être retenu. Si Victor a plongé, il sait que c’est à cause d’un traitre et veut qu’on lui donne le nom de cette balance.

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    Face à face musclé entre Gérard Lanvin & Niels Arestrup, deux grandes figures du cinéma français le tout arbitré par Frédéric Schoendoerffer. Ça nous donne 96 heures, un thriller qui repose à la fois sur un combat psychologique et sur une histoire qui se dévoile au fil des minutes. S’il est difficile de reprocher quoi que ce soit au duo d’acteurs qui s’imposent naturellement par leur charisme, ce sont les personnages autour qui nous laissent de marbre avec un Slimane Dazi en simple valet et une Laura Smet tout aussi peu convaincante. Le réalisateur français signe donc un bon film qui a largement de quoi contenter le spectateur mais manque quand même de surprises pour remporter totalement notre adhésion.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir une garde à vue originale !

  • Pour une femme

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    C’est dans un camp de concentration en France durant la Seconde Guerre mondiale que Lena & Michel (Mélanie Thierry & Benoit Magimel) se sont rencontrés. Comme ils le disent si bien, ils se sont sauvés mutuellement de cet enfer et désormais ils coulent des jours heureux à Lyon avec leur petite fille Tania (Ondine Barry / Julie Ferrier). Un jour, un homme se présente chez eux ; il s’agit de Jean (Nicolas Duvauchelle) qui n’est autre que le frère de Michel que tout le monde croyait mort. C’est un vrai miracle de le voir revenir ainsi mais l’arrivée de Jean cache en fait une autre vérité ce que comprendra rapidement Léna qui se rapproche chaque jour en peu plus de lui jusqu’à entretenir une liaison.

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    Sylvie Testud a beau porter un prénom différent dans ce film, il ne fait pas mystère qu’elle incarne ni plus ni moins qu’une version romancée de Diane Kurys. Le spectateur est ainsi invité à découvrir le passé mouvementé des parents de la réalisatrice française, un passé riche d’abord pour son arrière-plan historique et puis par cette passion amoureuse entourant le triangle Mélanie Thierry / Benoit Magimel / Nicolas Duvauchelle. S’il n’ira pas jusqu’à déchainer les passions, le trio est solide et trouve en Clotilde Hesme & Clément Sibony des partenaires de premier choix. Une belle distribution et une histoire plutôt prenante (du moins tout ce qui se rapporte au passé) font donc de Pour une femme un bon moment de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de cuisiner le poisson avec la fenêtre ouverte !

  • Une chanson pour ma mère

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    La famille est au grand complet parce que leur mère (Michèle Moretti) n’en a plus pour très longtemps. Ses enfants Sylvie (Sylvie Testud) accompagnée de son mari Jean (Patrick Timsit) et de leur fille Adeline (Mathilde Goffart) ainsi que Michel, Antoine & Simon (Fabrizio Rongione, Sam Louwyck & Guy Lecluyse) sont tous venus à son chevet. C’est un moment difficile pour tous et cette réunion ravive quelques tensions dans la fratrie mais très vite ils se fédèrent pour offrir une dernière joie à leur mère. Il se trouve que Dave est en concert non loin de là, un artiste que leur mère adore plus que tout et on pourrait même dire qu’il fait partie de la famille. L’idée est donc de le faire venir et pour y arriver, ils ne vont rien trouver de mieux que de le kidnapper.

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    Pas la peine d’être son pote d’enfance depuis 40 ans pour apprécier Dave et je dois vous dire que j’aime beaucoup ce chanteur. Plutôt ravi donc de le voir faire ses premiers pas pour son premier vrai rôle dans une comédie assez déjantée mais qui manque tout de même de profondeur. On pense notamment à ces 3 frères animés d’un certain désamour dont on aurait bien aimé avoir un peu plus d’explications. D’autant plus dommage qu’Une chanson pour ma mère réserve tout de même 2 beaux moments d’émotion avec la fameuse rencontre entre Dave & la maman ainsi qu’une conclusion qui donne la larme à l’œil. Une bonne idée sur laquelle repose un peu trop ce premier film de Joël Franka pas tout à fait abouti.

     

    Il faut le voir pour : Commencer à penser à votre cercueil !