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rhys wakefield

  • Un amour sans fin

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    Cela fait 4 ans qu’il n’a d’yeux que pour la belle Jade (Gabriella Wilde), une jeune fille qui s’est renfermée sur elle-même depuis la disparition tragique de son frère. Notre pote David (Alex Pettyfer) va avoir l’occasion de lui avouer ses sentiments puisqu’elle l’a invité à une fête afin de célébrer l’obtention de leur diplôme. C’est un couple qui est en train de se former mais cela n’est pas du gout de Hugh Butterfield (Bruce Greenwood), le père de la jeune fille qui va le tenir à l’œil. Pourtant à ses cotés, Jade retrouve le sourire comme si elle vivait l’adolescence qu’elle n’a finalement pas eu au point qu’elle décide de repousser son stage de médecine ce qui est loin de ravir Hugh.

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    Gabriella Wilde & Alex Pettyfer sont jeunes, sont beaux, ils s’aiment et vont pouvoir avoir beaucoup d’enfants ; tout ça risquait de constituer un scénario un peu mince alors on va pimenter les choses. Il n’y a qu’à mettre un père récalcitrant et manipulateur mais qui a aussi souffert de son coté pour ne pas trop le diaboliser et voilà comment s’est monté Un amour sans fin. Pourtant au départ, j’avais envie d’y croire à cette romance mais très vite on s’aperçoit que ce film de la réalisatrice Shana Feste (qui nous avait offert le pas si mal Country strong) vogue sur des flots de niaiserie. En fait, on se croirait dans un téléfilm pour adolescent et cette candeur se montre, à notre grand malheur, elle aussi sans fin !

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder de bons rapports avec votre beau-père !

  • American nightmare

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    2022. La violence a baissé de façon drastique aux Etats-Unis grâce aux nouveaux Pères fondateurs qui ont instauré la Purge. Chaque 21 Mars et durant 12 heures, l’Etat légalise les crimes incitant ainsi chaque américain à libérer sa bestialité accumulée pour cette soirée particulière et le pays baigne ainsi dans le sang. Pour notre pote James Sandin (Ethan Hawke), la Purge lui a permis de faire fortune puisqu’il vend des systèmes de sécurité et a notamment su convaincre tout son voisinage de s’équiper. Une nouvelle nuit sanglante s’annonce ; James et sa famille vont se barricader chez eux mais un évènement inattendu va remettre en cause leur sécurité.

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    On part donc sur un principe fort et simple : pendant une nuit nos cousins américains ont le droit de laisser libre court à leurs plus vils instincts. Un scénario aussi extrême aurait donc pu donner l’occasion d’une réflexion approfondie sur l’Homme et son rapport avec la violence mais ce serait trop en demander à American nightmare. Il faudra juste se contenter d’un banal film d’épouvante-horreur où une famille cherche à survivre dans une maison où les dangers peuvent surgir de tous les cotés et qui va se transformer en champs de bataille. Ethan Hawke joue les bons pères de famille et dézingue ses assaillants mais rien d’extraordinaire à signaler pour le spectateur.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de rester aux Etats-Unis le 21 Mars.

     

    En savoir plus sur American nightmare 2 : Anarchy ?

  • Sanctum

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    Les cavernes d’Esa’Ala situé dans la jungle de la Papouasie Nouvelle-Guinée ferait rêver plus d’un spéléologue. Une fois le gouffre descendu, ce sont des dizaines de kilomètres de galeries creusées par les eaux qui sont à explorer ; un véritable paradis pour Frank McGuire (Richard Roxburgh) et son équipe. Carl Hurley (Ioan Gruffudd) finance toutes ces recherches et pour l’occasion, il a également invité sa petite-amie Victoria (Alice Parkinson) à venir explorer ces lieux où nul homme n’a encore mis les pieds. Le temps leur est cependant compté car on annonce une tempête dans la région et cette caverne pourrait donc se retrouver inondée en un rien de temps.

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    Pas besoin de se rendre sur Pandora pour admirer de beaux paysages, sur notre planète aussi il y a de belles choses à découvrir ! Produit par James Cameron fana de plongée ; Sanctum nous émerveille au cours du premier quart d’heure, on découvre la splendeur offerte par Mère nature à l’état pur. La suite du film est beaucoup moins éclatante et rejoint d’autres réalisations du même acabit que The descent ou La crypte mais avec l’aspect fantastique en moins. Un réalisme que l’on doit à l’histoire vraie vécue par Andrew Wight, proche de Cameron dont s’est inspiré le scénario de ce film qui tient plutôt bien la route.

     

    Il faut le voir pour : Garder une dent d’ours autour de votre cou, ça peut vous sauver la vie !