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  • Les jours venus

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    Dans sa 61ème année mais à toujours 60 ans, notre pote Romain Goupil (Romain Goupil) doit commencer à songer à sa retraite. Il a même pris les devants en ce qui concerne ses obsèques mais ce réalisateur réfléchit aussi à son prochain film dont il a déjà trouvé l'idée. L'histoire serait centrée sur une caméra provoquant des catastrophes mais Romain éprouve les pires difficultés à développer le récit. Et puis il faut dire également qu'il doit s'occuper de l'association de la Cité qu'il préside avec Marie (Marina Hands) et s'inquiète également de l'opération de son père qui pourrait perdre la vue.

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    Voilà un film très décalé de la part de notre pote Romain Goupil où fiction et réalité s’enchevêtrent. Ceci est d'autant plus vrai que Les jours venus présentent également des images très intimes du réalisateur puisque issues de vidéos provenant de son passé à Sarajevo. Ces séquences extrêmement personnels nous laissent dubitatifs car on se demande ce qu'elles peuvent apporter à l'histoire de ce film en plein montage. Il y a aussi cet humour particulier teinté d'un esprit un peu donneur de leçon qui ne plaira pas à tout le monde. En dépit de quelques rares scènes plutôt marrantes, l’essentiel de ce film a toutes les chances de vous laisser indifférent.

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux pianos quand vous marchez dans la rue !

  • Chic !

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    Notre pote Hélène Birk (Marina Hands) travaille dans l’univers de la mode et c’est un job qu’elle adore mais elle pourrait prochainement voir ce rêve s’écrouler. Tout dépend en fait du prochain défilé de la célèbre Alicia Ricosi (Fanny Ardant) et ça part sur de mauvaises bases puisque celle-ci parle de tout plaquer après une déception amoureuse. Hélène a alors l’idée de lui trouver dans le plus secret un homme au moins le temps de finaliser sa nouvelle collection. Son plan connait un petit accroc car Alicia va tomber sous le charme de Julien Lefort (Eric Elmosnino) et il se trouve que ce paysagiste a été congédié sans ménagement par Hélène !

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    Vous aimez rire et vous suivez la mode ? Alors cette comédie a toutes les chances de vous plaire mais c’est peut-être aller vite en besogne car Chic ! n’a rien du produit de haute-couture. En cause d’abord un scénario cousu de fil blanc de la première jusqu’à la dernière minute. La comédie de Jérôme Cornuau ne peut pas vraiment non plus compter sur Marina Hands qui se montre peu convaincante dans la peau de cette femme carriériste et égocentrique. Le reste de la galerie de personnages n’est pas non plus très réjouissant entre un Laurent Stocker quintessence du cliché, une Fanny Ardant sans saveur et puis Eric Elmosnino qui ne peut que se fondre dans le paysage en se mettant au niveau de ce marasme.

     

    Il faut le voir pour : Prendre soin de votre jardin !

  • Sous les jupes des filles

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    Avec 4 enfants et un mari absorbé par son travail, notre pote Ysis (Géraldine Nakache) n’a que peu de temps pour elle. Une routine qu’elle va subitement bouleverser après sa rencontre avec Marie (Alice Taglioni) qui était venue garder ses enfants, c’est ainsi que leur aventure commence. Au même moment, Jo (Audrey Dana) commence à se poser des questions sur ses relations amoureuses ; il serait peut-être temps pour elle de construire quelque chose de sérieux. Pour sa sœur Agathe (Laetitia Casta), ce n’est pas vraiment plus réjouissant elle qui souffre de terribles maux de ventre lorsqu’elle se trouve trop émue. Un vrai handicap surtout quand on se trouve en face d’un bel avocat !

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    Pour sa première réalisation, Audrey Dana a mis les petits plats dans les grands en conviant à cette fête un beau casting où Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Vanessa Paradis viennent se mêler à Julie Ferrier, Alice Belaïdi ou encore Géraldine Nakache. Au premier coup d’œil Sous les jupes des filles on a donc plutôt envie de se laisser charmer malheureusement c’est la déception qui prime. En voulant donner la part belle aux femmes qui ne se seront jamais montré aussi libres, ce film choral a bien du mal à prendre forme et adopte davantage la forme d’une cascade de sketches pas toujours drôles. Avec des personnages dont le trait est parfois forcé, le film est semblable à cette scène au Trocadéro ; un feu d’artifice promis qui ne s’avère être tout au plus qu’un pétard mouillé.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais croire une femme qui jure sur la tête de ses enfants !

  • Sous les jupes des filles

    J'en connais beaucoup qui vont apprécier de se retrouver Sous les jupes des filles ! D'abord c'est la première réalisation de notre pote Audrey Dana et puis il y a un sacré casting réunissant entre autre Isabelle Adjani, Laetitia Casta, Vanessa Paradis, Audrey Fleurot, Marina Hands, Géraldine Nakache ou encore Sylvie Testud. Vraiment du beau monde !

    Date de sortie : 04 Juin 2014.


  • Jappeloup

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    Dès son plus jeune âge, notre pote Pierre Durand (Guillaume Canet) a baigné dans le monde hippique enchainant les concours pour la plus grande joie de son père Serge (Daniel Auteuil). Seulement, il s’est lassé de tout cela et ambitionne maintenant de devenir avocat et une belle carrière se profilait alors pour lui. Pourtant, Pierre décidera de tout plaquer et de retourner vers sa passion : l’équitation et c’est ainsi que commence sa formidable histoire avec Jappeloup. Au départ, il ne croyait pas du tout aux capacités de ce cheval et pourtant celui-ci va le faire galoper des simples concours aux Jeux Olympiques de Séoul.

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    C’est qu’on en a bouffé du cheval … au cinéma j’entends puisqu’après le pas drôle Turf, c’est maintenant au tour de Guillaume Canet de franchir l’obstacle. Jappeloup pourrait bien être considéré comme un biopic puisqu’il revient sur la belle histoire qu’a vécue le cavalier Pierre Durand et il ne vous sera pas très difficile d’imaginer la conclusion. Il y a toute une écurie d’excellents comédiens, de bons sentiments mais ça reste quand même un film où se succèdent 2 heures durant des chevaux sautant des obstacles. Il n’est donc pas impossible que ça finisse par lasser car on n’est pas tous passionnés par l’univers hippique mais il faut reconnaitre que c’est bien fait et efficace.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de sous-estimer les petits chevaux !

  • Voyez comme ils dansent

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    Notre pote Lise (Marina Hands) est cinéaste et s’est lancée dans le projet de réaliser un documentaire sur le Canadian, un train qui assure la liaison Toronto-Vancouver. Equipée d’une petite caméra, elle va filmer tout son périple et ce voyage ne sera pas de tout repos mais pendant le trajet, elle ne cessera de penser à son ex-mari Victor Clément (James Thierrée) récemment disparu. Il était un artiste incroyable, un homme de scène qui déployait toute son énergie pour enchanter son public mais dans sa vie privée, il était parfois difficile à cerner. Après avoir été victime d’un malaise en plein milieu de son spectacle, il a rencontré Alex (Maya Sansa) dont il est tombé amoureux et s’est installé chez elle à Gatchel, au Canada. Destin ou hasard, voilà que le Canadian se trouve justement immobilisé à quelques kilomètres de cette ville et Lise décide d’appeler cette femme pour la rencontrer.

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    Voyez comme ils dansent est le portrait d’un homme qui se construit à travers les souvenirs de 2 femmes qui a profondément aimé ; les flashbacks nourrissent le film défiant toute chronologie. La grande force de la dernière réalisation de Claude Miller c’est tout d’abord James Thierrée (qui est le petit-fils de Charlie Chaplin) véritablement hypnotisant. Ses 2 partenaires ne sont pas en reste dans des registres certes différents, leur fort caractère donne lieu à de perpétuels moments de tension. Entre le personnage de Marina Hands qui arbore parfois ses airs de pimbêche et celui de Maya Sansa avec son attitude légèrement hautaine, on est toujours au bord du clash. Sans pour autant marquer nos esprits, ce voyage à bord du Canadian est donc une agréable surprise.

     

    Il faut le voir pour : Jeter toutes vos cravates vertes !

  • Une exécution ordinaire

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    On dit qu'elle possède d'étranges pouvoirs concentrés dans ses mains et pouvant apaiser les maux. Pas étonnant donc de voir les patients défiler dans le cabinet d'Anna (Marina Hands) ce qui n'est pas sans susciter la jalousie de ses confrères médecins. Un jour, elle est arrêtée puis conduite auprès d'un certain Joseph Staline (André Dussolier). A cette époque, on soupçonnait les médecins juifs d'avoir fomenté un complot si bien que Staline fit arrêter les docteurs juifs à commencer par ceux de son entourage. Il a entendu parler des pouvoirs d'Anna et l'a fait venir à son chevet afin qu'elle puisse le soigner dans le plus grand des secrets. Elle est ainsi obligée de mentir à son propre mari Vassili (Edouard Baer) afin de pouvoir le protéger.

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    Certes la transformation d'André Dussolier est admirable mais il ne suffit pas d'un simple costume et d'un peu de maquillage pour incarner celui qui fut la dictature emblématique de la Russie. Il y a un manque de charisme évident et son rapport avec le personnage d'Anna est trop fade ce qui finit par rendre son interprétation assez anodine jusqu'à frôler à certains moments le ridicule. Sans compter que le couple Edouard Baer/Marina Hands n'est pas non plus très crédible ce qui n'arrange en rien les affaires d'Une exécution ordinaire. Les premières minutes attisent notre curiosité mais on finit vite par trouver le film véritablement laborieux.

     

    Il faut le voir pour : Essayer d'être plus discrets quand vous essayez de faire un enfant !

  • Mères et filles

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    Depuis qu'Audrey (Marina Hands) s'est installée au Canada, ses visites auprès de ses parents se font rares. Il faut dire aussi que ses relations avec sa mère Martine (Catherine Deneuve) sont souvent tumultueuses et d'ailleurs à peine est-elle arrivée qu'elle part déjà s'installer non loin dans la maison de son grand-père. Sur place, en voulant réorganiser la cuisine elle fait tomber un cahier et découvre qu'il s'agit en fait du journal intime de sa grand-mère maternelle Louise (Marie-Josée Croze). Celle-ci avait abandonné sa famille du jour au lendemain et ce départ avait fait grand bruit à l'époque au village. En parcourant ce cahier, Audrey va découvrir quelles étaient les véritables motivations de sa grand-mère et déterrer un lourd secret familial.

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    Au cas où le titre du film ne vous aurait pas mis sur la voie, ce sont les femmes qui sont à l'honneur et plus précisément à travers 3 générations. La réalisatrice Julie Lopes-Curval a par ailleurs réuni un superbe trio d'actrices avec Marina Hands, Catherine Deneuve & Marie-Josée Croze. Si les séquences de flash-back se mêlent à l'histoire présente et donnent à l'ensemble une bonne dynamique, le scénario lui est emprunté. Il n'aurait pas été déplaisant d'avoir un peu plus de mystères et surprises pour conserver notre attention car on finirait presque par se laisser bercer par le bruit des vagues. Mères et filles est un drame familial qui manque de profondeur et se sauve grâce à son beau casting.

     

    Il faut le voir pour : Penser à refaire votre cuisine.