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judd hirsch

  • Sharknado 2 : The second one

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    Alors qu’ils sont à bord d’un avion qui les emmène à New York, nos potes April Wexler & Fin Shepard (Tara Reid & Ian Ziering) vont une nouvelle fois de plus échapper à la mort. L’appareil s’apprêtait à atterrir mais une violente tempête faisant voler des dizaines de requins va rendre les choses bien plus difficiles. Fin doit encore jouer les héros en prenant la place du pilote tandis qu’April se retrouve dans un état grave après avoir été attaquée par un requin. A peine le temps de se remettre de leurs émotions qu’il faut déjà se remettre à l’action car un Sharknado va très vite arriver sur New York et Ellen (Kari Wuhrer), la sœur de Fin se trouve en ville avec toute sa famille.

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    On n’en avait pas forcément rêvé mais ils l’ont quand même fait ; après le buzz provoqué par le précédent opus le studio The Asylum surfe sur la vague avec ce Sharknado 2 : The second one. Notre héros Ian Ziering répond toujours présent, Tara Reid met un peu plus la main à la pâte et les effets spéciaux sont toujours aussi pourris. Après la Californie, c’est donc New York qui se retrouve sous la menace des requins volants ; l’occasion ainsi de faire valdinguer la tête de Lady liberté, de jouer au base-ball avec les prédateurs ou encore de les trancher avec une épée de chevalier. Pas de doute, c’est le nanar que l’on attendait et c’est évidemment un excellent film à offrir à vos pires ennemis !

     

    En savoir plus sur Sharknado ?

  • Independence day

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    Tout a commencé lorsque le SETI, situé au Nouveau-Mexique a intercepté des signaux émanant de l’espace suivis par de nombreuses perturbations partout sur Terre. Ce que l’on pensait être du domaine de la science-fiction est alors devenu réalité, des vaisseaux spatiaux sont apparus et nous avons désormais la preuve que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Jusqu’à présent on ignore tout des intentions de ces extraterrestres mais on va vite découvrir qu’ils ne sont pas venus avec un esprit pacifique. Aux 4 coins du monde, l’espoir de rentrer en contact avec ces êtres venus d’ailleurs se transforme en un horrible cauchemar ; les vaisseaux ravagent tout et l’humanité pleure ses disparus. Il faut cependant réagir rapidement et c’est sous l’autorité du Président des Etats-Unis Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) que la résistance va s’organiser.

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    Œuvre incontestable dans la filmographie de Roland Emmerich ; Independence day fut le blockbuster de l’année 1996, le pop-corn movie par excellence. A l’époque, on pouvait facilement s’extasier devant les effets spéciaux accompagnant la destruction de notre bonne vieille planète mais aujourd’hui cela parait bien dérisoire. Difficile tout de même de trouver film plus patriotique que celui-là car non seulement c’est grâce aux américains que les envahisseurs sont vaincus (désolé pour le spoiler) mais leur Président va jusqu’à devenir pilote héroïque et symbole de l’hégémonie yankee. A voir pour enrichir (??) sa culture cinématographique mais un film qu’on n’aura pas forcément envie de se retaper par la suite.

  • Le casse de Central Park

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    The Tower, une résidence d’appartements luxueux où habite le gratin de New-York et c’est là que travaille notre pote Josh Kovacs (Ben Stiller). Il supervise tout de A à Z, toujours disponible pour répondre aux besoins des locataires et notamment d’Arthur Shaw (Alan Alda), magnat financier qui va bientôt faire la une des journaux. On le soupçonne en effet d’avoir organisé une immense fraude financière mais ce qui est encore plus inquiétant pour Josh, c’est qu’il lui avait confié les fonds de pension des retraites de l’ensemble des employés de la tour. La vérité est difficile à encaisser : ils se sont tous fait escroquer ! Se sentant responsable et parce qu’il a entendu dire que Shaw cacherait plus de 20 millions de dollars dans son appartement, il compte rétablir un semblant de justice.

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    Ce n’est pas pour jouer les chauvins mais le pitch de ce film rappelle un peu celui de La très très grande entreprise. Les similitudes ne vont pas plus loin puisque Le casse de Central Park joue dans une toute autre dimension et on attendait beaucoup du duo inédit Ben Stiller / Eddie Murphy. Le résultat ne sera pas à la hauteur car si cette comédie surfant sur la vague des scandales financiers et des investisseurs sans scrupules n’est pas déplaisante, elle peine par contre vraiment pour nous faire rire. On retiendra seulement la scène où la Ferrari de Steve McQueen fait un voyage mémorable dans cet immeuble sinon pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. On est loin du casse de l’année !

     

    Il faut le voir pour : Monter votre voiture dans votre appartement comme ça vous êtes sur de pas vous la faire piquer !

  • This must be the place

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    Il fut un temps où notre pote Cheyenne (Sean Penn) était une véritable rock star qui s’est même offert le luxe de chanter avec Mick Jagger ! Cette époque est désormais bien révolu, aujourd’hui il n’est plus que l’ombre de lui-même et se contente de gérer sa fortune investie en bourse. La musique est un lointain souvenir de sa vie, une passion enterrée par la disparition dramatique de 2 fans du chanteur ; un évènement qu’il ne s’est jamais pardonné. La vie de Cheyenne va de nouveau être bouleversée lorsqu’il apprend la mort de son père avec lequel il n’a pas parlé depuis près de 30 ans. Il se rend alors à New York pour lui rendre un dernier hommage et apprend à cette occasion que son père traquait un certain Aloise Lange (Heinz Lieven), un geôlier nazi.

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    Impossible de manquer le look de notre cher Sean Penn dans ce film à moins d’être myope comme une taupe. A l’image de l’apparence physique du personnage de Cheyenne, This must be the place inspire à la fois étonnement et perplexité. Certains parleront de la performance de l’acteur américain, cela ne saute pas forcément aux yeux car il ne se contente que d’arborer une tête de chien battu et de remettre en place sa mèche rebelle. En dehors de ça, pas grand-chose à retenir de ce road-movie sans grande consistance et qui laisse à penser que la place où vous devrez être n’est donc pas forcément devant ce film bien curieux et souvent fastidieux.

     

    Il faut le voir pour : Faire construire une grande piscine chez vous pour jouer au squash.