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josh gad

  • Angry Birds - Le film

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    La fête d'anniversaire qu'il était chargé d'animer a tourné au fiasco et notre pote Red est dans l'obligation de suivre aujourd'hui un stage pour canaliser sa colère. Il n'est pas le seul dans ce cas puisqu'il se retrouve aux cotés de Chuck, Bomb & Terrence mais un événement va venir bouleverser la vie de l'ile des oiseaux. Un bateau accoste avec à son bord des cochons verts et immédiatement Red se montre très méfiant vis-à-vis de ces explorateurs. Sont-ils réellement des gens bons comme ils le prétendent ou cachent-ils quelque chose ? C'est ce que Red va tenter de découvrir mais le plus difficile sera de convaincre son entourage.

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    A moins de faire partie des résistants aux smartphones et tablettes numériques, le nom d'Angry birds ne doit pas vous être totalement inconnu. Il s'agit donc à la base d'un jeu pour mobiles qui aura pris une incroyable dimension jusqu'à se marier à des univers comme Transformers ou encore Star Wars. La franchise n'est pas prête de s'éteindre puisque la conquête se poursuit désormais à travers le grand écran avec ce film d'animation et Angry Birds - Le film réussit l'essentiel à savoir ne pas nous décevoir. Un univers hautement coloré, des graphismes séduisants, quelques références cinématographiques mêlées à des jeux de mots (les gens bons m'a marqué !) ; voilà une récréation qui devrait faire la joie des petits comme des grands.

     


    Il faut le voir pour : Éviter de boire l'eau d'un lac !

  • Pixels

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    Notre planète vient de subir une attaque aussi foudroyante qu'incroyable puisque la base de Guam a été la cible de vaisseaux issus … du jeu vidéo Galaga ! Fort heureusement, Will Cooper (Kevin James) a dans sa jeunesse passé beaucoup de temps dans les salles d'arcade et il se trouve qu'il est aussi le Président des États-Unis. Pour l'aider à gérer cette crise, il a fait appel à son pote d'enfance Sam Brenner (Adam Sandler), un champion des jeux vidéos d'antan et ils vont apprendre qu'une nouvelle attaque est sur le point d'avoir lieu. Il faut en fait remonter en 1982 durant les Championnats du monde de jeu vidéo pour comprendre ce qu'il s'est passé. A cette époque, une cassette a été expédié dans l'espace et les extraterrestres ont interprété cela comme une déclaration de guerre.

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    Il faut déjà aimer les jeux vidéos et (ça me fait un peu mal de le dire) avoir un âge assez avancé pour apprécier pleinement Pixels. Pac-Man, Space Invaders ou encore Donkey Kong ; ce sont là des noms qui vont sans aucun doute faire vibrer la fibre nostalgique de certains spectateurs. Ce projet n'aurait pas vu le jour sans un français ; Patrick Jean avait en effet diffusé sur Internet en 2010 un court-métrage homonyme rendant hommage à ces icônes du jeu-vidéo. Inutile de se mentir, si vous avez eu l'occasion de le voir, il est inutile de tenter l'aventure avec cette adaptation cinématographique à laquelle le réalisateur Chris Columbus n'apporte rien. Qui sait dans 20 ans on aura peut-être droit à un remake avec Candy Crush ou Nathan Drake ?

     

    Il faut le voir pour : Se brosser les dents plus souvent, on ne sait jamais quelles rencontres vous allez faire ...

  • Le rôle de ma vie

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    Sale période pour notre pote Aidan Bloom (Zach Braff) ; non seulement sa carrière d’acteur est toujours au point mort mais surtout il vient d’apprendre que le cancer de son père Gabe (Mandy Patinkin) est revenu. Ce dernier poursuit ainsi un traitement expérimental qui lui coute cher et c’est pourquoi il ne peut plus payer l’école de ses petits-enfants Grace & Tucker (Joey King & Pierce Gagnon). Au vu de leurs difficultés financières, Aidan et sa femme Sarah (Kate Hudson) n’ont pas d’autres choix que de retirer leurs enfants de leur école et de s’essayer aux cours à domicile. Plus facile à dire qu’à faire pour ce père qui va s’improviser professeur avec plus ou moins de réussite.

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    Il aura donc fallu attendre près de 10 ans après Garden State pour que Zach Braff, héros de la série Scrubs, mène à terme sa seconde réalisation financée grâce au crowdfunding. Le rôle de ma vie est le portrait d’un acteur qui prend soudainement conscience de la fragilité de son équilibre familial qu’il pensait avoir construit. L’heure est donc à la remise en question et on se laisse séduire par des personnages attachants, à quelques situations loufoques (notamment avec le frère incarné par Josh Gad) et l’émotion est aussi au rendez-vous. Malgré quelques moments creux, c’est une comédie décalée qui fait du bien et qui mérite qu’on y jette un œil.

     

    Il faut le voir pour : Chercher les vidéos de chatons sur Youtube !

  • Jobs

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    Original, Steve Jobs (Ashton Kutcher) l’est assurément mais au milieu des années 1970, on ignore encore l’influence que va avoir ce génie qui fera d’Apple une compagnie rayonnante dans le monde entier. Armé de sa grande détermination, il conçoit avec son pote d’enfance Steve Wozniak (Josh Gad) un premier circuit de ce qui sera l’Apple I et qui sera le point de départ d’une véritable aventure, de l’émergence d’un énorme empire. Comme tous les créateurs, Steve a une vision particulière des choses et s’investit sans compter pour son travail mais tout cela a un cout ce qui ne plait pas forcément aux décisionnaires.

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    Si je vous dis Steve Jobs, vous me sortirez forcément votre Ipod ; oui il s’agit bien du génial fondateur d’Apple qui a (peut-être) révolutionné votre quotidien. Bien sur, l’homme a apporté de belles innovations technologiques mais est-ce que cela justifiait qu’on lui consacre ce biopic qui reprend sans enthousiasme les moments les plus marquants de sa vie. Un portrait qui évoque également ses cotés plus controversés mais qui sont malheureusement trop vite balayés. Trop politiquement correct, avec Jobs on a pendant 2H07 une belle promotion pour la célèbre marque à la pomme tout simplement !

     

    Il faut le voir pour : Vous promener pieds-nus si vous en avez envie !

  • Love, et autres drogues

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    Parce qu’il n’a pas su contrôler ses hormones, notre pote Jamie Randall (Jake Gyllenhaal) vient de se faire virer du magasin où il était employé. Il retrouve rapidement un job grâce à son frère qui le pistonne pour travailler pour Pfizer, une grosse compagnie pharmaceutique. Il devient ainsi le nouveau commercial et fait la tournée des médecins pour vendre du Zoloft censé remplacer le Prozac. C’est dans le cadre de ses missions qu’il rencontre pour la première fois Maggie Murdock (Anne Hathaway) atteint de Parkinson, un cas rare pour une personne de son âge. Au départ, ils s’étaient mis d’accord pour simplement passer du bon temps ensemble mais peu à peu Jamie s’aperçoit qu’il est en train de tomber amoureux.

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    Ça aurait pu être une comédie sentimentale parmi tant d’autres mais Love, et autres drogues parvient à se faire remarquer notamment par son contexte. L’action se situe dans les années 1990 et nous sommes dans les prémices d’un évènement hors-norme ; la consécration de l’or bleu que les hommes connaissent si bien, c’est la naissance du Viagra ! S’il n’y avait pas eu cet élément au scénario, il est fort à parier qu’on aurait plus vite fait d’oublier ce film même si le couple Anne Hathaway / Jake Gyllenhaal est tendre et attachant. Quelques bons moments de rigolade mais c’est certain que le film aurait mérité quelques produits dopants pour réellement nous séduire.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier que votre copain est seul chez lui avant de lui faire une "surprise" !