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johnny ward

  • This must be the place

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    Il fut un temps où notre pote Cheyenne (Sean Penn) était une véritable rock star qui s’est même offert le luxe de chanter avec Mick Jagger ! Cette époque est désormais bien révolu, aujourd’hui il n’est plus que l’ombre de lui-même et se contente de gérer sa fortune investie en bourse. La musique est un lointain souvenir de sa vie, une passion enterrée par la disparition dramatique de 2 fans du chanteur ; un évènement qu’il ne s’est jamais pardonné. La vie de Cheyenne va de nouveau être bouleversée lorsqu’il apprend la mort de son père avec lequel il n’a pas parlé depuis près de 30 ans. Il se rend alors à New York pour lui rendre un dernier hommage et apprend à cette occasion que son père traquait un certain Aloise Lange (Heinz Lieven), un geôlier nazi.

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    Impossible de manquer le look de notre cher Sean Penn dans ce film à moins d’être myope comme une taupe. A l’image de l’apparence physique du personnage de Cheyenne, This must be the place inspire à la fois étonnement et perplexité. Certains parleront de la performance de l’acteur américain, cela ne saute pas forcément aux yeux car il ne se contente que d’arborer une tête de chien battu et de remettre en place sa mèche rebelle. En dehors de ça, pas grand-chose à retenir de ce road-movie sans grande consistance et qui laisse à penser que la place où vous devrez être n’est donc pas forcément devant ce film bien curieux et souvent fastidieux.

     

    Il faut le voir pour : Faire construire une grande piscine chez vous pour jouer au squash.