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audrey lamy

  • Les invisibles

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    La sanction est tombée ; parce que les chiffres jouent contre eux le centre d’accueil L’envol est contraint de fermer ses portes. Pour des dizaines de femmes, c’est un coup de massue puisque c’était le seul lieu où elles pouvaient trouver un peu de réconfort. Une douche, un repas ou simplement un coin pour se reposer; cela suffisait à leur redonner du baume au cœur. Nos potes Manu & Audrey (Corinne Masiero & Audrey Lamy) qui travaillent au centre sont elles aussi abasourdies et se sentent impuissantes. Loin de baisser les bras, elles veulent faire tout leur possible pour que Chantal (Adolpha Van Meeraeghe), Marianne (Marianne Garcia) et les autres réussissent à retrouver du travail et pourquoi pas s’en sortir.

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    Après Discount, le réalisateur Louis-Julien Petit continue de s’engager dans un cinéma social et ce film trouve d’autant plus un écho dans nos esprits après le soulèvement des Gilets Jaunes à travers le pays. Les invisibles vient donc mettre en lumière une population en prise aux difficultés qu’elles soient d’ordres économiques, sociales ou encore familiales. La force de ce film vient de son authenticité et pour cause une bonne partie du casting est composée de véritables femmes qui ont fréquenté ces centres. l’empathie est donc au rendez-vous et on s’attache à ce film dont le seul objectif est de rendre à ces personnes une dignité qu’elles pensaient disparue. On se serait par contre bien passé du personnage d'Esteban qui, par sa naïveté excessive, détonne par rapport aux autres.

     

    Il faut le voir pour : smiley-163510_960_720.jpg

  • Angry Birds - Le film

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    La fête d'anniversaire qu'il était chargé d'animer a tourné au fiasco et notre pote Red est dans l'obligation de suivre aujourd'hui un stage pour canaliser sa colère. Il n'est pas le seul dans ce cas puisqu'il se retrouve aux cotés de Chuck, Bomb & Terrence mais un événement va venir bouleverser la vie de l'ile des oiseaux. Un bateau accoste avec à son bord des cochons verts et immédiatement Red se montre très méfiant vis-à-vis de ces explorateurs. Sont-ils réellement des gens bons comme ils le prétendent ou cachent-ils quelque chose ? C'est ce que Red va tenter de découvrir mais le plus difficile sera de convaincre son entourage.

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    A moins de faire partie des résistants aux smartphones et tablettes numériques, le nom d'Angry birds ne doit pas vous être totalement inconnu. Il s'agit donc à la base d'un jeu pour mobiles qui aura pris une incroyable dimension jusqu'à se marier à des univers comme Transformers ou encore Star Wars. La franchise n'est pas prête de s'éteindre puisque la conquête se poursuit désormais à travers le grand écran avec ce film d'animation et Angry Birds - Le film réussit l'essentiel à savoir ne pas nous décevoir. Un univers hautement coloré, des graphismes séduisants, quelques références cinématographiques mêlées à des jeux de mots (les gens bons m'a marqué !) ; voilà une récréation qui devrait faire la joie des petits comme des grands.

     


    Il faut le voir pour : Éviter de boire l'eau d'un lac !

  • Les nouvelles aventures d’Aladin

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    Parce qu’il faut bien gagner sa vie, notre pote Sam (Kev Adams) joue les Père Noël dans les grands magasins et se retrouve ainsi à raconter une histoire aux enfants. Son choix se porte sur l’histoire d’Aladin (Kev Adams) et il nous ramène jusqu’au 11ème siècle à Bagdad où ce voleur et son compère Khalid (William Lebghil) ont le loisir de dépouiller toux ceux qu’ils croisent. C’est en tentant de vendre un élixir miracle qu’Aladin va faire une rencontre inoubliable ; une jeune femme à la beauté renversante. Il l’ignore encore mais il s’agit de la Princesse Shallia (Vanessa Guide) qui s’est de nouveau enfuie du palais où complote le machiavélique Vizir (Jean-Paul Rouve).

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    Adapter le conte d’Aladin n’est pas sans risques surtout quand le cinéma français s’en charge avec en tête d’affiche notre pote Kev Adams. Fidèle à lui-même, il retrouve son complice de la série Soda William Lebghil et il y a aussi tout un tas de guest-stars et à certains moments cette comédie m’a fait penser à l’adaptation d’Alain Chabat d’Astérix. Humour absurde, anachronismes et références populaires ; il y a quand même de bonnes idées qui m’ont décroché des sourires. Le souci c’est ce que le reste du temps on a des gags répétitifs finissant à terme par devenir bien lourds. On évitera de s’attarder sur les quelques effets spéciaux du tapis volant pour se quitter en bons termes, Les nouvelles aventures d’Aladin c’est un divertissement familial sans envergure et qui n’a rien pour vendre du rêve bleu !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter avec les "Je suis ton père" !

  • Le talent de mes amis

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    A 35 ans, la vie d'Alexandre (Alex Lutz) est déjà devenue une routine. Marié avec Carole (Anne Marivin) avec qui il essaie d'avoir un enfant, cet employé d'une compagnie d'assurances partage ses bureaux avec Jeff (Bruno Sanches) qui ne lui facilite pas toujours les choses. C'est au cours d'une formation organisée par sa boite qu'Alexandre a l'occasion de revoir un autre de ses potes d'enfance Thibaut (Tom Dingler) ; des retrouvailles qui vont changer sa vie. Du jour au lendemain il décide en effet de tout plaquer pour tenter sa chance dans sa véritable passion : la chanson ! Fortement encouragé par Thibaut, Jeff lui au contraire sent leur complicité s'éloigner.

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    Sur scène, à la télévision, au cinéma ; Alex Lutz ajoute une nouvelle corde à son arc en réalisant son premier long-métrage. A cette occasion, il a fait appel à ses potes et notamment Bruno Sanches qui n'est autre que son compère dans la pastille La revue de presse de Catherine & Liliane diffusée dans le Petit journal de Canal +. Le talent de mes amis nous présente les portraits de trentenaires bien établis qui vont soudainement voir leur vie remis en cause. Un scénario sans surprises pour une comédie assez morne où seuls quelques sourires parcourent l'histoire avec des personnages finalement assez quelconques.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de jouer aux fléchettes au bureau !

  • Les souvenirs

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    Alors que notre pote Romain (Mathieu Spinosi) vient de perdre son grand-père, il apprend que sa Grand-mère (Annie Cordy) a eu un petit accident qui l’a conduit à l’hôpital. C’est son Père (Michel Blanc) qui lui a annoncé la nouvelle et qui se montre très inquiet pour sa mère au point de prendre la décision de l’envoyer en maison de retraite. Dès qu’il le peut, Romain va lui rendre visite jusqu’au jour où elle disparait sans en informer quiconque. Il faudra attendre que le jeune homme reçoive une carte postale pour découvrir que sa grand-mère est partie dans la région de son enfant à Étretat en Normandie.

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    Voilà donc le second roman de David Foenkinos à être adapté sur le grand écran et c’est notre pote Jean-Paul Rouve qui s’en charge. Avec les présences d’Annie Cordy, Chantal Lauby et Michel Blanc ; on se disait que ce casting de qualité ne pouvait pas nous décevoir hélas Les souvenirs est d’une terrible indigence. En cause d’abord un rythme incroyablement ronronnant, des personnages sans relief et des situations comiques souvent poussives (clin d’œil à William Lebghil pas très dépaysé par rapport à son rôle dans la série Soda). Tout cela fait que ce film se montre creux particulièrement en termes d’émotions et il ne risque pas de rester très longtemps dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Acheter des Twix la prochaine fois que vous irez à la station-service et en profiter pour demander quelques conseils.

  • Planes 2

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    Quel chemin parcouru par notre pote Dusty Crophopper ; de simple épandeur il est devenu champion de rallye en remportant le tour du ciel et faisant la fierté de tout Propwash Junction. Malheureusement au cours d’un de ses entrainements avec Skipper, sa boite de vitesse est gravement endommagée et il s’agit d’une pièce trop ancienne pour être remplacée. Désespéré à l’idée qu’il ne pourra plus faire de rallye, il provoque bien malgré lui un incendie qui va mettre en lumière les faiblesses des secours menés par Mayday provoquant la fermeture temporaire de Propwash Junction. Dusty va être amené à se porter volontaire pour devenir pompier mais va devoir avant cela décrocher son brevet auprès d’un certain Blade Ranger.

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    Pas de temps à perdre, moins d’un an après ses premières aventures, notre pote Dusty Crophopper fait déjà son retour sur grand écran. Toujours sous la houlette des studios DisneyToon, il n’y a pas vraiment de révolution à attendre de la part de Planes 2 et c’est bien regrettable ! Graphiquement, on est sur la même lancée que dans l’épisode précédent c’est-à-dire sympathique mais bien loin d’être transcendant et quant à l’histoire, même si elle veut rendre hommage aux pompiers, elle n’élèvera pas non plus le niveau. Bien que notre épandeur a l’occasion ici de faire la rencontre de nouveaux potes d’enfance, on ne peut pas vraiment dire qu’ils parviennent à nous mettre le feu pire c’est tellement monotone qu’on finit par trouver le temps bien long. A voir si vous adorez le héros et encore …

     

    Il faut le voir pour : Découvrir un épisode inédit de Chips !

  • La Belle et la Bête (2014)

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    Il était une fois un riche Marchand (André Dussolier) qui vivait avec ses 6 enfants et qui possédait 3 navires. Malheureusement, ces navires furent déclarés perdus en mer et du jour au lendemain cette famille a été obligée de s’installer à la campagne. Un mois plus tard, la famille apprend qu’un de leurs bateaux, la Sirène, a été retrouvé mais lorsque le marchand se rend en ville avec son fils Maxime (Nicolas Gob), il découvre que tout ce qui était à bord a été confisqué pour régler ses créances. Séparé de son fils, le marchand quittera la ville dans la précipitation en pleine soirée et au milieu de cette dense foret va se retrouver face à un somptueux château où vit une étrange Bête (Vincent Cassel) !

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    Depuis son adaptation de Crying Freeman, Christophe Gans n’a cessé de nous démontrer ses grandes ambitions cinématographiques. Il nous le prouve une fois encore en nous livrant sa version de La Belle et la Bête qui rappellera évidemment celle de Jean Cocteau réalisée en 1946 tout en proposant quelque chose de différent. On a devant nous une interprétation moderne et cela se traduit à l’écran par une surabondance d’effets spéciaux du château jusqu’à la Bête entièrement numérisée. On y trouve également les origines du Prince qui sont davantage développés à travers quelques scènes dispersées ça et là mais qui nous font aussi remarquer que Cassel est plus crédible en Bête qu’en prince charmant.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de tenir les promesses que vous faites à votre femme !

     

    En savoir plus sur La Belle et la Bête (1946) ?

  • Pauline détective

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    Cela faisait longtemps que notre pote Pauline (Sandrine Kiberlain) ne s’était pas senti aussi épanouie qu’il s’agisse de sa vie professionnelle ou sentimentale. Hélas, une rupture inattendue brise cet équilibre et cette journaliste de faits-divers n’est pas loin de la dépression. Sa sœur Jeanne (Audrey Lamy) décide donc de la prendre en main et c’est ainsi que Pauline va pouvoir se détendre lors d’un petit séjour en Italie. Enfin ça c’était avant qu’elle n’entende parler d’une série de 3 meurtres et qu’une autre femme vient justement de disparaitre dans l’hôtel où elle réside. Flairant quelques chose de louche, la journaliste va mener une enquête qui ne manquera pas de rebondissements.

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    Imaginée et réalisée par Marc Fitoussi, cette comédie policière a parfois des faux-airs d’enquête à la Agatha Christie. Sans bousculer les codes du genre et même plutôt banal à travers son dénouement précipité, Pauline détective présente toutefois une certaine vigueur grâce à son duo de comédiennes. Il y a bien évidemment une Sandrine Kiberlain irrésistiblement espiègle et puis sa sœur Audrey Lamy dont la spontanéité fait toujours aussi plaisir à voir. Si le film ne présente pas vraiment les atours d’un incontournable, on passe malgré tout de même un bon moment ce qui sera bien suffisant pour qui veut se détendre un peu.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à danser la Tarentelle !

  • Cendrillon au Far West

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    Bienvenue à Felicity City où règnent Felicity et ses 2 filles Harmony & Melody et si vous vous présentez devant elles, mieux vaut avoir sous la main un beau cadeau ! Des présents dont ne profite pas réellement notre pote Cendrillon considérée par sa belle-mère Felicity comme une vulgaire domestique mais la visite du prince Vladimir va changer beaucoup de choses. Alors que la marâtre essaie de le marier à l’une de ses filles ; le shaman Petite fumée qui a promis de veiller sur Cendrillon va la transformer afin qu’elle puisse assister au bal. La soirée se termine de façon brutale avec une bagarre générale dans le bar où notre belle héroïne va finir par perdre une dent que s’empresse de récupérer Vladimir.

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    C’est un mariage aussi curieux qu’il aurait pu donner un résultat plutôt intéressant si techniquement ou du moins du point de vue créatif ça avait suivi. C’est dur de s’imposer Cendrillon au Far West quand on a connu l’excellence des studios Blue sky ou Pixar. Non seulement ici les graphismes ne sont pas loin d’être laids mais en plus de ça la mise en scène manque cruellement de dynamisme au point qu’on a parfois l’impression que l’action se passe au ralenti. Quant à la transposition de l’univers de la célèbre héroïne de Charles Perrault ou des frères Grimm au Far West, elle s’est effectuée sans réelle volonté de nous proposer quelque chose d’original. Un film qui s’est vite transformé en citrouille flétrie.

     

    Il faut le voir pour : Essayer la Verveine !

  • Plan de table

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    Ils se sont rencontrés il y a 6 ans, c’était le grand amour entre Marie & Eric (Louise Monot & Lannick Gautry) et aujourd’hui, on s’apprête à célébrer le mariage … oui mais la jeune femme va épouser Paul (Tom Raynal) ! Pourtant, il n’y a pas 5 minutes elle était encore dans les bras d’Eric et dans la fougue de leurs ébats, ils dérangent une table d’invités. A lui la charge de remettre un peu d’ordre et en laissant son esprit vagabonder, il est en train de se dire qu’il n’y a pas de hasard dans la vie. Par exemple, s’il s’asseyait à coté de Marjorie (Audrey Lamy) est-ce que cela ne lui permettrait à terme de reconquérir la femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer ? Que se passerait-il si Edith (Shirley Bousquet) se retrouvait en compagnie de David (Arié Elmaleh), les possibilités sont infinies !

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    Le Plan de table d’un mariage n’est jamais complètement le fruit du hasard ; il faut parfois s’arracher les cheveux pour faire concorder les affinités des uns et des autres. De cette simple idée, Christelle Raynal en a fait sa première réalisation, un mélange de film choral et de réalités alternatives imaginées par notre pote Eric. A chaque disposition de table doit ainsi correspondre une histoire différente mais la facilité semble avoir été privilégiée si bien que chacune d’entre elle reste malheureusement trop semblable. Il faut aussi se rendre à l’évidence que le casting, bien que riche,  ne fonctionne pas ; il y a un manque de cohésion qui semble presque sauter aux yeux. Pas vraiment le bon plan ciné !

     

    Il faut le voir pour : Demander à jeter un coup d’œil au plan de table au prochain mariage où vous serez invité !