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harry dean stanton

  • Alien, le huitième passager

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    Au cœur de l’espace, un vaisseau spatial du nom du Nostromo se dirige vers la Terre mais les occupants sont réveillés de leur profond sommeil car une anomalie a été détectée. Selon leur ordinateur de bord Maman ; une transmission d’origine inconnue a été captée et Dallas (Tom Skerritt) et son équipage doivent y jeter un œil, un devoir qui ne réjouit pas tout le monde. Alors qu’ils posent le pied sur la planète LV-426, cette mission de reconnaissance tourne au désastre lorsque Kane (John Hurt) est attaqué par une mystérieuse créature. Alors que Ripley (Sigourney Weaver) avait refusé de le rapatrier dans le vaisseau, le reste de l’équipage ne se pose pas la question, une imprudence qui va leur couter cher !

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    Sur certains aspects il est indéniable que le chef-d’œuvre de Ridley Scott peut prêter à sourire mais Alien, le huitième passager a bel et bien marqué le cinéma américain. Ce qui n’a par contre pas pris une ride, c’est bien le design de la créature signé Hans Ruedi Giger qui en impose toujours autant ; un élément loin d’être un simple détail dans le succès de la saga. On ne peut pas non plus oublier le rôle de la vie de Sigourney Weaver, Ripley est devenu une icône en devenant la première héroïne véritable d’un film d’action à une époque où cela est loin d’être une évidence. Pour toutes ces raisons, tout amateur du 7ème art ne pourrait faire l’impasse sur cette œuvre qui allait se poursuivre à travers une saga inoubliable.

     

    La scène à ne pas louper : La naissance de l’Alien !


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  • This must be the place

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    Il fut un temps où notre pote Cheyenne (Sean Penn) était une véritable rock star qui s’est même offert le luxe de chanter avec Mick Jagger ! Cette époque est désormais bien révolu, aujourd’hui il n’est plus que l’ombre de lui-même et se contente de gérer sa fortune investie en bourse. La musique est un lointain souvenir de sa vie, une passion enterrée par la disparition dramatique de 2 fans du chanteur ; un évènement qu’il ne s’est jamais pardonné. La vie de Cheyenne va de nouveau être bouleversée lorsqu’il apprend la mort de son père avec lequel il n’a pas parlé depuis près de 30 ans. Il se rend alors à New York pour lui rendre un dernier hommage et apprend à cette occasion que son père traquait un certain Aloise Lange (Heinz Lieven), un geôlier nazi.

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    Impossible de manquer le look de notre cher Sean Penn dans ce film à moins d’être myope comme une taupe. A l’image de l’apparence physique du personnage de Cheyenne, This must be the place inspire à la fois étonnement et perplexité. Certains parleront de la performance de l’acteur américain, cela ne saute pas forcément aux yeux car il ne se contente que d’arborer une tête de chien battu et de remettre en place sa mèche rebelle. En dehors de ça, pas grand-chose à retenir de ce road-movie sans grande consistance et qui laisse à penser que la place où vous devrez être n’est donc pas forcément devant ce film bien curieux et souvent fastidieux.

     

    Il faut le voir pour : Faire construire une grande piscine chez vous pour jouer au squash.