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john goodman

  • 10 Cloverfield lane

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    Notre pote Michelle (Mary Elizabeth Winstead) a pris une décision difficile en quittant Ben (Bradley Cooper) et a ainsi pris la route lorsqu’elle a été victime d'un accident. A son réveil, la jeune femme s'aperçoit qu'elle est retenue captive du moins c'est ce qu'elle pense dans un premier temps. Apparait alors Howard (John Goodman) qui l'a secouru et soigné, celui-ci lui annonce alors une terrible nouvelle. Il y a eu une attaque foudroyante et on ignore encore s'il s'agit d'une déclaration de guerre d'un autre pays ou d'une menace extraterrestre. Toujours est-il que l'air est devenu toxique et que Michelle va devoir rester dans ce bunker en compagnie d'Howard mais aussi d'Emmett (John Gallagher Jr.).

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    Il s'agissait d'une des affaires rentables de l'année 2008, Cloverfield avait su piquer la curiosité des spectateurs et on n'est pas vraiment surpris de voir un nouveau volet débarquer. Un épisode toutefois assez différent d'abord avec la réalisation de Dan Trachtenberg qui laisse de côté le Found-footage pour une réalisation plus classique. Surtout 10 Cloverfield lane introduit de nouveaux personnages qui se dévoilent au cours d'un huis-clos où la tension va grandissant. Avec une pointe d'action dans ses derniers instants, le film sait donc se montrer plutôt divertissant sans pour autant marquer nos mémoires.

     


    Il faut le voir pour : Penser à ajouter un bunker si vous faites construire votre maison !

     

    En savoir plus sur Cloverfield ?

  • Coyote girls

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    Afin de poursuivre son rêve de devenir artiste, notre pote Violette Sanford (Piper Perabo) est partie s’installer à New York laissant ainsi derrière elle son père William (John Goodman). Les premiers temps sont durs et puis la jeune compositrice va finir par se faire engager au Coyote Ugly, un bar tenu par Lil (Maria Bello). Violette s’apercevra vite que son nouveau job ne consiste pas simplement à étancher la soif des clients ; les Coyotes sont surtout là pour faire le show ! De nature plutôt timide, celle que l’on appelle désormais Jersey va faire étalage de tous ses talents et notamment faire entendre sa voix.

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    Une jeune provinciale débarque en ville avec des rêves plein la tête, cette histoire on la connait par cœur et s’y ajoute ici un coté sexy. Non seulement les Coyote girls vous servent à boire (et pas de l’eau s’il vous plait !) mais en plus de ça elles égayent les soirées en faisant de belles danses sur le bar. Histoire de ne pas rendre le film trop misogyne, on a le personnage de Rachel qui se fait remarquer par son caractère violent. Quant à notre héroïne ; elle fait une belle rencontre amoureuse, réussit à s’imposer par ses dons de chanteuse, passe par des moments de doute tout ça secouer au shaker et cela donne un cocktail assorti d’un Happy end sans réel intérêt. A consommer avec modération !

  • Monuments men

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    1944. Les forces alliées se rassemblent et la victoire ne semble plus n’être qu’une question de temps mais notre pote Frank Stokes (George Cloooney) est lui préoccupé par le sort réservé aux œuvres d’art par les allemands. Adolf Hitler a pour ambition de faire construire un immense musée dans sa ville natale en Autriche et a par conséquent besoin de le remplir. Ce sont ainsi des milliers de peintures, statues ou encore des livres qui sont subtilisés par ses soldats et c’est là qu’entre en scène Frank et ses Monuments men. Leur mission est de retrouver la trace de ces trésors et surtout de les restituer aux vrais propriétaires mais la guerre n’est pas achevée et le danger reste omniprésent.

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    Si vous êtes un adepte des musées alors voilà un film que vous ne pouvez pas manquer ! A l’initiative de George Clooney réalisateur mais aussi acteur sur ce coup, c’est un bel hommage aux Monuments men qui est offert ici ; des hommes qui auront risqué leur vie pour l’amour de l’art. Bénéficiant d’un casting riche et séduisant, le récit est assez vivant par sa construction par petites touches portées par des binômes avec une préférence pour la paire Bill Murray / Bob Balaban. Voilà donc un bon film porté essentiellement par son scénario passionnant et qui lève un voile important sur un évènement historique méconnu.

     

    Il faut le voir pour : Prévoir une prochaine visite aux musées !

  • Inside Llewyn Davis

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    New York 1971. Llewyn Davis (Oscar Isaac) traverse une période difficile du point de vue financier et pour le moment il s’en sort en squattant les canapés de ses potes d’enfance. C’est encore le cas chez Jim & Jean (Justin Timberlake & Carey Mulligan) mais il va avoir une sacrée surprise en apprenant que cette dernière est enceinte. La mauvaise nouvelle c’est qu’il pourrait être le père et il n’avait vraiment pas besoin de ça actuellement. Son premier disque enregistré ne se vend pas du tout et avec un agent comme Mel (Jerry Grayson), il se demande s’il est vraiment entre de bonnes mains. Difficile pour lui de percer en solo surtout quand tout son entourage ne fait que lui rappeler son ancien partenaire Mike.

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    Pas toujours amateur du cinéma d’Ethan & Joel Cohen, je dois tout de même reconnaitre que cette fois le charme a agi. Avec Inside Llewyn Davis il est d’abord question de musique et nos oreilles sont là pour témoigner ; la bande originale est excellente et contribue au plaisir qu’on prend devant ce film. A travers ce portrait, on ne peut pas pousser non plus à coté de la performance d’Oscar Isaac (pour son premier grand rôle) à la fois égoïste et émouvant qui réussit à emporter le spectateur dans sa quête existentielle. En plus de ça, il est extrêmement bien accompagné avec Carey Mulligan, Justin Timberlake et le ténébreux Garrett Hedlund.

     

    Il faut le voir pour : Amener votre chat avec vous pour vos prochains voyages !

  • Inside Llewyn Davis

    Avec Inside Llewyn Davis, on va assister aux retours de Joel & Ethan Coen qui mettent en scène Oscar Isaac, un chanteur de Folk car oui la Folk c'est de la musique. Pas évident de vivre de cette passion mais ils sera bien entouré avec Carey Mulligan, John Goodman ou encore Justin Timberlake.

    Date de sortie : 06 Novembre 2013.


  • Monstres Academy

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    Depuis qu’il est tout petit, notre pote Bob Razowski en avait rêvé : il savait qu’un jour il intégrerait la prestigieuse Monstres Université et ce jour est arrivé ! La route pour devenir terreur d’élite est encore longue mais c’est un élève studieux qui ne ménage pas ses efforts contrairement à Jacques P. Sullivent dont la réputation de sa famille l’a précédé. Entre les deux va s’installer une compétition féroce mais à leur grande surprise, ils sont tous les deux renvoyés par la doyenne Hardscrabble. Leur seule solution pour être reconnus comme les monstres les plus effrayants sera de participer aux jeux de la peur avec l’objectif de les remporter pour réintégrer le cursus de terreur. C’est ainsi que tous deux rejoignent la confrérie des Oozma Kappa qui ne fait pas peur à grand monde !

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    Monstres & Cie est l’un des joyaux de chez Pixar et il était tout naturel de le voir briller à nouveau 11 ans après avec une nuance cependant puisqu’on a droit ici à un prequel. Monstres Academy revient donc sur les jeunesses de nos potes Sulli & Bob lorsqu’ils étaient encore sur les bancs de l’université et surtout rivaux ! Si vous êtes familiers avec la culture américaine, vous ne serez pas dépaysés avec ce monde étudiant fait de fêtes, de confréries et de compétitions. Outre le bonheur de retrouver nos 2 héros, les fans de la première heure auront aussi la joie de revoir d’autres visages (ou silhouettes) bien connus. Drôle, fun les retrouvailles sont inéluctables et pour d’autres ce sera l’occasion d’entrer de plein pied dans ce monde monstrueux ; Coup de cœur Ciné2909 quoi !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas faire de bruit à la bibliothèque sinon …

  • Very bad trip 3

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    Même s’il ne s’en rend pas vraiment compte, Alan (Zach Galifianakis) traverse une sale période aussi ses potes d’enfance décident-ils d’intervenir. Phil, Stu & Doug (Bradley Cooper, Ed Helms & Justin Bartha) réussissent à le convaincre ainsi de se faire soigner dans un institut spécialisé en Arizona mais en cours de route ils vont avoir une très mauvaise surprise. Ils sont arrêtés par Marshall (John Goodman), un truand à la recherche de Leslie Chow (Ken Jeong) qui lui a dérobé rien moins que 21 millions de dollars en lingots d’or. Sachant que Chow est encore en contact avec Alan, il veut que la meute le trouve et le capture sans quoi Marshall n’hésitera pas à exécuter Doug.

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    La meute est de retour et cette fois c’est le final et franchement on espère que ce sera bien le cas. Après un second épisode qui avait des allures de Copier / Coller, on attendait autre chose de ce Very bad trip 3 et sur ce point, on pourra au moins se satisfaire d’un scénario plus original ce qui n’était en même temps pas très difficile. Ce qui est moins réjouissant, c’est qu’on a l’impression qu’ils ont oublié d’y mettre l’humour des épisodes précédents. Ok c’est amusant mais on est vraiment loin des crises de rires d’antan, la gueule de bois est bel et bien terminée ; on devra juste se contenter du plaisir de revoir nos potes c’est une maigre consolation !

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions avant de voyager avec une girafe.


    En savoir plus sur
    Very bad trip ?

    En savoir plus sur Very bad trip 2 ?


  • Flight

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    C’était un petit vol entre Orlando & Atlanta qui attendait notre pote le Capitaine Whip Whitaker (Denzel Washington) avant un jour de repos bien mérité. Ce pilote va cependant vivre un véritable enfer car au moment où l’appareil atteignait sa destination, un problème met en péril les 102 passagers dont  5 membres d’équipage. Le SouthJet 227 pique soudainement du nez et grâce à son sang-froid et à une manœuvre insensée, il parvient à empêcher le crash. S’il n’a pu sauver la vie de 6 personnes, il a évité une catastrophe et devient ainsi un héros bien que le public ignore que Whip était à ce moment-là totalement ivre !

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    Bon déjà si vous devez prendre l’avion dans les prochains jours, il vaudrait peut-être mieux éviter ce film de Robert Zemeckis. Flight c’est le portrait d’un pilote d’avion qui aime planer que ce soit au sens propre comme au sens figuré et qui doit se remettre en question. Après une scène de crash plutôt palpitante, le film s’arrête ensuite sur ce "héros" peu commun et bien que ça s’étale un peu en dialogues, avec l’impeccable Denzel Washington on ne voit pas le temps passer. Il y a aussi du beau monde à ses cotés à commencer par Kelly Reilly, Don Cheadle ou encore John Goodman qui apportent un peu d’animation. Sans atteindre le 7ème ciel, le film se repose entièrement sur son acteur principal.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre pilote d’avion de passer l’alcotest avant le décollage !

  • Une nouvelle chance

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    Recruteur chez les Braves d’Atlanta, Gus Lobel (Clint Eastwood) a des années d’expérience derrière lui et sait repérer les futurs champions de baseball quand il en voit un ! Malheureusement pour lui, il se découvre une vue défaillante, un terrible handicap pour son travail d’autant plus qu’on cherche à le remplacer. Son pote d’enfance Pete Klein (John Goodman) pressent qu’il y a quelque chose qui le dérange et demande ainsi à Mickey (Amy Adams), la fille de son ami de l’accompagner pour son prochain voyage en Caroline du Nord afin de superviser un certain Bo Gentry (Joe Massingill). Les relations entre Gus et sa fille ont été marquées par l’absence d’une femme et d’une mère trop vite disparue mais il y a aussi une profonde blessure qui les a longtemps tenus à distance.

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    Un Clint Eastwood irascible, on n’a pas déjà vu ça quelque part ? Ça deviendrait presque redondant mais quand en plus le scénario se permet d’y ajouter une rivalité ressassée entre les compétences d’un homme face à la technologie ça devient franchement gonflant. N’oublions pas non plus le personnage de Justin Timberlake qui a la panoplie complète du parfait gendre et qui revient miraculeusement pour le (attention spoiler !!) happy end de circonstance. Et puis le thème du baseball ne trouvera pas forcément un intérêt auprès des spectateurs qui ne donneront pas Une nouvelle chance à ce film.

     

    Il faut le voir pour : Visiter les hôtels pour trouver les champions de demain !

  • Argo

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    1979. Après avoir été chassé du pouvoir par son peuple, le Shah a trouvé refuge aux Etats-Unis mais les iraniens veulent le juger. Pour se faire entendre, des manifestations sont organisées et l’une d’entre elles va dégénérer en une prise d’otage. Le 04 Novembre, l’ambassade américaine est prise d’assaut mais 6 diplomates parviennent à s’enfuir et à trouver refuge auprès de l’ambassade canadienne. A tout moment ils sont susceptibles d’être découverts et d’être confondus comme des espions aussi envisage-t-on leur extradition. Il faudra attendre plus de 2 mois  avant qu’un plan ne soit mis en œuvre à travers le projet insensé de Tony Mendez (Ben Affleck) : faire passer ces diplomates pour une équipe de cinéma.

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    Ce n’est vraiment plus une surprise, dès que notre pote Ben Affleck passe derrière la caméra ça donne un bon film ! Inspiré de la véritable aventure de l’agent de la CIA Tony Mendez, une histoire rendue publique en 1997, qui est tout bonnement incroyable. Coté réalisation, on est admiratif devant le soin apporté à la reconstitution des évènements et le générique de fin est là pour finir de nous en convaincre. Un bémol tout de même, les faits historiques sont réduits en un simple résumé dans l’introduction du film et il aurait été bien appréciable que cet aspect soit un peu plus développé. On passera aussi sous silence son dénouement tellement évident pour ne retenir d’Argo qu’un divertissement réussi.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à monter un faux film mais qui inspirera plus tard un vrai film !