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scott eastwood

  • Texas Chainsaw 3D

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    Heather (Alexandra Daddario) tombe de haut lorsqu’elle apprend la mort d’une grand-mère qu’elle ne connaissait pas et ses parents lui révèlent alors qu’elle a été adoptée. Afin de mettre un peu d’ordre dans cette histoire, elle part à Newt au Texas avec ses potes d’enfance Nikki, Ryan & Kenny (Tania Raymonde, Trey Songz & Keram Malicki-Sanchez) où l’attend la maison dont elle a hérité. Elle est encore loin de se douter qu’elle ne connait qu’une partie de la vérité car sa vraie famille, les Sawyer, est tristement connue dans la région. Des années auparavant, un terrible incendie provoquée par les habitants de la ville a décimé les membres de cette famille mais on ignorait qu’il restait en fait un survivant.

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    Plus connu chez nous sous le titre de Massacre à la tronçonneuse, ce nouvel épisode n’est pas un remake puisqu’on y a déjà eu droit ; ce Texas Chainsaw 3D se veut donc une suite directe de l’épisode originale de 1974. Ce n’est pas pour autant qu’on allait échapper à l’habituel groupe de jeunes constitué de nanas bien carrossées et de mecs musclés réunis pour se faire gentiment trucider. Le seul intérêt de cet épisode c’est évidemment cette exploitation en 3D qui permet aux spectateurs de voir d’un peu plus près la chaine de tronçonneuse de notre pote Leatherface ce qui est bien loin de justifier le prix d’un billet de cinéma. Du déjà-vu à réserver aux fans du genre.

     

    Il faut le voir pour : Préparer des crêpes si vous voulez emballer !

  • Chasing Mavericks

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    Fasciné par la mer, notre pote Jay Moriarty (Cooper Timberline / Jonny Weston) a échappé de peu à la noyade alors qu’il n’était encore qu’un enfant. Le destin a mis sur son chemin Frosty Hesson (Gérard Butler) qui lui sauva la vie mais surtout qui allait devenir dans le même temps un véritable modèle. Désormais adolescent, Jay est devenu un bon surfeur et un soir intrigué, il décide de suivre Frosty. C’est à cette occasion qu’il fait une découverte phénoménale ; les Mavericks, ces vagues gigantesques ne sont pas un mythe ! Dès lors, il n’a plus qu’une seule envie : surfer sur ces vagues mais avant de s’y attaquer, il faudra qu’il suive un entrainement intensif durant 12 semaines.

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    Il n’y a que les spécialistes du surf qui doivent connaitre Jay Moriarty, jeune surfeur de Californie qui s’est fait connaitre pour avoir maitrisé le Maverick’s point à seulement 16 ans. Chasing Mavericks se présente donc comme un bon vieux biopic bien romancé avec son lot de tragédies et bien sur la naissance d’un surfeur exceptionnel. Si l’on apprécie l’hommage qui lui est rendu, en tant que spectateur on aurait été bien plus sensible avec un documentaire plutôt que de nous imposer un film qui ne fera pas de grandes vagues. Il y a de belles images qui impressionnent tout comme les séquences de surf finalement les seuls éléments qui ne prennent pas l’eau.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous entrainer à rester sous apnée quand vous êtes en cours !

  • Une nouvelle chance

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    Recruteur chez les Braves d’Atlanta, Gus Lobel (Clint Eastwood) a des années d’expérience derrière lui et sait repérer les futurs champions de baseball quand il en voit un ! Malheureusement pour lui, il se découvre une vue défaillante, un terrible handicap pour son travail d’autant plus qu’on cherche à le remplacer. Son pote d’enfance Pete Klein (John Goodman) pressent qu’il y a quelque chose qui le dérange et demande ainsi à Mickey (Amy Adams), la fille de son ami de l’accompagner pour son prochain voyage en Caroline du Nord afin de superviser un certain Bo Gentry (Joe Massingill). Les relations entre Gus et sa fille ont été marquées par l’absence d’une femme et d’une mère trop vite disparue mais il y a aussi une profonde blessure qui les a longtemps tenus à distance.

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    Un Clint Eastwood irascible, on n’a pas déjà vu ça quelque part ? Ça deviendrait presque redondant mais quand en plus le scénario se permet d’y ajouter une rivalité ressassée entre les compétences d’un homme face à la technologie ça devient franchement gonflant. N’oublions pas non plus le personnage de Justin Timberlake qui a la panoplie complète du parfait gendre et qui revient miraculeusement pour le (attention spoiler !!) happy end de circonstance. Et puis le thème du baseball ne trouvera pas forcément un intérêt auprès des spectateurs qui ne donneront pas Une nouvelle chance à ce film.

     

    Il faut le voir pour : Visiter les hôtels pour trouver les champions de demain !