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bradley cooper

  • La mule

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    Les fleurs passionnent notre pote Earl (Clint Eastwood) et cela lui accapare tout son temps aux dépens de sa famille. Non seulement son couple n’y a pas survécu mais il n’a même pas daigné se rendre au mariage de sa fille unique Iris (Alison Eastwood). Celle-ci ne lui a d’ailleurs pas pardonné et ne lui a pas adressé la parole depuis 12 ans. Les malheurs s’abattent pour ce vieil homme ; il n’arrive plus à vivre avec la vente de ses fleurs victime de la concurrence apparue avec Internet. Aux abois financièrement, quelqu’un va lui proposer un travail qui pourrait lui rapporter gros. La seule chose qu’il a à faire est de conduire et de livrer la marchandise mais ceux qui l’emploient ne sont rien d’autres que des membres d’un cartel mexicain !

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    Il n’est pas prêt à prendre sa retraite, notre pote Clint Eastwood fait son retour à double titre puisqu’on le retrouve aussi bien derrière que devant la caméra. La mule s’inspire de la véritable histoire de Leo Sharp, un horticulteur qui fut le passeur de drogues le plus insoupçonnable aux yeux du monde. Outre cet improbable scénario, le film doit beaucoup au caractère de ce vétéran qui n’a pas de filtres lorsqu’il s’agit de s’exprimer donnant ainsi quelques situations cocasses. Ce qui est un peu moins réussi, c’est que le suspense tourne vite court ; on comprend rapidement où va nous mener l'enquête parallèle menée conjointement par Bradley Cooper & Michael Peña. Sans être exceptionnel, le film se montre réussi en grande partie grâce au charisme éternel de son interprète principal.


    Il faut le voir pour : Regarder sur Google comment on change une roue tant que vous avez du réseau !

  • 10 Cloverfield lane

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    Notre pote Michelle (Mary Elizabeth Winstead) a pris une décision difficile en quittant Ben (Bradley Cooper) et a ainsi pris la route lorsqu’elle a été victime d'un accident. A son réveil, la jeune femme s'aperçoit qu'elle est retenue captive du moins c'est ce qu'elle pense dans un premier temps. Apparait alors Howard (John Goodman) qui l'a secouru et soigné, celui-ci lui annonce alors une terrible nouvelle. Il y a eu une attaque foudroyante et on ignore encore s'il s'agit d'une déclaration de guerre d'un autre pays ou d'une menace extraterrestre. Toujours est-il que l'air est devenu toxique et que Michelle va devoir rester dans ce bunker en compagnie d'Howard mais aussi d'Emmett (John Gallagher Jr.).

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    Il s'agissait d'une des affaires rentables de l'année 2008, Cloverfield avait su piquer la curiosité des spectateurs et on n'est pas vraiment surpris de voir un nouveau volet débarquer. Un épisode toutefois assez différent d'abord avec la réalisation de Dan Trachtenberg qui laisse de côté le Found-footage pour une réalisation plus classique. Surtout 10 Cloverfield lane introduit de nouveaux personnages qui se dévoilent au cours d'un huis-clos où la tension va grandissant. Avec une pointe d'action dans ses derniers instants, le film sait donc se montrer plutôt divertissant sans pour autant marquer nos mémoires.

     


    Il faut le voir pour : Penser à ajouter un bunker si vous faites construire votre maison !

     

    En savoir plus sur Cloverfield ?

  • Joy

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    Enfant, notre pote Joy (Isabella Cramp / Jennifer Lawrence) avait un goût prononcé pour les inventions. Elle avait même mis au point un collier pour chiens qui aurait pu tout changer mais le divorce de ses parents a tout bouleversé. Restée auprès de sa mère Terry (Virginia Madsen) qui passe toutes ses journées devant la télévision à suivre ses soaps, elle donne aussi un coup de main à son Père (Robert De Niro). Coté vie privée, elle a connu un mariage éphémère avec Tony (Edgar Ramirez) ; union de laquelle ils ont donné naissance à 2 enfants. Aujourd'hui divorcés, ils sont restés proches au point de vivre sous le même toit mais Joy semble avoir perdu tous ses rêves jusqu'au jour où vient l'idée exceptionnelle !

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    Inspiré par le parcours de Joy Mangano, David O. Russel a ainsi voulu rendre hommage à une grande femme. A partir de là, un destin exceptionnel va se dévoiler devant nous avec l'invention d'un objet révolutionnaire (qui pourraient être une découverte pour certains!) mais c'est un peu à l'image du film c'est-à-dire pas très passionnant. Niveau casting, le réalisateur a convoqué ses anciens potes d'Hapiness Therapy avec le trio Jennifer Lawrence, Robert De Niro & Bradley Cooper mais là aussi tout reste assez quelconque. En dehors de cette famille dysfonctionnelle qui réussit à apporter un peu d'animation, il faut bien reconnaître que Joy est assez ennuyeux.

     


    Il faut le voir pour : Trouver le cadeau idéal pour la Saint-Valentin !

  • A vif !

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    Le nom d'Adam Jones (Bradley Cooper) était autrefois connu dans le milieu culinaire mais après avoir été récompensé par 2 étoiles au guide Michelin, il a tout gâché ! Il a ainsi quitté la France et durant 3 ans, il ne s'est contenté que d'ouvrir des huîtres en Louisiane jusqu'à aujourd'hui où il veut plus que tout relancer sa carrière. Le voilà à Londres où il va se faire engager dans le restaurant de son pote Tony (Daniel Brühl) avec l'objectif annoncé d'obtenir sa 3ème étoile. Pour composer sa brigade, il va faire appel à ceux avec qui il a travaillé auparavant mais va également débaucher de jeunes talents comme Helene (Sienna Miller).

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     La gourmandise appelle une nouvelle fois les spectateurs dans les salles. A vif ! Nous invite donc à suivre le retour au premier plan d'Adam Jones, personnage qui sait se montrer aussi attachant qu'il est arrogant. Un scénario somme toute assez fade mais qui est compensé par une réalisation plutôt dynamique de la part de notre pote John Wells enrobée par des images qui pourrait rapidement vous donner l'eau à la bouche. Un film totalement convenu mais qui n'en reste pas moins plaisant surtout qu'en plus il réunit du beau monde comme Emma Thompson, Daniel Brühl, notre pote Omar Sy, Riccardo Scamarcio ou encore un passage furtif d'Uma Thurman.

     

     
    Il faut le voir pour : Connaître le protocole qui vous fera passer pour des critiques du guide Michelin !

  • American bluff

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    Fils de vitrier, notre pote Irving Rosenfeld (Christian Bale) a repris l’activité de son père mais s’est surtout diversifié en faisant l’acquisition de quelques pressings et surtout en montant de belles arnaques. Un jour, il rencontre Sydney Prosser (Amy Adams) et ça semble être un vrai coup de foudre à tel point qu’il décide de lui révéler toute la vérité sur ses activités. Il trouve ainsi non seulement l’amour mais aussi une nouvelle partenaire qui va l’aider à monter ses combines. Le duo fonctionne à merveille jusqu’au moment où ils attirent dans leurs filets un certain Richie DiMaso (Bradley Cooper) qui se trouve être un agent de la CIA. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, ça va être le début d’une improbable collaboration.

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    Inspiré en partie par une histoire vraie, American bluff brille d’abord par son beau casting puisqu’on retrouve autour de ce trio Robert De Niro, Jeremy Renner ou encore Jennifer Lawrence. Très vite cependant, le film de David O. Russel (Happiness Therapy, Fighter …) perd de son éclat car l’histoire s’étire sur 2H18 et, sans véritables rebondissements, il est difficile de ne pas trouver parfois le temps long. Même si la transformation de Bale est bluffante, qu’on prend plaisir (ça ne sera peut-être pas le cas pour tout le monde) à avoir le regard plongé dans le décolleté d’Adams ; on finit surtout par se dire qu’on est passé à coté de quelque chose qui aurait pu être bien plus fun.

     

    Il faut le voir pour : Vous demander si vous n’auriez rien oublié au pressing !

  • Very bad trip 3

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    Même s’il ne s’en rend pas vraiment compte, Alan (Zach Galifianakis) traverse une sale période aussi ses potes d’enfance décident-ils d’intervenir. Phil, Stu & Doug (Bradley Cooper, Ed Helms & Justin Bartha) réussissent à le convaincre ainsi de se faire soigner dans un institut spécialisé en Arizona mais en cours de route ils vont avoir une très mauvaise surprise. Ils sont arrêtés par Marshall (John Goodman), un truand à la recherche de Leslie Chow (Ken Jeong) qui lui a dérobé rien moins que 21 millions de dollars en lingots d’or. Sachant que Chow est encore en contact avec Alan, il veut que la meute le trouve et le capture sans quoi Marshall n’hésitera pas à exécuter Doug.

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    La meute est de retour et cette fois c’est le final et franchement on espère que ce sera bien le cas. Après un second épisode qui avait des allures de Copier / Coller, on attendait autre chose de ce Very bad trip 3 et sur ce point, on pourra au moins se satisfaire d’un scénario plus original ce qui n’était en même temps pas très difficile. Ce qui est moins réjouissant, c’est qu’on a l’impression qu’ils ont oublié d’y mettre l’humour des épisodes précédents. Ok c’est amusant mais on est vraiment loin des crises de rires d’antan, la gueule de bois est bel et bien terminée ; on devra juste se contenter du plaisir de revoir nos potes c’est une maigre consolation !

     

    Il faut le voir pour : Prendre vos précautions avant de voyager avec une girafe.


    En savoir plus sur
    Very bad trip ?

    En savoir plus sur Very bad trip 2 ?


  • Happiness Therapy

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    Il y a 8 mois, notre pote Pat Solitano (Bradley Cooper) a surpris sa femme Nikki (Brea Bee) avec un autre homme et il a alors littéralement pété les plombs. On a alors découvert qu’il souffrait depuis longtemps de bipolarité et c’est ainsi qu’il a été traité dans un hôpital psychiatrique jusqu’à aujourd’hui où il peut enfin retrouver son foyer. Cette sortie n’a-t-elle pas été prématurée ? On serait tenté de le croire lorsque Pat s’amuse à réveiller ses parents à 4 heures du matin pour évoquer la vision pessimiste d’Hemingway. Alors qu’il essaie de sauver son mariage, il fait la connaissance de Tiffany (Jennifer Lawrence) au cours d’un diner et elle aussi a traversé des épreuves difficiles ces derniers temps.

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    Ce n’est pas tous les jours qu’un film s’intéresse au sujet de la bipolarité et le réalisateur David O. Russell adapte en fait pour l’occasion le livre de Matthew Quick. Un thème qui malheureusement s’efface au bout de 30 minutes pour mieux laisser place à une comédie romantique bien plus classique. L’atout charme d’Happiness Therapy doit beaucoup au duo Lawrence / Cooper vraiment délicieux et aussi très bien entouré avec notamment un superstitieux Robert De Niro. Ce beau monde permet ainsi de faire passer la pilule d’un scénario cousu de fil blanc avec plus de facilités mais l’essentiel est qu’un agréable moment vous attend !

     

    Il faut le voir pour : Eviter le maillot de foot pour un diner !

  • Les sorties du 30 janvier

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    A la veille d’une nouvelle grève qui va en enchanter plus d’un et généralement pour éviter la foule qui se presse pour rentrer à la maison, j’aime bien me réfugier au cinéma. Belle actualité encore cette semaine avec d’abord Happiness therapy où notre pote Bradley Cooper tente de reprendre une vie normale après avoir passé quelques temps dans un institut psychiatrique. Il veut notamment essayer de reconquérir sa femme et va recevoir l’aide de la belle Jennifer Lawrence.

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  • Hit & run

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    Bénéficiant du programme de protection des témoins, notre pote Yul Perrkins (Dax Shepard) vit désormais dans une petite ville où il a rencontré l’amour. Elle s’appelle Annie (Kristen Bell) et vient de se voir proposer le poste de ses rêves en Californie. Le plus malheureux des hasards veut que c’est justement dans cette partie des Etats-Unis que Yul a eu quelques soucis aussi ne tient-il pas spécialement à y retourner. N’écoutant que son cœur, il accepte toutefois de l’accompagner à Los Angeles sans se douter une seule seconde qu’il aura à ses trousses son ancien associé Alex Dmitri (Bradley Cooper) mais aussi Randy (Tom Arnold), le marshal censé le surveillé & Gil (Michael Rosenbaum), l’ex d’Annie.

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    Plus habitué à jouer les acteurs, notre pote Dax Shepard signe son 2ème film en tant que réalisateur et est l’auteur également du scénario. Il ne faut pas se le cacher, ce n’est pas avec Hit & run qu’il va s’imposer dans le milieu ; cette cavale en compagnie de Kristen Bell se veut tonitruante mais c’est surtout l’ennui qui va rattraper le couple et nous assommer. On pourra quand même se marrer avec le look improbable de Bradley Cooper (pote d’enfance de Shepard), une bien maigre consolation alors qu’on était venu pour voir de l’action ! Il y a des idées et la volonté de faire exister les personnages secondaires mais c’est un tel fatras à l’écran qu’on a parfois envie de fermer les yeux, de respirer profondément pour mieux s’endormir.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas donner n’importe quoi à manger à votre chien !

  • Limitless

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    Notre pote Eddie Morra (Bradley Cooper) est une vraie épave, cet écrivain en manque d’inspiration vient de se faire plaquer par Lindy (Abbie Cornish). Un nouvel échec sentimental après un 1er mariage raté. C’est donc un homme au fond du trou que croise Vernon (Johnny Whitworth), son ex beau-frère mais il a peut-être une solution pour lui ! Eddie reçoit une pilule révolutionnaire capable de libérer le cerveau de ses pleines capacités. Sceptique au départ, il se rend très vite compte des facultés de cette nouvelle drogue et va chercher en s’en procurer davantage sans se soucier des éventuels effets secondaires qui pourraient se manifester.

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    Ah si cette pilule était réelle, elle ferait à coup sur un tabac surtout pour certains réalisateurs ! Après son deuxième Very bad trip, Bradley Cooper continue de consommer des substances illicites à la différence qu’ici ça le rend totalement irrésistible, on ne peut pas en dire autant de Limitless. Les 45 premières minutes sont bonnes, même très bonnes avec une réalisation très décalée de Neil Burger mais c’est par la suite que l’histoire prend une tournure malhabile. Plutôt que de continuer sur le même état d’esprit, il transforme son film en un thriller mièvre où De Niro vient jouer le figurant de luxe.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre médecin de vous prescrire quelques pilules.